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Depuis la fin de l’année 2019, le bon déroulement du système de règlement des différends de l’Organisation Mondiale du Commerce (ci-après « OMC ») est effectivement compromis en raison du blocage par l’administration américaine du renouvellement de mandats de certains juges au sein de l’organe d’appel. Or, le système de règlements des différends est essentiel pour arbitrer les rapports de force entre Etats en matière commerciale, il assure l’effectivité des obligations contenues dans les accords commerciaux de l’OMC, et par la même occasion, préserve le multilatéralisme des relations commerciales recherché lors de la création de l’OMC. Ce blocage est une manière pour les Etats-Unis d’exprimer leur désaccord avec le fonctionnement de l’Organe d’Appel. L’administration américaine considère que l’interprétation par l’Organe d’Appel, des accords commerciaux contribue à réduire les droits des Etats-membres et à leur créer des obligations supplémentaires. Ainsi, ce travail écrit a pour objectifs la recherche et l’analyse de pistes de solutions visant à débloquer cette situation, en partant des réflexions et des propositions émises tant par des experts, que par certains Etats-membres de l’OMC.
OMC --- Organe d'appel --- blocage --- commerce --- solutions --- Droit, criminologie & sciences politiques > Droit européen & international
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Bankbriefjes --- Billets de banque --- Blocage des billets et des comptes --- Blokkeeren van bankbriefjes en rekeningen --- Comptes --- Impôt sur le capital --- Rekeningen --- Vermogensbelasting --- 336.21 : 33.014
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Introduction : Les hôpitaux brassent un grand nombre de patients programmés et non programmés. Les services d’hospitalisation doivent gérer leurs lits de manière à pouvoir admettre les patients programmés mais également les patients se présentant par les services d’urgence. L’incapacité de transférer les patients des urgences vers les services d’hospitalisation est l’origine principale du surpeuplement des services d’urgence. Il s’agit d’un phénomène mondial. Ainsi, plusieurs hôpitaux dans divers pays, tels que le Canada, l’Australie, la Chine, les Etats-Unis, l’Angleterre, la France mais également la Belgique ont mis en place des méthodes permettant de contrôler le surpeuplement des services d’urgence en amont et en aval. Plusieurs établissements de soins utilisent un système de gestion des lits centralisé par une équipe spécialisée afin de gérer au mieux le flux de patients programmés et non programmés de leur admission jusqu’à leur sortie. Au sein du Centre Hospitalier du Bois de l’Abbaye (CHBA), malgré l’augmentation de la patientèle, il n’existe pas de système de gestion des lits centralisé. Actuellement, seuls les services d’orthopédie et de gériatrie possèdent un secrétariat qui gère leurs admissions en journée. Matériel et Méthodes : Il s’agit d’un processus d’amélioration fondé sur la méthodologie du Lean management. Cette étude a pour objectif de comprendre la gestion des lits actuellement présente au CHBA par le biais d’entretiens individuels et de questionnaires impliquant des médecins, des cadres, des infirmiers en chef, des infirmiers adjoints, des infirmiers urgentistes et des infirmiers de salle ainsi que des administratifs travaillant au sein du CHBA de Seraing. Une revue de la littérature a permis de relever les méthodes de gestion des lits existantes afin de proposer au CHBA un processus de gestion idéal. Résultats : Cette étude a permis de relever plusieurs méthodes de gestion des lits existantes permettant une optimisation du flux de patients et de l’occupation des lits. Conclusion : Un système de gestion des lits centralisé par une équipe spécialisée semble être le système idéal pour contrôler le flux de patients et optimaliser l’occupation des lits au sein du CHBA. La littérature indique également la répercussion positive d’une cellule de gestion des lits sur la performance globale des établissements de santé.
