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maison de repos --- personnes agees --- maison de repos --- personnes agees --- maltraitance
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GEOGRAPHIE MEDICALE --- BELGIQUE --- MAISON DE REPOS --- GEOGRAPHIE MEDICALE --- BELGIQUE --- MAISON DE REPOS
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Les facteurs influençant la rentabilité d'une Maison de Repos pour Personnes Âgées et Maison de Repos et de Soins en Wallonie
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Ekeren --- Hoevenen --- Brasschaat --- Donk --- Maison de Repos --- Kapellen (Antwerpen)
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Le présent travail de fin d'études s'intéresse à une problématique que rencontre le secteur des maisons de repos, peu abordée jusqu'à présent. Il s'agit de la question du comportement, plus particulièrement du savoir-être des travailleurs envers les personnes âgées
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Cette recherche part du constat qu’il existe un sentiment de solitude chez les personnes âgées en maison de repos mais également que les nouvelles possibilités de contact font leur entrée dans cette catégorie d’âge comme l’utilisation d’internet. A travers ce mémoire, deux objectifs principaux ont été poursuivis. D’une part, nous avons réalisé un état des lieux du sentiment de solitude des résidents en maison de repos et nous avons testé si ce sentiment de solitude était associé à la fréquence et à la qualité des contacts avec leurs proches signifiants. Nous aurions également aimé analyser si la fréquence et la qualité des contacts avec les proches signifiants avaient évolué depuis l’entrée en maison de repos. D’autre part, en nous appuyant sur la littérature qui explique que l’utilisation de la technologie a le potentiel d’améliorer et de faciliter le contact entre le résident et ses proches (Mickus & Luz, 2002; Hensel et al., 2007; Hine & Arnott, 2002 ; Sar et al., 2012 ; Short et al.. 1976 ; Tsai et al., 2010), nous avons voulu réaliser un état des lieux de l’utilisation de la technologie au sein même de la maison de repos et ainsi étudier l’adhésion des résidents aux moyens de communication virtuels. Pour conduire cette recherche, nous avons mené des entretiens semi-structurés avec 46 résidents (à l’aide, essentiellement, de questions de type « échelle visuelle analogique » (VAS) et de questions ouvertes) au sein de la maison de repos. Pour être inclus, les résidents devaient avoir au minimum 65 ans, être institutionnalisés depuis minimum 3 mois et maximum 2 ans, et ne pas avoir de démence sévère ou légère. Nos résultats n’ont pas mis en évidence la présence d’un sentiment de solitude élevé chez les résidents de maison de repos, mais celui-ci reste tout de même présent. Aucun lien entre le sentiment de solitude et la fréquence et la qualité des contacts avec les proches du résident n’a pu être mis en évidence. Cependant, nos résultats ont montré une différence significative de la qualité et de la fréquence des contacts avec les proches entre avant et maintenant en maison de repos. Pour ce qui est de l’utilisation des moyens de communication virtuels, nos résultats montrent que seulement 15 des résidents interrogés les utilisent et pour les 31 restant, seulement 10 y adhèrent. De nombreux freins sont liés à cette non-adhésion aux technologies de communication.
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L'environnement acoustique des maisons de repos commence à faire l'objet d'une attention croissante de la part des chercheurs et des praticiens en raison de l'importance que prennent les questions liées au vieillissement dans nos sociétés et des défis qu'elles posent (Thomas et al., 2020). Le peu d’études réalisées montre un non-respect des recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) en termes de seuil de bruit au sein des milieux institutionnels. Quelques études (Joosse, 2011 ; Hayne et Fleming, 2014) sont parties un peu plus loin en décrivant les sources qui pouvaient générer ce surplus de bruit. De ces études, il en ressort que les conversations entre professionnels, le bruit des alarmes, le bruit des couvercles et celui de la télévision constituent les sources les plus fréquentes. Lors de la réalisation de ce travail, nous avons décidé de mener des mesures de bruits au sein de quatre maisons de repos sur le territoire de la province de Liège (Belgique). De plus, nous avons également analysé deux temps de midi au sein de chaque structure afin de détecter les sources de bruits les plus fréquentes. Il en résulte des conclusions similaires aux différentes études déjà réalisées dans ce milieu.
