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PAYSAGE --- PATRIMONIALISATION --- IMAGE --- TERRITORIALISATION
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ASIE --- TERRITORIALISATION --- PALESTINE
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FRANCE, ESPACE GEOGRAPHIQUE --- ESPACE --- TERRITORIALISATION --- TAHITI
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PRODUCTIVISME --- POST-PRODUCTIVISME --- TERRITORIALISATION --- ECONOMIE POLITIQUE --- EUROPE
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Le centre de recherches " Ville Société Territoire " affilié à la M.S.H. de Tours a organisé en novembre 2000 des journées d'études pluridisciplinaires consacrées aux questions d'ordre méthodologique et réflexif posées par l'analyse des territoires. Cet ouvrage est issu des travaux de plus de 70 participants, qui ont porté notamment sur les échelles et enchevêtrements des territoires, les dynamiques spatiales et les légitimités, les pratiques et les vécus. Les approches ont été menées tant par des sociologues que des géographes, des économistes ou des aménageurs, l'un des objectifs étant de proposer un regard croisé sur un concept largement utilisé, sans doute trop, et rarement défini ou justifié. Il paraissait donc utile d'amener les chercheurs en sciences sociales à préciser leur lecture non pas des territoires mais du mot, du concept et de leurs usages. Ce livre n'est pas l'exposé intégral des contributions, trop nombreuses, disponibles toutefois sur CD-rom à la M.S.H., mais résulte d'un travail de mise en forme et de synthèse, dont les auteurs espèrent qu'il contribuera à éclairer la réflexion commune à toutes les sciences sociales sur le territoire.
Sociology & Social History --- Social Sciences --- Communities - Urban Groups --- ville --- territorialisation --- commune --- territoire
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Karten sind Instrumente zur Vermessung der Welt. Die von ihnen erzeugten Raumbilder dokumentieren geschichtliche Entwicklungen in all ihrer Kontinuität und Dynamik. Sie spiegeln die Dauerhaftigkeit von Naturverhältnissen ebenso wider wie die Verschiebung von Machtverhältnissen und Grenzen. Es sind besonders Kriegszeiten, in denen Räume neu vermessen, Karten neu gezeichnet und für die Information der Öffentlichkeit genutzt werden. Dieses Buch handelt von der Vermessung und Kartographie des Zarenreiches im langen 19. Jahrhundert und trägt damit zur vergleichenden Imperiengeschichte bei. Die topographische und kartographische Erschließung des größten Landes der Erde wird als Aspekt der Territorialisierung Russlands verstanden und hinsichtlich der Bedeutung von Kulturtransfers aus dem westlichen Europa untersucht. Die topographische Karte als zeitgebundene Repräsentation von geographischem Raum wird dabei als eine besondere Form imperialer Selbstbeschreibung verstanden. In der Studie wird untersucht, welche Institutionen mit welchen Motiven an der Vermessung und kartographischen Erschließung des Zarenreiches mitwirkten, welche Regionen in das Blickfeld der Vermesser gerieten, welcher »Sprache« sich die Kartographen bei der Darstellung des vermessenen Raumes bedienten und welche Rolle dabei ausländischen Vorbildern zukam. Die Analyse kommt zum Ergebnis, dass es der Zarenregierung letztlich nicht gelang, ein umfassendes, auf Vermessungsdaten basierendes topographisches Kartenbild des ganzen Reiches zu erstellen. Denn ihr Hauptinteresse lag in der Sicherung der Peripherien Russlands. Maps are instruments for measuring the world. The spatial images they produce document historical developments in all their continuity and dynamism. They reflect the permanence of natural conditions as well as the shifting of power relations and borders. It is especially in times of war that spaces are remeasured and maps are redrawn to be used for public information. This book is about the surveying and mapping cartography of the Tsarist Empire in the nineteenth century and thus contributes to comparative empire history. The topographical and cartographic development of the largest country on earth is understood as an aspect of Russia's territorialisation and examined in terms of the significance of cultural transfers from Western Europe. The topographical map as a time-bound representation of geographical space is understood as a special form of imperial self-description. The study examines which institutions and with which motives were involved in the surveying and cartographic development of the Tsarist empire, which regions came into the surveyors' focus, which "language" the cartographers used in the representation of the surveyed space and which role was played by foreign models. The analysis concludes that the tsarist government ultimately did not succeed in creating a comprehensive topographic map of the entire empire based on survey data because their main interest lay in securing Russia's peripheries.
HISTORY / Europe / Eastern. --- Russian Empire. --- Tsarist Russia. --- cartography. --- expansion. --- imperial history. --- territorialisation. --- topography.
