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Our built environment inspires writers to reflect on the human experience, discover its history, or make it up.Buildings tell stories. Castles, country homes, churches, and monasteries are “documents” of the people who built them, owned them, lived and died in them, inherited and saved or destroyed them, and recorded their histories. Literature and Architecture in Early Modern England examines the relationship between sixteenth- and seventeenth-century architectural and literary works. By becoming more sensitive to the narrative functions of architecture, Anne M. Myers argues, we begin to understand how a range of writers viewed and made use of the material built environment that surrounded the production of early modern texts in England. Scholars have long found themselves in the position of excusing or explaining England’s failure to achieve the equivalent of the Italian Renaissance in the visual arts. Myers proposes that architecture inspired an unusual amount of historiographic and literary production, including poetry, drama, architectural treatises, and diaries. Works by William Camden, Henry Wotton, Ben Jonson, Andrew Marvell, George Herbert, Anne Clifford, and John Evelyn, when considered as a group, are texts that overturn the engrained critical notion that a Protestant fear of idolatry sentenced the visual arts and architecture in England to a state of suspicion and neglect.
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Ricciuti starts from an analysis of some of the most significant projects from the post-war period to identify, for each of the cultural spheres geographically defined by the cities of Rome and Milan, a series of recurring characteristics and motifs that can be traced back to the maestro's desire to maintain a coherent language, albeit in a dual thematic register. Within the assertion that there exists a specificity to Moretti's work, and a close relationship with the different contexts, the author investigates this duality while seeking an alliance with literature and art criticism. This she does by recalling terms belonging to the language of artistic exegesis, but also by citing some authoritative contributions to the history of poetry and of European literature from the twentieth century and much more besides.
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Après trois volumes consacrés à la ville de Fribourg dans les années 1950 et 1960, puis deux tomes dédiés au district du lac avec l’accent porté sur la ville de Morat dans le dernier quart du siècle passé, le sixième volume des Monuments d’art et d’histoire du canton de Fribourg s’intéresse au district de la Broye, plus exclusivement à son chef-lieu, Estavayer-le-Lac, située dans une grande enclave fribourgeoise en terres vaudoises, adossée au lac de Neuchâtel et de ce fait historiquement et artistiquement très orientée sur la rive nord du lac et le Jura, beaucoup plus que sur l’actuelle capitale cantonale. Actuellement, Estavayer-le-Lac fait partie d’une grande entité, Estavayer, résultant de la fusion administrative d’une grande partie des communes se trouvant dans l’enclave. Cette enclave correspond grosso modo à l’ancienne seigneurie des Estavayer, entité qui apparaît dans les documents au XIe siècle, peut-être ramification d’une famille évoluant dans l’orbite du roi Rodolphe III de Bourgogne, justement installée de l’autre côté du lac, à Colombier, avant qu’elle n’opère son transfert à Neuchâtel autour de l’an mil. Leur implantation sur ce site, fracture de la falaise molassique bordant le lac, propice à l’installation d’un port et d’une agglomération pouvant en tirer profit, est révélé par un premier indice architectural, la construction probablement à l’initiative de l’évêque de Lausanne d’un sanctuaire dans la 2e moitié du Xe siècle, dont ils sont les protecteurs, dédié à saint Laurent devenu très populaire après la victoire des Ottoniens sur les Hongrois à Lechfeld en 955. Leur premier château de Motte-Châtel, au centre de la ville actuelle, fait son apparition à la même époque. Dès lors, une première