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Bankbriefjes --- Billets de banque --- Blocage des billets et des comptes --- Blokkeeren van bankbriefjes en rekeningen --- Comptes --- Fiscale amnestie --- Impôt sur le capital --- Impôt sur les bénéfices de guerre --- Oorlogswinstbelasting --- Rekeningen --- Vermogensbelasting --- 336.213
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Amnistie fiscale --- Bankbriefjes --- Billets de banque --- Blocage des billets et des comptes --- Blokkeeren van bankbriefjes en rekeningen --- Comptes --- Fiscale amnestie --- Impôt sur le capital --- Impôt sur les bénéfices de guerre --- Oorlogswinstbelasting --- Rekeningen --- Vermogensbelasting --- 336.21
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Amnistie fiscale --- Bankbriefjes --- Billets de banque --- Blocage des billets et des comptes --- Blokkeeren van bankbriefjes en rekeningen --- Comptes --- Fiscale amnestie --- Impôt sur le capital --- Impôt sur les bénéfices de guerre --- Oorlogswinstbelasting --- Rekeningen --- Vermogensbelasting --- 336.21
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Amnistie fiscale --- Bankbriefjes --- Billets de banque --- Blocage des billets et des comptes --- Blokkeeren van bankbriefjes en rekeningen --- Comptes --- Fiscale amnestie --- Impôt sur le capital --- Impôt sur les bénéfices de guerre --- Oorlogswinstbelasting --- Rekeningen --- Vermogensbelasting --- 336.21
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Human immuno-deficiency virus type 1 (HIV-1) can be treated using anti-retroviral therapy (ART) and undetectable viremia can be achieved with it. Although, as soon as this treatment is discontinued, viremia always rebounds. Thus, current HIV treatments are not curative. This is likely due to the capacity of HIV-1 in some infected cells to enter a state of latency while keeping the ability to reactivate and produce virions. These cells constitute the latent reservoirs. Reactivating and eliminating these reservoirs seems promising to achieve a functional cure, or long-term control of HIV-1 infection without ART. For this, many strategies have been developed. This study focuses on the use of the “shock and kill strategy,” and particularly the use of antibodies to block the interferon (IFN) pathway in combination with latency reversing agents (LRAs) to reactivate HIV infected cells. The goal is to evaluate the effect of the blockade of type I and type III IFN receptors on HIV-1 latent reservoirs. For this, peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) of people infected with HIV-1 are put in culture, treated with different antibodies blocking IFN signalling, and stimulated with LRAs to reactivate the latent reservoirs. The reactivation of latently infected cells is evaluated through virus production after LRA treatment by quantifying HIV-1 RNA in the supernatant of cultures. Moreover, the size of the reservoirs is evaluated by quantifying proviral DNA in the cells before culture. These two types of data give us valuable information on the state of the viral reservoirs and its reactivation under the effect of interferon blocking treatments. Le virus de l’immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1) peut aujourd’hui être traité grâce à la thérapie antirétrovirale (ART ou antiretroviral therapy) et permet d’obtenir une virémie indétectable. Cependant, dès que le traitement est arrêté, il y a un rebond de virémie, c’est-à-dire que les traitements actuels ne sont pas curatifs. Cela est dû à la capacité du VIH d’infecter des cellules de manières latentes, tout en gardant la capacité de se réactiver. Ces cellules constituent les réservoirs latents du VIH-1. Une manière de se débarrasser de ces réservoirs serait de les réactiver et les éliminer, dans le but d’éradiquer complètement ou de contrôler le virus à long terme sans ART. Pour cela, plusieurs stratégies ont été développées. Cette étude se concentre sur l’utilisation de la stratégie « SHOCK and KILL », et plus particulièrement sur l’utilisation d’anticorps bloquant la voie des interférons en combinaison avec des agents ré-activateurs de latence (LRA ou latency reversing agents) pour réactiver les cellules infectées de manière latente. Le but est d’évaluer l’effet du blocage des récepteurs aux interférons de type I et de type III. Pour cela, les cellules sanguines mononuclées périphériques (PBMCs ou peripheral blood mononuclear cells) de personnes infectées par le VIH sont cultivées ex vivo, traitées par des anticorps bloquant les récepteurs aux interférons, et stimulées avec des LRA pour réactiver les réservoirs latents. La réactivation des cellules infectées de manière latente est évaluée au travers de la production de virus après traitement aux LRAs en quantifiant l’ARN viral dans le surnageant des cultures. De plus, la taille du réservoir est évaluée avant culture en quantifiant l’ADN proviral intégré. Ces données apportent des informations importantes sur l’état des réservoirs latents et sur leur comportement sous l’effet de traitements bloquants les interférons.
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