Listing 1 - 10 of 25 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Ce livre propose un voyage aux confins de la parole, là où les mots condamnent. Pendant plusieurs mois, la journaliste Julie Brafman est allée à la rencontre d’avocats et de juges, d’accusés et de victimes, de policiers et de gendarmes avec lesquels elle a décortiqué le processus de l’aveu, et cherché à décrypter, de manière très incarnée, ce moment particulier où une affaire bascule. À travers leurs yeux et leurs souvenirs, elle explore dix histoires criminelles, plus ou moins connues, qui révèlent aussi bien le vertige de ceux qui ont confessé leur crime que celui des témoins muets qui ont « accouché » leurs confidences. Chacun de ces récits se lit comme une nouvelle. L’ouvrage, enrichi par une dizaine d’illustrations en noir et blanc d’inspiration cinématographique, aborde ce thème de façon originale en alternant les chapitres sur les affaires et d’autres, plus analytiques mais tout aussi passionnants. L’auteur veut comprendre pourquoi la justice est obnubilée par l’aveu, cette confession spontanée ou arrachée, considérée comme « la reine des preuves ». Julie Brafman ouvre ainsi une réflexion sur la justice au carrefour de l’histoire, de la psychologie, de la religion, de la morale et du droit
Choose an application
L'aveu est d'abord l'énonciation d'une vérité ou, tout au moins, de ce qui se présente comme telle. La critique foucaldienne a vu dans l'aveu un assujettissement. Pour des raisons similaires la psychanalyse a cherché à se démarquer d'une procédure d'aveu et le droit a dévalorisé cette preuve. Pourtant, l'aveu réapparaît aujourd'hui dans le droit sous la forme du plaider coupable ou encore de la médiation pénale. Cette résurgence a une signification. Elle montre que nous avons négligé la richesse du phénomène et sa profondeur. Même s'il ne fait pas de doute que la recherche de l'aveu en droit doit avoir ses limites, et même si l'aveu peut avoir des effets normalisants et destructeurs, il est parfois aussi une libération ou une voie vers la réconciliation. En outre, il pénètre de nombreux discours et ses effets sont très divers selon les contextes où il s'inscrit. C'est pourquoi l'ambition de ce livre est de présenter les éléments d'une réévaluation de l'aveu. Introduit par une réflexion sur son usage contemporain dans le droit, il croise des approches philosophiques profondément distinctes si ce n'est opposées. La phénoménologie, la psychanalyse et la philosophie analytique sont autant d'éclairages sur ce phénomène multiforme.
Vérité --- Aveux (droit) --- Vérité.
Choose an application
L’ouvrage restitue une expérience pédagogique innovante de séminaire universitaire de criminologie en milieu carcéral construit autour du thème « le récit de crime : réalités et fiction », qui a donné lieu à l’organisation d’un colloque restitutif qui s’est tenu à la faculté de droit d’Aix-en-Provence le 17 juin 2015. La prison et ses représentations sont au coeur de ce projet qui a réuni étudiants de master 2 et personnes détenues au centre pénitentiaire des Baumettes autour d’une réflexion commune sur le passage à l’acte. Le thème général retenu a été en effet étudié sous l’angle contrasté et pluridisciplinaire du passage à l’acte criminel à partir de cas réels qui ont fait l’objet d’une étude historique conjugués à une approche littéraire de ces mêmes thèmes dans la grande littérature. En se posant, derrière les murs et hors les murs, la question des représentations fictives qui accompagnent le fameux « récit du passage à l’acte », les différents participants à ce colloque, universitaires et professionnels nous ont livrés en droit, en sociologie, en littérature une réflexion passionnante sur la notion de récit de crime. Tout aussi passionnant a été le retour d’expérience délivré par les acteurs du séminaire. Il ressort des discours des étudiants, des personnels, des personnes détenues, que cette expérience a été pour eux et avant tout une leçon de vie.
Acte criminel --- Aveux de culpabilité --- Criminologie --- Dans la littérature --- Acte criminel. --- Aveux de culpabilité. --- Criminologie. --- Dans la littérature. --- Aveux de culpabilité.