agglomération se développe autour de ces deux pôles architecturaux fortifiés. Au XIIIe siècle, les Estavayer, dépendants de l’évêque de Lausanne puis des comtes de Savoie qui prennent le relai, sont seigneurs de Gorgier ; ils sont les alliés autant du comte de Neuchâtel que des puissants seigneurs de Grandson. La haute conjoncture économique et démographique de cette époque voit la ville s’agrandir considérablement. Elle s’enveloppe d’une enceinte, par la suite flanquée de tours défensives, et surtout ponctuée par trois nouvelles forteresses, car le domaine se scinde alors en trois coseigneuries. Dans les années 1240, un deuxième château dédouble Motte-Châtel sur l’actuelle place de Moudon. Dès 1285, c’est la construction à l’angle nord de la ville du puissant château de Chenaux aussitôt contrebalancé au sud par sa réplique en réduction, le château des Estavayer-Cugy, très tôt passé dans le domaine direct des Savoie. De leur côté, les Estavayer-Chenaux favorisent l’implantation d’un monastère de dominicaines en 1316, toujours occupé par le même ordre, détenteur d’un très riche patrimoine mobilier et artistique reconstruit intégralement entre 1679 et 1735 sur les plans de l’architecte neuchâtelois Jonas Favre, homme à la croisée des cultures catholique et protestante. Dès le début du XIVe siècle, la fragmentation de la ville et du territoire en trois coseigneuries est défavorable aux Estavayer à qui il manque une assise foncière suffisamment forte pour entretenir leurs résidences et exercer leurs droits seigneuriaux. Les Savoie en tirent tout d’abord profit puisqu’en 1349 une des coseigneuries devient châtellenie savoyarde. En 1432, les coseigneurs de Chenaux vendent leur château à Humbert le Bâtard, demi-frère du duc Amédée VIII. On lui doit la spectaculaire ceinture fortifiée qui enveloppe l’édifice, avec ses deux tours de brique dominant le lac et son châtelet aux défenses très sophistiquées tourné contre la ville, introduisant également l’art de construire en brique, pratiquée au nord de l’Italie. Les Estavayer s’endettent ensuite auprès de la ville de Fribourg. Cela permet à cette dernière de prendre possession des trois coseigneuries par étapes, de 1488 à 1632 au décès de Laurent d’Estavayer, dernier des coseigneurs. L’arrivée de Fribourg juste avant la Réforme lui a permis sans doute d’influencer la population staviacoise en sa faveur, restée fidèle à la religion catholique. La ville, en général bien soutenue par ses coseigneurs dans ses relations avec les suzerains plus éloignés (maison de Savoie puis Fribourg), acquiert une autonomie de plus en plus forte au cours du temps. S’il ne reste plus rien de son ancien hôpital et plus grand-chose de son ancien hôtel de ville du début du XVIe siècle, l’église paroissiale est son étendard de prestige. Les archives communales permettent de suivre en détail sa reconstruction intégrale, entre 1390 et 1525 : l’édifice adopte d’abord le style gothique rayonnant puis passe au flamboyant. Outre un remarquable mobilier (stalles « savoisiennes »), elle conserve des antiphonaires magnifiques abandonnés par la Berne protestante, ainsi que de spectaculaires pièces d’orfèvrerie. Le substrat molassique accidenté en bord de falaise de même que des agrandissements par juxtaposition de faubourgs successifs au fur et à mesure que les coseigneurs d’Estavayer ont lotis leurs importantes possessions n’ont pas permis à cette ville de s’inscrire dans un plan urbanistique uniforme et planifié mais de s’adapter pragmatiquement à la topographie. L’exceptionnelle couverture documentaire conservée permet de mettre en évidence la progressive élaboration du tissu urbain caractérisant l’actuel intra muros, mais aussi les profondes modifications que celui-ci a subi à diverses époques. Sur la base du plan cadastral de 1746-1748, document charnière pour établir le lien avec les origines de cette ville, de nombreux plans, faubourg par faubourg, permettent de suggérer les dispositions primitives disparues, travail de reconstitution virtuel qui devra par la suite être vérifié par les archéologues mais qui leur fourniront une base de travail très solide.
