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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’histoire, partie 2, de 1939 à 2000 porte sur le système de pensionnats du Canada depuis la fin de la Grande Dépression jusqu’à la fermeture du tout dernier établissement, à la fin des années 1990. Ce volume montre que le sous-financement et les conditions de vie précaires caractérisant les premières années d’existence des pensionnats ont perduré alors même que la plupart des Canadiens jouissaient d’une période de prospérité et de croissance sans précédent. En raison d’un programme de financement des plus maigres, les repas servis dans les pensionnats de la fin des années 1950 étaient loin de satisfaire aux Règles alimentaires du Canada. La surpopulation, les mauvaises conditions sanitaires et le défaut de respecter les règles de sécurité incendie étaient des problèmes courants pendant cette période. Tandis que les autorités gouvernementales en étaient venues à considérer les pensionnats comme étant coûteux et inefficaces, les Églises, elles, étaient réticentes à autoriser leur fermeture. Ce n’est qu’à la fin des années 1960 que le gouvernement fédéral finit par livrer bataille aux autorités religieuses pour leur arracher le contrôle de ce système. Souhaitant confier l’éducation des Premières Nations aux provinces, le gouvernement se heurta à l’opposition des organismes autochtones, qui demandaient « la maîtrise indienne de l’éducation indienne ». Après l’occupation d’un pensionnat albertain par des parents, un bon nombre d’établissements résistants passa sous administration autochtone. Le processus de fermeture des pensionnats coïncida avec un nombre grandissant de condamnations d’anciens membres du personnel pour agression sexuelle contre des élèves. Ces procès ont révélé toute l’ampleur du camouflage des sévices sexuels qui ont été infligés dans ces institutions. D’anciens élèves, qui se sont nommés les Survivants, ont mis sur pied des organismes nationaux et régionaux et ont été, en grande partie, le fer de lance de la campagne qui a mené le gouvernement fédéral à présenter des excuses en 2008 aux anciens pensionnaires et à leurs familles.
Indians of North America --- Native peoples --- Aboriginal education --- Aboriginal schools --- Aboriginal schooling --- Native education --- Native schools --- Native schooling --- Native students --- Native college students --- Native residential schools --- Residential school education, Native --- Residential school education, Aboriginal --- Aboriginal residential schools --- Residential schools, Native --- Residential schools, Aboriginal --- Native residential school education --- Aboriginal residential school education --- Native residential school system --- Aboriginal residential school system --- Residential school system, Native --- Residential school system, Aboriginal --- Native boarding schools --- Aboriginal boarding schools --- Boarding schools, Native --- Boarding schools, Aboriginal --- Schools --- American aborigines --- American Indians --- First Nations (North America) --- Indians of the United States --- Indigenous peoples --- Native Americans --- North American Indians --- History. --- Residential schools. --- Education --- Culture --- Ethnology --- Indigenous residential schools --- Residential school education, Indigenous --- Residential schools, Indigenous --- Indigenous residential school education --- Indigenous residential school system --- Residential school system, Indigenous --- Indigenous boarding schools --- Boarding schools, Indigenous --- Residential schools
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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’expérience métisse rend compte de la longueur et de la complexité de l’expérience des Métis dans les pensionnats du Canada. Celle-ci ne met pas seulement en cause le gouvernement fédéral et les autorités religieuses, mais aussi les administrations provinciales et territoriales. Les Églises souhaitant convertir autant d’enfants autochtones que possible, elles ne s’opposèrent pas à l’admission d’enfants métis. À Saint-Paul-des-Métis, en Alberta, les missionnaires catholiques romains fondèrent au début du XXe siècle un pensionnat sur mesure pour ces enfants, tandis que les anglicans établissaient des foyers pour ceux du Yukon dans les années 1920 et 1950. La politique du gouvernement fédéral sur l’éducation des enfants métis était constamment redéfinie. À certains moments, le gouvernement considérait que les Métis faisaient partie de « classes dangereuses » que les pensionnats allaient civiliser et assimiler. Cette vision a mené à divers moments à l’adoption de politiques permettant l’admission de ces enfants. Toutefois, sur le plan de la juridiction, le gouvernement fédéral croyait que la responsabilité d’éduquer et d’assimiler les Métis revenait aux gouvernements provinciaux et territoriaux. Lorsque cette vision avait cours, les agents des Indiens avaient souvent l’ordre de retirer les enfants métis des pensionnats. Comme les gouvernements provinciaux et territoriaux hésitaient à fournir des services à cette communauté, de nombreux parents métis souhaitant faire instruire leurs enfants dans une école n’avaient d’autre option que de tenter de les faire admettre dans un pensionnat. Lorsque les gouvernements provinciaux ont commencé à fournir davantage de services d’éducation aux élèves métis après la Deuxième Guerre mondiale, bon nombre de ces enfants vivaient dans des foyers ou des pensionnats dirigés ou financés par ces mêmes gouvernements. Il reste beaucoup à faire pour déterminer l’impact que ces établissements ont eu sur les enfants métis, leur famille et leurs communautés, et pour corriger la situation.
