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For years, the sale of narcotics has been a topic of media interest. A lot of research has been carried out on the sale of drugs, structured trafficking in the South American continent or even on normalized consumption in certain English cities, but little research has been carried out in French on the experiences of these dealers who are encountered on every street corner. In this qualitative research, we tried to describe the experiences and perceptions of former drug dealers. Seven candidates: 3 incarcerated people, 3 people on probation and one person recruited through social networks agreed to be interviewed in order to find out more about their experience of selling drugs. Several findings emerged from our interviews, such as the existence of a link with social learning theory through the influence of delinquent peers. However, some of the concepts do not corroborate with our findings. It also emerged that the participants consider their sales as a business with these techniques that can be compared to a traditional business. Depuis des années, la vente de stupéfiants alimente les médias. De nombreuses recherches ont été réalisées en matière de vente de stupéfiants, de trafics structurés dans le continent Sud-Américain ou encore en matière de consommation normalisée dans certaines villes anglaises mais peu de recherches francophones ont été réalisées sur le vécu de ces dealers que l’on croise à chaque coin de rue. Dans cette recherche de type qualitative, nous avons tenté de décrire le vécu, l’expérience et la perception d’anciens vendeurs de stupéfiants. Ils sont sept candidats : trois personnes incarcérées, trois personnes en probation et une personne recrutée sur les réseaux sociaux à avoir accepté un entretien afin d’en savoir davantage sur leur vécu par rapport à la vente de stupéfiants. Plusieurs résultats ont émergés de nos entretiens comme l’existence d’un lien avec la théorie de l’apprentissage social de par l’influence de pairs délinquants. Cependant, certains concepts ne corroborent pas avec nos résultats. Il ressort également que les participants considèrent leurs ventes comme du business avec ces techniques que l’on peut comparer à une entreprise traditionnelle.
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