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Le vieillissement de la population est un fait qui est de plus en plus marquant dans notre société. Selon l’OMS, la population de personnes âgées est amenée à doubler dans les prochaines années. Face à ce constat, la santé et le bien-être des personnes âgées sont devenus une priorité. Nous savons que divers facteurs peuvent impacter la santé de nos ainés et parmi ceux-ci, nous pouvons citer celui de la dénutrition. Il s’agit d’un apport insuffisant d’énergie et/ou de protéine dans le corps, et qui a pour conséquence une diminution des fonctions physiques et/ou mentales ainsi qu’une réduction de la qualité de vie (Corish & Bardon, 2019). Les personnes âgées sont de plus en plus touchées par cette problématique, et cela est d’autant plus important chez les personnes âgées vivant en institution. Cette problématique est importante à prendre en considération car cela peut avoir un impact néfaste sur la santé de la personne et elle entraine une augmentation du risque de mortalité. Au vu de ces informations, il a été décidé de mener une réflexion autour des facteurs qui peuvent influencer la prise alimentaire des personnes âgées vivant en institution. Pour mener notre recherche, nous avons décidé de réaliser une scoping review afin de réaliser un état des lieux des études réalisées dans ce domaine dans la littérature scientifique. Nous avons donc réalisé une recherche dans la littérature, en suivant une méthodologie bien précise, qui nous a permis de mettre en évidence dix-neuf articles traitant de la prise alimentaire des personnes âgées vivant en institution. Les résultats de notre recherche nous ont permis de prendre conscience que de nombreux facteurs existent et peuvent influencer la prise alimentaire des personnes âgées. À cet effet, de nombreuses interventions ont déjà été étudiées dans le but d’augmenter l’apport alimentaire des personnes âgées et ainsi, de pallier aux problèmes que peuvent engendrer la dénutrition. Enfin, même si ce mémoire permet déjà de mettre en avant un certains nombres de facteurs pouvant influencer la prise alimentaire des personnes âgées, il reste nécessaire de poursuivre les recherches dans ce domaine afin de mieux cerner les enjeux de la nutrition chez les personnes âgées.
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Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le nombre de personnes ayant 60 ans ou plus va presque doubler entre 2015 et 2050, passant de 15 % à 22 % de la population mondiale. Dans cette population, 55,2 millions de personnes souffrent de démence. Cette portion de la population va finir par être soignée en maison de repos où la charge de travail des professionnels augmente de plus en plus. À côté de cela, en 2019, l’OMS reconnait le burnout comme phénomène lié au travail. Le burnout est une résultante d’un stress chronique au travail qui n’a pas été géré de manière adéquate. Le but de notre étude est de réaliser une revue de la littérature systématique afin d'évaluer les connaissances actuelles sur le burnout du personnel soignant en maison de repos.
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[FR] La situation démographique évolue depuis plusieurs années et ce, à l’échelle mondiale. Le taux de natalité diminue, l’espérance de vie augmente … Ces changements s’intensifient et modifient la structure de la société et nécessitent des ajustements pour son bon fonctionnement. Le vieillissement de la population induit également des problématiques spécifiques telles que l’âgisme et l’isolement social dont souffrent certaines personnes âgées. Des solutions émergent en réponse à ces diverses problématiques. La création de programmes favorisant la rencontre et la solidarité intergénérationnelles est parfois sollicitée à ces égards, on associe en effet beaucoup de bienfaits à la mise en relation de différentes générations. L’instauration d’activités intergénérationnelles -associant les personnes âgées aux enfants- et la création de programmes intergénérationnels -couplant des maisons de repos à des crèches dans un même bâtiment ou sur un même site- commencent à se multiplier. Placer les générations l’une près de l’autre permet d’organiser des rencontres et d’encourager la création de liens intergénérationnels. Dans ce travail, nous analysons trois programmes intergénérationnels réunissant une maison de repos et une structure accueillant des enfants. Le socle commun des trois cas étudiés est l’accueil d’enfants en bas âge, il oriente donc notre discussion. Il s’agit de lieux dans lesquels des rencontres intergénérationnelles sont d’ores et déjà mises en place. Ce mémoire vise à en analyser le fonctionnement et l’organisation afin de comprendre comment le vivre ensemble de ces générations a priori si opposées -car situées aux deux extrêmes de la vie- s’y déroule. Pour cela, nous sommes allés à la rencontre des architectes, mais aussi des résidents et des membres du personnel afin d’observer les différentes stratégies de conception mises en place et la manière dont elles sont perçues par les utilisateurs des lieux. L’objectif est ici de confronter les volontés architecturales initiales à la manière dont les lieux sont effectivement vécus. Une quinzaine d’entretiens menés auprès de vingt et une personnes au total ont été effectués afin d’avoir un maximum de retours d’expériences et de ressentis sur la conception et l’usage de ces lieux. Cette recherche met en évidence que la réalisation de tels programmes nécessite une gestion intelligente des différentes relations spatiales et visuelles afin de garantir intimité et confort dans l’espace pour chacune des générations. Apprendre à connaître l’autre et ses habitudes permet de favoriser des interactions de qualité. Ce travail montre aussi que la création de lieux propices à la rencontre a beaucoup d’importance. Permettre les rencontres spontanées et fortuites dans le bâtiment au travers de circulations ou d’espaces extérieurs communs est certes l’une des solutions pour permettre la création de liens, mais il apparaît qu’en plus de cela, créer un espace de rencontres à l’intérieur du bâtiment et prévu spécifiquement dans le but d’y organiser des rencontres intergénérationnelles semble indispensable pour que l’ensemble des utilisateurs s’y sentent bien et en sécurité. Ce travail offre donc des recommandations notamment sur la répartition des fonctions et la conception des lieux de rencontres, mais aussi sur la gestion des différentes relations spatiales et visuelles au sein de tels programmes.
Architecture --- Intergénérationnel --- Maison de repos --- Crèche --- Espaces de rencontres --- Ingénierie, informatique & technologie > Architecture
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