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Menopause --- Hormone Replacement Therapy --- Estrogen Replacement Therapy
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Menopause --- Hormone Replacement Therapy --- Hormone therapy --- Menopause - Hormone therapy
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Hormones --- Endocrine System Diseases --- Hormone Replacement Therapy --- Research --- Public Health
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Estrogen are known to promote breast cancer. Scientists have hypothesized that the metabolism of estrogen to genotoxic, mutagenic metabolites might cause initiation, promotion and progression of breast carcinogenesis. This is actually demonstrated in animals and research is underway to confirm these assumptions in humans.
For many years, pharmaceutical research has been interested in breast cancer morbidity. Given that 70 % of mammary tumors express estrogen receptor ERα, breast cancer may be very effectively treated by adjuvant hormonal therapy. Tamoxifen has been the gold standard for over 30 years. It is still given to premenopausal women. However, intolerance and problems of resistance, guided researchers towards new molecules of quite higher effectiveness and tolerance: the aromatase inhibitors. Currently, they have become essential in the treatment of hormonal receptor-positive breast cancer in postmenopausal women. In an upfront strategy, they are immediately given in order to increase significantly the disease-free survival for patients at high risk of relapse. On the other hand, a switch strategy -tamoxifen followed by an aromatase inhibitor- provides patients at low risk of relapse with a significant overall survival advantage. For patients who are not aromatase inhibitors responsive, fulvestrant, a pure antiestrogen, is generally introduced in second intention in the treatment algorithm.
Interestingly, while in the last decades a lot of energy and money were invested to identify new anticancer drugs interfering with sexual hormones, an increasing number of studies independently reported substitutive or contraceptive hormonotherapies lead to an increased risk of developing breast cancer in women who use them. In 1997, the Oxford meta-analysis first demonstrated an increased relative risk of breast cancer among users of combined estrogen-progestin hormone replacement therapy. Recent studies also show that adolescents who use oral contraceptives for many years and before their first full-term pregnancy have an increased risk of breast cancer before menopause.
Hormonal replacement therapies and oral contraceptives containing estrogens, have now been classified among carcinogens by the WHO (World Health Organization).
In conclusion, although today hormonotherapy may still be viewed as an absolute need to treat breast cancer, it should be considered with caution for menopause symptoms relief and long term contraceptive modality Les oestrogènes sont des promoteurs connus du cancer du sein. Les scientifiques ont émis l’hypothèse que les métabolites oxydatifs des oestrogènes ont un potentiel génotoxique pouvant initier ou causer la progression d’un cancer du sein. Ces craintes sont aujourd’hui avérées chez l’animal et des recherches sont en cours pour confirmer cette supposition chez l’homme.
La recherche pharmaceutique s’intéresse depuis de nombreuses années à la morbidité du cancer du sein. Etant donné que 70 % des tumeurs mammaires expriment des récepteurs hormonaux aux oestrogènes ERα, le cancer du sein peut très efficacement être traité par l’hormonothérapie adjuvante. Le tamoxifène en a été le « gold standard » pendant plus de 30 ans, on le donne toujours chez les patientes préménopausées. Cependant, des problèmes d’intolérance et la résistance qui s’installent après plus de 5 ans de traitement, ont orienté les chercheurs vers de nouvelles molécules d’efficacité et de tolérance bien supérieures : les inhibiteurs de l'aromatase. Actuellement, ils sont devenus incontournables dans le traitement des tumeurs mammaires à récepteurs hormonaux positifs chez les femmes postménopausées. On les donne d’emblée pour augmenter significativement la survie sans récidive des cas à haut risque de rechute. Par contre, une thérapie séquentielle de tamoxifène suivie d’un inhibiteur de l'aromatase procure aux patientes à faible risque de récidive un avantage significatif de survie globale. Pour celles qui n’y répondent pas, le fulvestrant, un anti-oestrogène pur, est introduit en seconde intention dans l’algorithme de traitement.
Il est intéressant de noter qu’alors que beaucoup d’énergie et d’argent ont été consacrés ces dernières années à l’identification de nouveaux traitements cancéreux modulant l’activité des hormones sexuelles, un nombre croissant d’études a indépendamment rapporté que chez les femmes qui recouraient à l’hormonothérapie à des fins substitutives ou contraceptives, un risque accru de cancer du sein était observé.
La méta-analyse d’Oxford de 1997 a démontré la première, une augmentation du risque relatif de cancer du sein chez les utilisatrices de traitements hormonaux substitutifs de type oestro-progestatif. Des études récentes montrent également que les adolescentes, qui recourent aux contraceptifs oraux pendant de nombreuses années et avant leur première grossesse à terme, ont un risque accru de survenue de cancer du sein avant leur ménopause.
Les thérapies hormonales de la ménopause et de la contraception, à base d’oestrogènes ont dès lors été classées, par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), parmi les substances carcinogènes.