Inuit --- Innuit --- Inupik --- Eskimos --- Residential schools. --- Education. --- Government relations. --- Social conditions. --- History. --- Indigenous children --- Native children --- Aboriginal children --- Children --- Métis --- Indians of North America --- Indigenous peoples --- Education --- Mixed descent --- Native peoples --- Aboriginal education --- Aboriginal schools --- Aboriginal schooling --- Native education --- Native schools --- Native schooling --- Native students --- Native college students --- Native residential schools --- Indigenous residential schools --- Residential school education, Native --- Residential school education, Aboriginal --- Residential school education, Indigenous --- Aboriginal residential schools --- Residential schools, Native --- Residential schools, Aboriginal --- Residential schools, Indigenous --- Native residential school education --- Aboriginal residential school education --- Indigenous residential school education --- Native residential school system --- Aboriginal residential school system --- Indigenous residential school system --- Residential school system, Native --- Residential school system, Aboriginal --- Residential school system, Indigenous --- Native boarding schools --- Aboriginal boarding schools --- Indigenous boarding schools --- Boarding schools, Native --- Boarding schools, Aboriginal --- Boarding schools, Indigenous --- Schools --- American aborigines --- American Indians --- First Nations (North America) --- Indians of the United States --- Native Americans --- North American Indians --- Residential schools --- Culture --- Ethnology
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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : Les séquelles décrit ce que le Canada doit faire s’il veut surmonter les séquelles tragiques de l’existence des pensionnats et prendre la voie de la réconciliation avec les premiers peuples du pays. Pendant plus de 125 ans, les enfants autochtones ont souffert de mauvais traitements et de négligence dans des pensionnats dirigés par le gouvernement du Canada et les autorités religieuses. Arrachés à leur famille et leur communauté respective, ils ont été enfermés dans d’immenses établissements, un cadre effrayant où ils étaient déconnectés de leur culture et punis lorsqu’ils parlaient leur langue maternelle. Des maladies infectieuses ont coûté la vie à de nombreux élèves et ceux qui ont survécu l’ont fait dans des conditions pénibles et débilitantes. Dans la plupart des pensionnats du Canada, la compassion et l’éducation étaient des denrées rares. Bien que le Canada ait présenté des excuses officielles pour le système de pensionnats et dédommagé ses survivants, les séquelles dommageables de ces établissements sont encore perceptibles aujourd’hui. Ce volume porte sur l’ombre projetée par les pensionnats sur l’existence des Canadiens autochtones, plus susceptibles que le reste de la population canadienne de vivre dans la pauvreté, d’être en mauvaise santé et de mourir plus jeunes, plus susceptibles aussi de se faire retirer leurs enfants et de connaître la vie en prison. C’est aussi dans les pensionnats que résident les causes de la disparition de nombreuses langues autochtones et de l’érosion des traditions culturelles.
Indians of North America --- Native peoples --- Aboriginal peoples --- Aboriginal education --- Aboriginal schools --- Aboriginal schooling --- Native education --- Native schools --- Native schooling --- Native students --- Native college students --- Native residential schools --- Residential school education, Native --- Residential school education, Aboriginal --- Aboriginal residential schools --- Residential schools, Native --- Residential schools, Aboriginal --- Native residential school education --- Aboriginal residential school education --- Native residential school system --- Aboriginal residential school system --- Residential school system, Native --- Residential school system, Aboriginal --- Native boarding schools --- Aboriginal boarding schools --- Boarding schools, Native --- Boarding schools, Aboriginal --- Schools --- American aborigines --- American Indians --- First Nations (North America) --- Indians of the United States --- Indigenous peoples --- Native Americans --- North American Indians --- Residential schools. --- Education --- Government relations. --- Social conditions. --- History. --- Government policy --- Government relations --- History --- Socioeconomic conditions --- Socioeconomic status --- Social history --- Culture --- Ethnology
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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : La réconciliation documente la complexité de la réconciliation en présentant les constatations tirées des témoignages des survivants des pensionnats et d’autres participants aux activités et aux audiences de la Commission. Pour de nombreux Autochtones, la réconciliation passe par l’apaisement des familles et des collectivités, et par la revitalisation des cultures, des langues, de la spiritualité, des lois et des systèmes de gouvernance. Pour les gouvernements, l’institution d’une relation respectueuse suppose le démantèlement d’une culture politique et bureaucratique séculaire s’appuyant, trop souvent, sur des notions d’assimilation dépassées. Quant aux Églises, un engagement à long terme envers la réconciliation passe par la réparation des actes dévastateurs commis dans les pensionnats, le respect de la spiritualité des Autochtones et le soutien à leur lutte pour obtenir justice et équité. Les écoles doivent enseigner l’histoire canadienne en favorisant le respect mutuel, l’empathie et le dialogue. Les jeunes doivent savoir ce qui s’est passé dans les pensionnats et connaître la riche histoire et les connaissances collectives des peuples autochtones. Ce volume fait aussi ressortir le rôle de la mémoire, de la société canadienne, du secteur privé et des organismes à but non lucratif certes, mais aussi des médias et de la communauté sportive, dans le processus de réconciliation. La Commission presse le Canada d’adopter la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones en vue de mener à bien la réconciliation. Victimes de violence et de discrimination, les peuples autochtones ont pourtant des droits conférés à chacun en plus des droits issus de traités, et ces derniers ont un rôle crucial à jouer dans la réconciliation. Tous les Canadiens doivent comprendre en quoi les approches traditionnelles de la résolution de conflits, la réparation des préjudices et la restauration des relations des Premières Nations, des Inuits et des Métis peuvent orienter le processus. Les appels à l’action de la Commission établissent des mesures concrètes à prendre pour que nos descendants puissent vivre ensemble dans la dignité, la paix et la prospérité, sur ces terres désormais communes.