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Nach 40jährigem Unterbruch startete 2011 die Wiederaufnahme der Kunstdenkmälerinventarisation im Kanton St. Gallen. Es ist der sechste Band, der sich nach dem Sarganserland (1951), der Stadt St. Gallen (1957, 1961), dem Seebezirk (1966) und dem Bezirk Gaster (1970) der Region Werdenberg im Rheintal widmet. Zusammen mit den 2013 veröffentlichten "Kunstdenkmälern des Fürstentums Liechtenstein" wird so eine grenzübergreifende Kulturlandschaft erschlossen. Die Region erstreckt sich parallel des Rheins und wird im Westen von den sog. Werdenberger Alpen begleitet. Auf zirka 23 Kilometern Länge reihen sich von Süd nach Nord die sechs Gemeinden Wartau, Sevelen, Buchs, Grabs, Gams und Sennwald mit rund 25 Dörfern bzw. Ortsteilen und weiten Streusiedlungen auf den Berghängen aneinander. Der namengebende, historische Hauptort – das Städtchen Werdenberg – liegt annähernd mittig und unmittelbar an den Gemeindegrenze Buchs/Grabs. Die den Rhein begleitenden Infrastrukturen Eisenbahn und Autobahn A1 haben Werdenberg in den letzten 150 Jahren massgeblich geprägt und als Wirtschaftsstandort gefördert. Viele der rheinnahen, ursprünglich isoliert gelegenen Dörfer sind dadurch zu weitfächernden, wirtschaftlich prosperierenden Siedlungsgeflechten zusammengewachsen, so das 2015 zur Stadt erhobene Buchs. Demhingegen haben die auf den Bachschuttkegeln am Hangfuss und in den Bergregionen gewachsenen historischen Dörfer und Weiler Vieles ihrer historischen Strukturen bewahrt, auch wenn sie längst ihre historischen Grenzen überwunden haben. Dennoch sind die teilweise strukturell erhaltenen, teilweise rekonstruierbaren Grenzlinien der Bergdörfer Wartaus nach wie vor einzigartig in der Region und vermutlich durch die jahrhundertealte Tradition freier Bauernschaften begründet. Demhingegen spiegeln zahlreiche und dicht verteilte Weiler und Höfe am Grabser Berg die dortige jahrhundertealte Dauerbewirtschaftung und –besiedlung. Die Region Werdenberg ist reich an hoch- und spätmittelalterlicher Bausubstanz, wobei zukünftig noch vieles Unerkannte unser heutiges Wissen erweitern dürfte. So wurden neben den weithin sichtbaren und verhältnismässig dicht gesetzten Herrschaftssitzen in Gretschins (Wartau), Sevelen, Werdenberg (Grabs), Sax und Salez (Sennwald) unerwartet viele profane Wohnbauten abseits des Städtchens Werdenberg erfasst, das mit seiner hochkarätigen mittelalterlichen Bausubstanz allerdings einen wichtigen Bearbeitungsschwerpunkt im Buch bildet. Mit seiner um/nach 1200 errichteten Burg der Grafen von Montfort und den aus ihnen hervorgehenden Grafen von Werdenberg geniesst das Miniaturstädtchen seit Jahrzehnten einen besonderen Stellenwert im kulturellen Erbe der Schweiz. Unerwartet reich sind darüber hinaus jedoch auch die Einblicke in die rund 800jährige Siedlungsentwicklung, vor allem zur Bauweise zur Zeit der Stadtgründung Anfang des 14. Jahrhunderts und seiner wichtigsten Ausbauphase zwischen 1370 und 1430. Gegenüber dieser Fülle mittelalterlicher Baubefunde treten die Belege in den übrigen Gemeinden zahlenmässig deutlich zurück. Eine Ausnahme bildet Sennwald, in dessen Grenzen zahlreiche gedrungen-turmartige Steinbauten zu beobachten waren. Bei dieser bautypologischen Sonderform des Spätmittelalters könnte sich um Lagerbauten wohlhabender Bauern oder von herrschaftlichen Gütern gehandelt haben. Zahlreich sind auch die archäologischen Befunde und schriftlichen Hinweise auf früh- und hochmittelalterliche Sakralbauten – erhalten blieb jedoch kaum eine Kirche dieser Zeit. Der Schwäbische Krieg 1499, Ortsbrände, Erdbeben, Erneuerungen und Abbrüche, aber auch die lange Zeit als Untertanengebiet setzten dem Baubestand erheblich zu. Anders als im südlichen Werdenberg, wo seit 1517 die Glarner Landvögte auf Schloss Werdenberg residierten und mit Frondiensten, Abgaben und Auflagen die Bevölkerung belasteten, profitierte Sennwald ab 1615 von der modernen Zürcher Verwaltung. Konfessionell