En conclusion, bien qu’aujourd’hui l’hormonothérapie peut toujours être perçue comme un besoin absolu pour traiter de nombreux cancers du sein, ce type de modalité doit être considéré avec précaution dans la prise en charge de la ménopause et comme méthodes contraceptives à long terme
Hormone Replacement Therapy --- Breast Neoplasms --- Receptors, Estrogen --- Tamoxifen --- Aromatase --- fulvestrant
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La ménopause suscite énormément de questions chez les patientes. Le médecin généraliste est au premier plan pour y répondre, donner un complément d’information, proposer les examens de dépistage, prescrire un traitement et en assurer le suivi. Ce rôle est également partagé avec le gynécologue. Ce travail de fin d’étude a donc pour but d’aborder la ménopause sous ses différents aspects rencontrés dans le quotidien du généraliste. Quand et comment en poser le diagnostic ? Quels sont les examens complémentaires à réaliser ? Que proposer comme traitement ? En fonction de quelles plaintes ? A quel type de patientes ?
Ce travail de fin d’étude propose donc des informations théoriques et pratiques afin de prendre en charge dans leur globalité les patientes ménopausées
Menopause --- Hormone Replacement Therapy --- Osteoporosis, Postmenoposal --- General Practice
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Breast cancer is a major public health problem: it is the most common cancer and the second leading cause of death after cardiovascular disease in women. These cancers are often hormone-dependent and detected in post menopausal women through a screening program. The cancer treatments vary according to its stage of evolution and characteristics (presence of metastases, estrogen receptor, …). Only endocrine therapy in post menopausal women with early breast cancer wiII be discussed here. It has advantages over chemotherapy and radiation therapy: fewer side effects and case of administration in particular. The presence of estrogen and progesterone receptors in the tumour is detected by in-immunohistochemistry and determines whether it will be sensitive or not to endocrine therapy. In case of hormone-dependent tumour, the tumour requires estrogen and progesterone to develop. The goal of hormone therapy is to interfere with these hormones to prevent the growth of tumour, Tamoxifen has long been the only drug used: it is a SERM acting as an anti-estrogen in the breast tissue. But its action to another levels is also responsible for side effects. In recent years, new molecules, inhibitors of aromatase (an enzyme for the transformation of androgens into estrogens in other tissues), anastrozole, exemestane and letrozole have emerged. They have a more targeted action and so appear more advantageous. The results of various studies comparing these two treatments showed a significant advantage for aromatase inhibitors on disease-free survival and encourage their use. The adverse effects were different: mainly myalgia, arthralgia and bone loss for these inhibitors increased vaginal bleeding, the risk of endometrial cancer and thromboembolic risk for tamoxifen, Good monitoring is important to support these potential effects and provide suitable treatment. The management of breast cancer is multidisciplinary. From screening mammography to breast reconstruction, the patient is surrounded by a health care team who can answer to any questions and choose the most appropriate treatment for her Le cancer du sein constitue un problème majeur de santé publique : il est le plus fréquent des cancers féminins ainsi que la deuxième cause de mortalité après les maladies cardiovasculaires chez la femme. Ces cancers sont le plus souvent hormonaux-dépendants et détectés chez les femmes ménopausées grâce à un programme de dépistage. Les traitements du cancer varient selon son stade d’évolution et ses caractéristiques (présence de métastases, récepteurs hormonaux, ...). Seule l’hormonothérapie chez la femme ménopausée ayant un cancer du sein non métastasé sera abordée ici. Elle présente des avantages par rapport à la chimiothérapie et la radiothérapie : moins d’effets indésirables et une facilité d’administration notamment. La présence de récepteurs hormonaux au niveau de la tumeur est détectée par irnmuno histochimie et permet de déterminer si elle sera sensible ou non à l’hormonothérapie. En cas d’hormono-dépendance, la tumeur a besoin d’œstrogènes et de progestérone pour se développer. Le but de l’hormonothérapie est d’interférer avec ces hormones pour éviter le développement des cellules tumorales. Le tamoxifène a longtemps été la seule molécule utilisée : c’est un SERM agissant de façon antagoniste au niveau du sein. Mais son action à d’autres niveaux est aussi responsable d’effets indésirables. Depuis quelques années, de nouvelles molécules, les inhibiteurs de l’aromatase (enzyme permettant la transformation des androgènes en oestrogènes au niveau périphérique) : anastrozole, exeméstane et létrozole sont apparues. Elles ont une action plus ciblée et apparaissent ainsi plus avantageuses. Les résultats de différentes études comparant ces deux traitements montrent un avantage significatif pour les inhibiteurs de l’aromatase concernant la survie sans maladie et incite ainsi leur utilisation. Le profil d’effets indésirables est différent: principalement des myalgies, arthralgies et une perte osseuse pour ces inhibiteurs mais une augmentation de saignements vaginaux, du risque de cancer de l’endomètre et du risque thromboembolique pour le tamoxifène. Un bon suivi est important pour prendre en charge ces éventuels effets et fournir les traitements adéquats. La prise en charge d’un cancer du sein est pluridisciplinaire. Du dépistage par mammographie à la reconstruction mammaire, la patiente est entourée de toute une équipe soignante choisissant le traitement le plus approprié pour elle et pouvant répondre à ses questions
Breast Neoplasms --- Hormone Replacement Therapy --- Aromatose inhibitors --- neoplasms, Hormone-Dependent
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Hormone Replacement Therapy --- Estrogen Replacement Therapy --- Menopause --- Middle-aged women
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Menopause --- Hormone Replacement Therapy --- Osteoporosis, Postmenopausal --- drug effects --- epidemiology
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