Indians of North America --- Native peoples --- Aboriginal peoples --- Aboriginal education --- Aboriginal schools --- Aboriginal schooling --- Native education --- Native schools --- Native schooling --- Native students --- Native college students --- Native residential schools --- Residential school education, Native --- Residential school education, Aboriginal --- Aboriginal residential schools --- Residential schools, Native --- Residential schools, Aboriginal --- Native residential school education --- Aboriginal residential school education --- Native residential school system --- Aboriginal residential school system --- Residential school system, Native --- Residential school system, Aboriginal --- Native boarding schools --- Aboriginal boarding schools --- Boarding schools, Native --- Boarding schools, Aboriginal --- Schools --- American aborigines --- American Indians --- First Nations (North America) --- Indians of the United States --- Indigenous peoples --- Native Americans --- North American Indians --- Residential schools. --- Education --- Government relations. --- Social conditions. --- History. --- Government relations --- Socioeconomic conditions --- Socioeconomic status --- Social history --- Government policy --- History --- Culture --- Ethnology --- Aborigines --- Adivasis --- Indigenous populations --- Native races
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The Laughing People recounts Serge Bouchard's anthropological research in the 1970s in Ekuanitshit, documenting the Indigenous Innu people and illuminating how wide-scale injustice and cultural meaning manifest in individual terms. The book invites readers to take part in preserving Innu history, thereby protecting an Innu future.
Innu Indians --- History. --- Social conditions. --- Antane Kapesh. --- Ekuanitshit. --- Essipit. --- First Nation. --- Georges Mestokosho. --- Innus. --- Labrador. --- Le peuple rieur. --- Mingan. --- Nishapet Enim. --- Quebec. --- activism. --- anthropology. --- assimilation. --- community. --- missionaries. --- nature. --- residential school system. --- storytelling.
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Offers a series of critical perspectives concerning reconciliation and reconciliatory efforts between Canadian and Indigenous peoples in the field of education.
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Aki-wayn-zih is one man's story of growing up in the hunting and gathering society of the Ojibways and surviving the residential school system, woven together with traditional legends in their original language. A story about the land and its relationship with the Anishinaabayg, from the beginning of their life on Turtle Island to the present day.
Indigenous peoples --- History. --- Residential schools. --- Social conditions. --- Social life and customs. --- Baxter, Eli. --- Northern Ontario. --- Anishinaabay. --- Anishinaabayg. --- Anishinaabaymowin. --- European. --- Kih-kayn-daa-soh-win. --- Miss-koh-tay-sih Minis. --- Ojibway. --- Treaty 9. --- Turtle Island. --- anecdotes. --- animal. --- autobiography. --- childhood. --- gathering. --- hunting. --- identity. --- knowledge. --- language. --- legends. --- memories. --- residential school system. --- spiritual. --- storytelling. --- territory. --- traditional.
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Arthur Bear Chief suffered both sexual and psychological abuse during his time at Old Sun Residential school in Gleichen on the Siksika Nation. My Decade at Old Sun, My Lifetime of Hell is a of chronological vignettes that depict the punishment, cruelty, and injustice that Arthur endured at Old Sun and then later relived in the traumatic process of retelling his story in connection with a complicated claims procedure. Late in life, after working for both the provincial and federal government, Arthur returned home to Gleichen. It was there that he began to reconnect with Blackfoot language and culture and to write his story.