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L’eau est de plus en plus présentée comme une ressource rare qui nécessite une gestion coûteuse. Il en découle la problématique du choix d’un découpage territorial approprié pour une gestion optimale de la ressource. Le cadre institutionnel italien et ses trois réformes relatives à la gestion de l’eau impliquant pour deux d’entre-elles le processus de territorialisation, sont propices à l’étude des territoires de gestion de la ressource en eau. L’aire d’étude sera restreinte aux dix-neuf entités de gestion du Mezzogiorno à savoir, les zones territoriales optimales. Dans cette perspective, sera retenue l’hypothèse de recherche selon laquelle la territorialisation des dispositifs de gestion de l’eau est garante d’une plus grande efficacité de ce secteur. La méthode d’analyse par enveloppement des données permettra d’évaluer la performance des entités de gestion selon une approche économique et une approche quantitative des volumes distribués. Préalablement, une analyse des données mettra en évidence l’hétérogénéité du territoire et les données à prendre en considération lors de l’évaluation de l’efficacité. Cette analyse sera appuyée par des outils tels que la cartographie et les analyses statistiques des données. Deux découpages ressortiront en termes de performance: les provinces pour l’approche économique et les régions pour l’approche quantitative des volumes d’eau distribués. Sur cette base, il sera conclu que le choix de découpage du territoire est déterminant pour que la territorialisation des dispositifs de gestion de l’eau soit garante d’une plus grande performance de ce secteur. Ce choix influence de façon variable l’efficacité selon les aspects de la gestion traités. Water is more and more presented as a scarce resource which requires an expensive management. It ensues from this situation the issue of a suited territorial subdivision choice for an optimal management of this resource. The Italian institutional frame and its three reforms related to the water management, involving for two of them the process of territorialisation, are suitable for the study of water management territories. The area of study will be restricted to the nineteen management entities of Mezzogiorno namely optimal territorial areas. With this in mind, our research hypothesis will formulated as follows; the territorialisation of the measures of water management is responsible for a bigger efficiency of this sector. The data envelopment analysis will allow to calculate the management entities performance according to an economic approach and a quantitative approach of the distributed volumes. Beforehand, a data analysis will highlight the heterogeneity of the territory and the data to be considered for the assessment of efficiency. This analysis will be completed with different tools such as cartography and statistical analyses. Two subdivisions will emerge from the study in terms of performance: provinces for the economic approach and regions for the quantitative approach of the distributed volumes of water. On this basis, it will be concluded that the territorial division choice for the territorialisation of water management measures is decisive to assure a bigger performance of this sector. This choice affects the efficiency in different ways depending on the treated management aspects.
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Interrogeant la schizophrénie dans son rapport au territoire, notre démarche qualitative (Analyse par Théorisation Ancrée) propose d'explorer cette pathologie à la manière d'un voyage phénoménologique. Pour ce faire, nous nous sommes rendue, durant plusieurs mois, à l'Ancre, afin d'y questionner les notions de territoire et d'adaptation. Dans ce travail, nous investiguerons l'espace vécu du schizophrène dans ses expériences particulières, dans ses manquements et dans ses extras. Dans chaque chapitre, nous porterons une attention supplémentaire aux incidences interpersonnelles de l'être-au-monde schizophrénique. Le premier chapitre est consacré au devenir schizophrène et à la dimension spatiale du corps et de l'inter-corps schizophréniques. Nous y abordons les expériences particulières de la schizophrénie et leur inscription dans l'espace vécu. La dynamique de l'entrée dans la schizophrénie, le devenir schizophrène donc, est pensée selon trois axes : le corps, l'inter-corps et la territorialisation matérielle. Le second chapitre concerne la territorialisation du point de vue de Deleuze et Guattari (1980), c'est-à-dire le territoire comme transformation du fonctionnel en expressif. Il s'agit de voir comment le schizophrène parvient à être et à se déplacer dans l'espace social. Nous explorerons les stratégies territoriales mises en place par nos informateurs : le clown et son cirque, qui consiste à faire son cirque, à faire venir l'autre à soi en le faisant rire, et ainsi, justement, à former ce cirque, cette appartenance, qui fait défaut ; faire corps et incorporer la relation, et l'autre, afin de redécouvrir le monde, soi et les autres de façon ancrée, à travers le corps d'un autre ; se vêtir pour et contre l'autre comme un indicateur, de par son apparence, de l'envie d'aller vers autrui ou de le faire fuir ; et enfin, la perception d'autrui comme un homme à la mer qui, si le schizophrène le sauve, amène de la légitimité existentielle dont ce dernier a besoin. Autrui sera donc abordé comme un territoire. Dans le dernier chapitre, nous lierons ce que nous avons appris de la territorialisation et de la schizophrénie à travers la cosmologie de Minkowski (1936). La schizophrénie sera envisagée comme dynamique de rupture cosmologique et le territoire comme la possibilité de se défaire du tout cosmique pour s’individualiser. Le dispositif et la performativité seront aussi abordés comme interface entre territoire et cosmologie. La performativité est donc teintée de cosmologie, teintée de dispositif, c’est une possibilité tacite de production d’un comportement territorialisant, qui n’a pas encore été saisie. Celui qui se sert de ce qu’offre le dispositif pour territorialiser est l’entrepreneur de soi de Foucault (2004).
