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Philosophie --- --Grèce ancienne --- --Présocratique --- --Savoirs --- --Philosophie --- Grèce ancienne --- Présocratique --- Savoirs
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Trois raisons au moins justifient que soit aujourd’hui remise à l’honneur la question du sens des savoirs à l’école. En premier lieu, le contexte auquel les enseignants et les élèves sont confrontés en ce début de xxie siècle ébranle les finalités, la nature et les modalités de l’enseignement apprentissage. Révolution numérique, accélération des modes de déplacement, de communication et d’information, nouvelle économie du rapport aux savoirs et aux compétences, explosion des réseaux sociaux… Impossible de ne pas s’interroger sur le rôle que les enseignants ont à jouer dans un tel contexte. En second lieu, le contexte actuel d’incertitude et de remise en question rend indispensable un surcroit de réflexivité tant de la part des enseignants comme des élèves. Il en va dès lors de la responsabilité des chercheurs en didactique d’alimenter cette question par des recherches et par des expériences empiriques. Enfin, à l’évidence, la question du sens constitue la question fondamentale par excellence, celle dont dépendent nécessairement toutes les autres et qui fédère les différents acteurs de l’école. Y consacrer un livre était donc le contraire d’un luxe : c’était une nécessité vitale. Pour analyser ces différents enjeux et proposer des pistes d’action qui leur soient articulées, le livre donne la parole d’abord à Michel Develay, reconnu comme un éveilleur de sens, capable comme personne de voyager entre les disciplines pour en souligner les enjeux et les potentialités. Suivent quatre articles qui proposent une série de pistes et de réflexions pour un travail axé sur le sens des savoirs dans différentes disciplines ou structures de collaboration co-disciplinaires de l’enseignement secondaire, en l’occurrence les cours de sciences (biologie, physique et chimie), les cours d’éducation physique et sportive, les cours de français et d’histoire de l’art et les cours de religion.
Education --- enseignement --- sens des savoirs
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« L’histoire se fait avec des documents écrits, sans doute. Quand il y en a. Mais elle peut se faire, elle doit se faire, sans documents écrits s’il n’en existe point. Avec tout ce que l’ingéniosité de l’historien peut lui permettre d’utiliser pour fabriquer son miel, à défaut des fleurs usuelles. Donc avec des mots. Des signes. Des paysages et des tuiles. Des formes de champs et de mauvaises herbes. » Le programme tracé par Lucien Febvre en 1949 a été suivi par les historiens, sociologues, économistes et archéologues rassemblés en cet ouvrage afin de mettre en évidence les traces des savoirs ruraux. De grands mouvements s’esquissent dans cette vaste histoire des connaissances campanaires : du sensible au quantifiable, de la productivité à l’écologie, du quotidien au savant. C’est une autre histoire de la ruralité qui émerge, riche de rationalités pratiques.
History --- Sociology --- histoire rurale --- savoirs
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Les philosophes de l'Antiquité se méfient de l'écriture : la philosophie est pour eux une pratique de partage des savoirs. Aussi préfèrent-ils qu'elle prenne vie et se déploie dans le corps même des philosophes, la matérialité de l'écrit, des pratiques savantes amicales et des activités conviviales.
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Le présent ouvrage collectif Du partage au marché, regards croisés sur la circulation des savoirs est à tous égards un essai portant sur l’émergence d’une économie de la connaissance dans laquelle se pose la question de la marchandisation du savoir. Ce choix résulte du fait incontestable de changement de position des connaissances, qu’elles soient scientifiques ou qu’elles relèvent de la simple activité quotidienne. Il est clair d’abord que la connaissance scientifique est devenue la première des « matières premières ». Il est clair aussi que dans le monde du travail, les facteurs de la compétitivité s’expriment désormais en termes d’innovation et de management des connaissances. Il est clair, enfin, que, dans nos sociétés, la circulation de biens tels que les connaissances pratiques, professionnelles, scientifiques, mais aussi culturelles et éducatives, passe pour une part importante par le marché, tendance que refusent vigoureusement les « alter-mondialistes ». Comment, dès lors, dépasser ces constats pour comprendre la nature globale des dynamiques à l’œuvre, notamment dans les domaines de la recherche, de l’éducation et de la formation ? Economistes, sociologues, spécialistes des sciences de l’information et de la communication et des sciences de l’éducation ont mis en commun leurs réflexions sur ce sujet.
Communication --- marché --- partage --- circulation des savoirs
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La 4e de couverture indique : "La « Société du Savoir », annoncée par Peter Drucker, est en train de se réaliser, non sans provoquer des turbulences dans une économie encore régie par des instruments d'après-guerre. Le Knowledge Management (KM), qui a pour objet d'identifier et de capitaliser les connaissances pour mieux les partager, nous offre une démarche, des méthodes et des outils concrets et ambitieux pour ne pas subir la crise, mais la saisir comme une opportunité de fonder notre développement sur l'intelligence collective. Avec cette 4e édition du Manuel de Knowledge Management, l'auteur nous fait bénéficier de près de vingt années d'expérience et plusieurs centaines de missions concrètes auprès d'organisations de toute nature. Il nous permet également de comprendre l'impact des réseaux sociaux dans les organisations professionnelles, et leur rôle sur la création de connaissance, l'innovation et la compétitivité. Cette bible du KM s'adresse aux dirigeants, chefs de projet, praticiens - concernés par le KM de manière opérationnelle, stratégique, technique... Il s'adresse également aux étudiants et chercheurs dans le domaine des sciences cognitives et humaines."
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UNIVERSITE RURALE --- SAVOIRS --- NOUVELLES COMPETENCES --- CONFRONTATION --- UNIVERSITE RURALE --- SAVOIRS --- NOUVELLES COMPETENCES --- CONFRONTATION
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Modern education in Thailand started at the end of the nineteenth century under the impulse of King Chulalongkorn. Many scholars tracing back the evolution from traditional education to a modern education system emphasized the feeling of necessity that motivated this transformation. Wyatt (1969), Mead (2004) and Watson (1982) underlined the need for a modern administration, to handle the Siamese nation-state “as” the Western states, and in that respect, the key role played by education to structure the new Siam and to appear to the eyes of the world as civilized (Peleggi 2002). The shaping of a new education took place amidst strong political struggles. Siam needed to stand firm within the regional arena, swept by the winds of Western colonialism. Internally, King Chulalongkorn had to legitimize his power and to unify the kingdom by integrating satellite kingdoms into a wider space, the Siamese nation state. Education was vital for this mission as it would contribute not only to bringing state power into the provinces through state-paid teachers and government officials, but also to transmitting a whole nation-related imagery to the young generations. Giving rise to Thai-ness among the populations located at the margins of the kingdom was a tremendous ordeal. In the Southern part of the kingdom, population was mainly Muslim, spoke Malay and felt culturally closer to the Malay state (Dulyakasem 1991). In the Northern part, incorporating the Lanna kingdom and hill tribe populations into Siam proved not to be easy. Ideological, social and national values were introduced into education delivered to students, and with the implementation of the Compulsory Education Act of 1921, school attendance tied children and parents to the nation state and made them liable to it.
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