unterschieden sich beide Teile jedoch nicht, da sich Glarus und die Freiherren von Sax in Sennwald dem reformierten Glauben zuwandten, den nach 1615 auch der Rechtsnachfolger der Saxer, der Stand Zürich vertrat. Nur Gams, seit 1497 Landvogtei von Glarus und Schwyz, blieb katholisch, da sich hier Schwyz gegenüber Glarus durchzusetzen vermochte. Nördlich und südlich von Gams wurden in den folgenden Jahrzehnten und Jahrhunderten landauf landab die Kirchen von katholischem Zierrat befreit und purifiziert, die Kapellen aufgegeben, Kirchen abgerissen oder teilweise neu erbaut: Die reformierten Werdenberger Kirchen sind entsprechend schlicht und werden von lichten Raumfassungen des 18. bis 20. Jahrhunderts geprägt. Umso mehr versuchte Gams ein weithin sichtbares Zeichen des alten Glaubens zu setzen und errichtete mit der hoch über dem Dorf thronenden Pfarr- bzw. Michaelskirche einen der beeindruckendsten Sakralbauten der Region: Der neugotische Kirchenbau von 1868 präsentiert sich trotz einiger Verluste in der farbenfrohen Raumfassung von 1923. Ob die Geschichte als Untertanenland, die zahlreichen Rheinüberschwemmungen oder ausgelaugten Böden schwerer wogen - eine von Wohlstand und Auskommen geprägte Kultur- und Baulandschaft konnte sich lange nicht bzw. nur kleinräumlich entwickeln. Zu beobachten ist dies beispielsweise an dem seit dem 18. Jahrhundert von der Vieh- und Pferdezucht profitierenden Bauern am Grabser Berg, in Gams und Sennwald oder in den Dörfern Wartaus, wo repräsentative Steinbauten des 18. Jahrhunderts den Wohlstand einzelner alteingesessener Familien spiegeln. Obwohl sich Werdenberg heute vergleichsweise modern und allenfalls vom ausgehenden 19. Jahrhundert geprägt präsentiert, fanden nur wenige jüngere Bauten Eingang in den Kunstdenkmälerband. Neben den o.g. herausragenden Kirchen sind dies vornehmlich Schulen, Wirtshäuser, Fabriken und integral erhaltene Technikbauten, darunter jene am Grabser Mühlbach. Gegenüber den 164 in Kurzmonografien und Monografien erarbeiteten Bauten treten etliche, für die Gemeindehistorie bedeutsame, aber substanzgestörte Gebäude inhaltlich zurück; sie werden in den einleitenden Kapiteln zur Siedlungs- und Wirtschaftsgeschichte in wesentlichen Daten und Fakten gestreift.
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Ricciuti starts from an analysis of some of the most significant projects from the post-war period to identify, for each of the cultural spheres geographically defined by the cities of Rome and Milan, a series of recurring characteristics and motifs that can be traced back to the maestro's desire to maintain a coherent language, albeit in a dual thematic register. Within the assertion that there exists a specificity to Moretti's work, and a close relationship with the different contexts, the author investigates this duality while seeking an alliance with literature and art criticism. This she does by recalling terms belonging to the language of artistic exegesis, but also by citing some authoritative contributions to the history of poetry and of European literature from the twentieth century and much more besides.
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Die Entwicklungsgeschichte der Architektur in einer furiosen Gesamtschau, neu erzählt als Geschichte einer großen Transformation: von der Baukunst der Antike bis zur erste Phase des Neubeginns in der Renaissance, von der Entfaltung der modernen Architektur bis hin zur Gegenwart und ihrer zukünftigen Entwicklung. Weil diese vielfältigen Prozesse mit dem Aufbruch der Moderne immer mehr Fahrt aufgenommen und inzwischen ein atem-beraubendes Tempo erreicht haben, drohen Überblick und Orientierung gänzlich verloren zu gehen: Was ist und was bleibt das Wesen der Architektur? Warum ist sie geworden, was sie heute ist? Wie wird sie sich weiter-entwickeln? Eine frappierende Erzählung, die zum ersten Mal überzeugend erklärt, warum die Welt der Architektur heute so ist, wie sie ist.