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The central theme of the volume is interdisciplinary experimentation. The volume includes collaborative and interdisciplinary studies on a variety of topics, from territorialisation of theory, relations between culture theory and research methodology, culture-dependent meaning formation, power relations in discourses on religion, communal heritage management, celebration practices of (national) holidays, conceptual boundaries of the ‘unnatural’, temporal boundaries in culture and cultural boundaries within archaeological material. Some of the chapters are dedicated to more general theoretical and methodological questions, while the majority of chapters use Estonian culture as source material for approaching broader cultural theoretical notions and questions. The chapters are the outcome of an experimental collaborative project aimed at bringing together representatives of various disciplines in order to find new ways to conceptualise and study their research objects or discover new study objects between disciplines. The approaches to interdisciplinary collaboration taken by the authors of the chapters are diverse. Some of them juxtapose or combine several disciplinary perspectives on common issue in order to highlight the multifaceted nature that escapes the purview of any one discipline. Some reveal similarities or complementarities between the disciplines despite the apparent differences in their metalanguage and theoretical apparatus. Others take a more integrative approach and aim to present a more holistic interdisciplinary theoretical or methodological framework. Several of the chapters re-evaluate or re-interpret existing data or case studies from the vantage points afforded by other fields, prompting questions that are not usually asked within their own field. In addition, the experimental collaboration also offered a space within which to explore issues located between disciplines and whose reoccurring presence becomes evident when diverse disciplines and studies are brought into dialogue.
interdisciplinary culture theory, hybrid methodology, culture dependent meaning making, power, religion, heritage management, social rhythm, archaeological cultures, territorialisation, cultural boundaries, unnatural --- interdisciplinary culture theory --- hybrid methodology --- culture dependent meaning making --- power --- religion --- heritage management --- social rhythm --- archaeological cultures --- territorialisation --- cultural boundaries --- unnatural
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The central theme of the volume is interdisciplinary experimentation. The volume includes collaborative and interdisciplinary studies on a variety of topics, from territorialisation of theory, relations between culture theory and research methodology, culture-dependent meaning formation, power relations in discourses on religion, communal heritage management, celebration practices of (national) holidays, conceptual boundaries of the ‘unnatural’, temporal boundaries in culture and cultural boundaries within archaeological material. Some of the chapters are dedicated to more general theoretical and methodological questions, while the majority of chapters use Estonian culture as source material for approaching broader cultural theoretical notions and questions. The chapters are the outcome of an experimental collaborative project aimed at bringing together representatives of various disciplines in order to find new ways to conceptualise and study their research objects or discover new study objects between disciplines. The approaches to interdisciplinary collaboration taken by the authors of the chapters are diverse. Some of them juxtapose or combine several disciplinary perspectives on common issue in order to highlight the multifaceted nature that escapes the purview of any one discipline. Some reveal similarities or complementarities between the disciplines despite the apparent differences in their metalanguage and theoretical apparatus. Others take a more integrative approach and aim to present a more holistic interdisciplinary theoretical or methodological framework. Several of the chapters re-evaluate or re-interpret existing data or case studies from the vantage points afforded by other fields, prompting questions that are not usually asked within their own field. In addition, the experimental collaboration also offered a space within which to explore issues located between disciplines and whose reoccurring presence becomes evident when diverse disciplines and studies are brought into dialogue.
Museology & heritage studies --- Communication studies --- Semiotics / semiology --- History --- Archaeology --- Religion & beliefs --- Cultural studies --- Social issues & processes --- Social groups --- Sociology & anthropology --- Political science & theory --- interdisciplinary culture theory, hybrid methodology, culture dependent meaning making, power, religion, heritage management, social rhythm, archaeological cultures, territorialisation, cultural boundaries, unnatural --- interdisciplinary culture theory --- hybrid methodology --- culture dependent meaning making --- power --- religion --- heritage management --- social rhythm --- archaeological cultures --- territorialisation --- cultural boundaries --- unnatural
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