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Devenu sourd à l’âge de quatorze ans, Charles Maurras voit son monde s’écrouler. Sa surdité le conduit à la plus grave crise morale de son existence. Il doit faire un trait sur ses aspirations à devenir marin, comme le furent ses aïeux et se réfugie dans la foi sous la protection de l’abbé Jean-Baptiste Penon, futur évêque de Moulins. Dans Tragicomédie de ma surdité, publié en 1951, Maurras retrace cette période : la maladie, les efforts pour trouver un moyen de guérir, l’acceptation de sa nouvelle condition et la découverte de la poésie comme une voie de salvation. Il s’agit d’un texte court où Maurras se place à la suite des grands sourds qui illustrèrent la poésie dans la langue qu’ils magnifièrent : Ronsard et Du Bellay, auteur d’un «Hymne à la surdité» et où l’on accompagne un Maurras adolescent qui arrive à Paris afin de commencer ses études.
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En 1993, Brigitte Lemaine découvre aux Rencontres internationales d'Arles, l'œuvre de Koji Inoue, photographe japonais. Pour elle dont la langue des signes est la langue maternelle, c'est un bouleversement : c'est la première fois qu'elle est confrontée à l'œuvre photographique d'un sourd, importante et reconnue. À travers le récit de la vie et l'œuvre de Koji Inoue, ce film nous amène à comprendre cette sensibilité commune aux sourds du monde entier, cette manière de percevoir le monde sans le son, de façon totalement visuelle qui permet d'approcher à la fois l'universalité du geste et de l'être humain.
Photographie --- Surdité --- Portrait --- Japon
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