Architecture History of Architecture. --- Architektur. --- Architekturgeschichte.
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This volume - has the prevailing goal of let be known the effect and importance of the different locations of the University Federico II in the extended urban context of the metropolitan area of Naples. A publication in the occasion of Federico II's birthday, 795 years of history that fall on 7 June 2019. The twenty-seven sites of the University Federico II, gathered in this volume and described by my colleagues of the Department of history of Architecture of our University, are strongly linked to the history of the city, from the early Middle Ages to the modern and contemporary age. In fact, through their description, come to light events linked to civil, political and art history with the evolution of the style and the different artistic forms. The aim of the publication is to make people capable to understand the significant role of the locations of the Federico II, in the context of the metropolitan city, and how these valuable Architectures, plenty of art, thanks to the University are preserved, given value, repurposed, and offered in usage of a large audience. Questo volume ha la finalità prevalente di far conoscere l’incidenza e l’importanza delle differenti sedi dell’Università Federico II nel contesto urbano della vasta area metropolitana di Napoli. Una pubblicazione in occasione del compleanno della Federico II, 795 anni di storia che cadono il 7 giugno del 2019. Le ventisette sedi della Federico II, raccolte in questo volume e descritte dai colleghi appartenenti all’area di storia dell’architettura della nostra università, sono fortemente legate alla storia della città, dall’alto medioevo all’età moderna e contemporanea. Infatti, attraverso la loro descrizione, emergono eventi legati alla storia civile, politica e a quella dell’arte con l’evoluzione del gusto e delle diverse forme artistiche. L’obiettivo della pubblicazione è quello di far comprendere il ruolo significativo delle sedi della Federico II, nell’ambito della città metropolitana, e come queste pregevoli architetture, ricche di artisticità diffusa, grazie all’Università vengono conservate, rifunzionalizzate, valorizzate e offerte alla fruizione di un grande pubblico
University Federico II --- History of Architecture --- Heritage
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This volume - has the prevailing goal of let be known the effect and importance of the different locations of the University Federico II in the extended urban context of the metropolitan area of Naples. A publication in the occasion of Federico II's birthday, 795 years of history that fall on 7 June 2019. The twenty-seven sites of the University Federico II, gathered in this volume and described by my colleagues of the Department of history of Architecture of our University, are strongly linked to the history of the city, from the early Middle Ages to the modern and contemporary age. In fact, through their description, come to light events linked to civil, political and art history with the evolution of the style and the different artistic forms. The aim of the publication is to make people capable to understand the significant role of the locations of the Federico II, in the context of the metropolitan city, and how these valuable Architectures, plenty of art, thanks to the University are preserved, given value, repurposed, and offered in usage of a large audience. Questo volume ha la finalità prevalente di far conoscere l’incidenza e l’importanza delle differenti sedi dell’Università Federico II nel contesto urbano della vasta area metropolitana di Napoli. Una pubblicazione in occasione del compleanno della Federico II, 795 anni di storia che cadono il 7 giugno del 2019. Le ventisette sedi della Federico II, raccolte in questo volume e descritte dai colleghi appartenenti all’area di storia dell’architettura della nostra università, sono fortemente legate alla storia della città, dall’alto medioevo all’età moderna e contemporanea. Infatti, attraverso la loro descrizione, emergono eventi legati alla storia civile, politica e a quella dell’arte con l’evoluzione del gusto e delle diverse forme artistiche. L’obiettivo della pubblicazione è quello di far comprendere il ruolo significativo delle sedi della Federico II, nell’ambito della città metropolitana, e come queste pregevoli architetture, ricche di artisticità diffusa, grazie all’Università vengono conservate, rifunzionalizzate, valorizzate e offerte alla fruizione di un grande pubblico
xxxx --- University Federico II --- History of Architecture --- Heritage --- University Federico II --- History of Architecture --- Heritage
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architectural renovation --- landscape --- iconography --- city --- drawing --- history of architecture
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