Adult child abuse victims --- Abused Indian children --- Adult survivors of child abuse --- Adults abused as children --- Child abuse survivors --- Child abuse victims, Adult --- Grown-up abused children --- Abused children --- Indian children --- Victims of crimes --- Abused Indigenous children --- Bear Chief, Arthur, --- Old Sun Indian Residential School (Gleichen, Alta.) --- Gleichen (Alta.) --- Chief, Arthur Bear, --- Old Sun Missionary School (Gleichen, Alta.) --- Old Sun School (Gleichen, Alta.) --- residential schools --- law --- TRC --- Alberta --- indigenous --- blackfoot --- settlement --- apology --- Indigenous children --- Abuse of
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“I am going to tell you how we are treated. I am always hungry.” — Edward B., a student at Onion Lake School (1923) "[I]f I were appointed by the Dominion Government for the express purpose of spreading tuberculosis, there is nothing finer in existance that the average Indian residential school.” — N. Walker, Indian Affairs Superintendent (1948) For over 100 years, thousands of Aboriginal children passed through the Canadian residential school system. Begun in the 1870s, it was intended, in the words of government officials, to bring these children into the “circle of civilization,” the results, however, were far different. More often, the schools provided an inferior education in an atmosphere of neglect, disease, and often abuse. Using previously unreleased government documents, historian John S. Milloy provides a full picture of the history and reality of the residential school system. He begins by tracing the ideological roots of the system, and follows the paper trail of internal memoranda, reports from field inspectors, and letters of complaint. In the early decades, the system grew without planning or restraint. Despite numerous critical commissions and reports, it persisted into the 1970s, when it transformed itself into a social welfare system without improving conditions for its thousands of wards. A National Crime shows that the residential system was chronically underfunded and often mismanaged, and documents in detail and how this affected the health, education, and well-being of entire generations of Aboriginal children.
Off-reservation boarding schools --- Indians of North America --- American aborigines --- American Indians --- First Nations (North America) --- Indians of the United States --- Indigenous peoples --- Native Americans --- North American Indians --- Indian residential schools --- Non-reservation boarding schools --- Non-reservation schools --- Off-reservation Indian boarding schools --- Off-reservation Indian schools --- Off-the-reservation boarding schools --- Residential schools, Indian --- Boarding schools --- History. --- Education --- Culture --- Ethnology --- Social conditions. --- Government relations. --- Government relations --- Residential Schools, Canada, Canadian Goverment, Indigenous, First Nations, Indians, History, Reconciliation. --- residential school.
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Many but not all the contributions in this volume originated as presentations at the Critical Topography conference in 2015. Bordo and Fitzpatrick coin the term critical topography to describe how thought and symbolic forms invent place through text and image. International in scope, Canadian in spirit, and grounded in singular sites, Place Matters presents critical topography as an approach to analyze, interpret, and reflect on place.
Geocriticism. --- Landscapes in art. --- Place (Philosophy) in art. --- Ai Wei Wei. --- Albert Camus. --- Anthropocene. --- Arcadia. --- Atomic Photographers Guild. --- Ayuituq National Park. --- Barthes. --- Berlin. --- Brewery Pond. --- COVID 19. --- Canada. --- Cape Town. --- Cezanne. --- Chamolangma. --- Chernobyl. --- Chicago. --- Colonus. --- Daiesh Refugee Camp. --- David McMillan. --- District Six Museum. --- Donetsk airport. --- Edward Burtynsky. --- Everest. --- Group Seven. --- Hamish Fulton. --- Henry David Thoreau. --- Hiroshima. --- Indian Residential School. --- Indigenous. --- Jesper Svenbro. --- La Peste. --- Lesbos. --- Manto. --- Margaret Olin. --- Mark Ruwedel. --- Maurice Blanchot. --- Max Avdeev. --- Michel Foucault. --- Mont St Victoire. --- Mount Kailash. --- Nagasaki. --- National Socialism. --- Nepal. --- Newfoundland. --- Nora. --- Nunavut. --- Palestine. --- Pangnirtung. --- Paul Duro. --- Peter van Wyck. --- Port Hope. --- Poussin. --- QuAppelle Valley. --- Raymond Williams. --- Richard Long. --- Robert del Tredici. --- Saskatchewan. --- Sebald. --- Sophocles. --- Tibet. --- Walden. --- Walter Benjamin. --- X marks spot. --- aesthetic. --- art. --- aura. --- chorography. --- civic witness. --- colonialism. --- critical topography. --- disaster. --- document. --- imitation. --- inscription. --- keeping place. --- landscape testimony. --- lieu de memoire. --- modernity. --- painting. --- photographs. --- pictures. --- place. --- punctum. --- ruins. --- sublime. --- terra nullius. --- topos. --- trauma. --- walls. --- wilderness.
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