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Approximately 20 to 30% of women of childbearing age develop a uterine fibroid which can cause menorrhagia, anemia, pelvic pain and infertility. The usual treatment is the analogue of gonadotropin-releasing hormone, reducing the production of estrogen, which causes an artificial menopause including symptoms such as hot flashes and osteoporosis. This treatment is temporary. A molecular class called "selective progesterone receptor modulator" (SPRM), is interesting in the preoperative treatment of fibroids.. In vitro, SPRMs selectively inhibit proliferation and induce apoptosis of human fibromatous cultured cells. Thus, phase three clinical studies have shown that treatment with ulipristal acetate reduces significantly the volume of fibroids, stops bleeding and corrects anemia without causing symptoms associated with menopause. Once the fibroid reduced, surgery can be done by laparoscopy, a less invasive method than laparotomy. Other molecules of the family of SPRM studied in phase two, have shown potential in reducing the size of the fibroid. However, endometrial changes occurred in SPRM in these studies with a minimum duration of three months. Long-term studies are needed to obtain results in terms of consolidation and side effects. Environ 20 à 30 % des femmes en âge de procréer développent un fibrome utérin qui peut causer des ménorragies, une anémie, des douleurs pelviennes et être à l'origine d'infertilité. Le traitement habituel est l 'analogue de la gonadolibérine qui diminue la production d'œstrogènes, ce qui provoque une ménopause artificielle dont les symptômes sont des bouffées de chaleur et une ostéoporose. Ce traitement est donc provisoire. Une classe moléculaire, les Modulateurs sélectifs aux récepteurs à la progestérone (SPRM), se montre intéressante dans le traitement préopératoire du fibrome. In vitro, les SPRM inhibent sélectivement la prolifération et induisent l'apoptose des cellules humaines fibromateuses mises en culture. Ainsi, des études cliniques de phase trois ont montré qu'un traitement à base d'acétate d'ulipristal , un SPRM, réduit significativement le volume des fibromes, arrête les hémorragies et corrige l'anémie, sans causer les symptômes liés à la ménopause. Après réduction du fibrome, une intervention chirurgicale peut se faire par cœlioscopie, une méthode moins invasive que la laparotomie. D'autres molécules de la famille des SPRM étudiées en phase deux, ont montré un potentiel dans la réduction de la taille du fibrome. Néanmoins, des changements endométriaux se sont produits sous SPRM dans ces études d'une durée minimale de trois mois. Des études à long terme sont nécessaires afin d'obtenir des résultats en termes de consolidation et d'effets secondaires.
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Leiomyoma --- Uterine neoplasms --- surgery.
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LEIOMYOMA --- HUMAN FEMALE --- BELGIUM
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Leiomyoma --- Uterine Neoplasms --- therapy --- etiology
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LEIOMYOMA --- UTERUS - ULTRASONOGRAPHY --- HUMAN --- DIAGNOSIS
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Ce vidéofilm illustre au début l'intérêt du SIS (Saline Infusion Sonography) dans le diagnostic des lésions utérines bénignes responsables de saignements utérins anormaux. Il montre l'intérêt de la préparation hormonale pour réduire l'épaisseur endométriale et la taille des myomes avant hystéroscopie opératoire. Il passe en revue les différents modes de traitement hystéroscopique en électrorésection et au laser Yag suivant les types de myomes. Dans la seconde partie, les différentes techniques d'endométrectomie sont illustrées : laser Yag, roller-ball, anse monopolaire et ballonnet.
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Uterine fibroids --- Leiomyoma --- Uterine Neoplasms --- pathology --- therapy
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