Choose an application
Cet ouvrage a été élaboré à partir du rapport scientifique d'une recherche financée par le GIP - Mission de recherche droit et justice. Un colloque a marqué la dernière étape de cette recherche, le 14 mai 1998. L'aveu recouvre trois significations : la reconnaissance d'une faute accompagnée d'une éventuelle sanction, la confession catholique suivie du pardon, la capitulation d'un accusé face à l'autorité. Si l'histoire permet de reconstituer les glissements successifs de sens, la sociologie observe que, dans les contextes actuels de l'aveu, ces significations sont souvent enchevêtrées. Cette polysémie fait de l'aveu un phénomène complexe, intéressant les chercheurs en sciences humaines et les praticiens confrontés à ses ambiguïtés. Cet ouvrage propose une analyse à partir de diverses approches
Admissions (Law) --- Confession (Law) --- Pleas of guilty --- Aveux (Droit) --- Confession (Droit) --- Aveux de culpabilité --- Criminal procedure --- Evidence, Criminal --- Evidence (Law) --- Confession (Law). --- Aveux de culpabilité --- Aveux (droit) --- Histoire --- Histoire. --- Confession.
Choose an application
Dans un bourg du Nord, Yvan est apprenti menuisier. Né d’un père borné et réac, et d’une mère qui rêverait qu’il devienne artiste, c’est un adolescent complexé et solitaire, moqué pour sa laideur et sa différence par ses camarades. Tout près de chez lui, un enfant est retrouvé mort, assassiné. Les policiers débarquent dans la maison familiale pour une enquête générale, un engrenage implacable se met alors en branle. La mère d’Yvan s’emmêle dans ses déclarations, leur ment, revient sur ses propos. Tétanisé et mutique, Yvan se contredit plusieurs fois, et se fait piéger à la suite d’un petit mensonge… L’univers sombre et cruel de Frédéric Viguier emprunte tout à la fois au cinéma radical de Bruno Dumont et au roman social, et y ajoute le suspense d’un roman noir.
Adolescents obèses --- Marginaux --- Aveux de culpabilité --- Mères et fils --- Meurtre
Choose an application
Aveux spontanés --- Spontane bekentenis --- 343.95 : 343.144
Choose an application
La 4ème de couverture indique : "La justice pénale prend en considération l’aveu de manière ambivalente. D’une part, l’aveu fait l’objet d’une certaine défiance car il est un moyen de preuve considéré comme fragile, entouré d’une forme d’incertitude. Son obtention, au cours du procès pénal, doit donc être fortement encadrée. D’autre part, la justice pénale est attachée à l’aveu, car il peut être observé comme constituant le vecteur d’un procès pénal efficace. A cet égard, l’époque contemporaine est marquée par une forme de valorisation de l’aveu qui se trouve au cœur de processus pénaux alternatifs. Le présent ouvrage essaie d’apporter des éléments pour expliquer le rapport ambigu que la justice pénale entretient avec l’aveu. Comment envisager qu’un mode de preuve peu fiable puisse disposer d’une place prépondérante au sein de la justice pénale ?"
Aveux (droit) --- Procédure pénale --- Procès --- Admissions (Law) --- Criminal procedure --- Procédure pénale --- Trials --- Procès
Choose an application
This book addresses the fundamental ethical and legal aspects, penal consequences, and social context arising from a citizen's acceptance of guilt. The focus is upon sentencing people who have pleaded guilty; in short, post-adjudication, rather than issues arising from discussions in the pretrial phase of the criminal process. The vast majority of defendants across all common law jurisdictions plead guilty and as a result receive a reduced sentence. Concessions by a defendant attract more lenient State punishment in all western legal systems. The concession is significant: at a stroke, a guilty plea relieves the State of the burden of proving the defendant's guilt beyond a reasonable doubt, and in open court. Plea-based sentencing has become even more visible in recent years. The book provides insightful commentary on the following questions: - If an individual voluntarily accepts guilt, should the State receive this plea without further investigation or any disinterested adjudication? - Is it ethically acceptable to allow suspects and defendants, to self-convict in this manner, without independent confirmation and evidence to support a conviction? - If it is acceptable, what is the appropriate State response to such offenders? - If the defendant is detained pretrial, the ability to secure release in return for a plea may be particularly enticing. Might it be too enticing, resulting in wrongful convictions?.
Pleas of guilty. --- Aveux de culpabilité. --- Pleas of guilty --- Aveux de culpabilité --- Sentences (Criminal procedure) --- Sentences (procédure pénale) --- Comparative law. --- Droit comparé. --- Moral and ethical aspects. --- Aspect moral. --- Social aspects. --- Société. --- Aveux de culpabilité. --- Aveux de culpabilité --- Sentences (procédure pénale) --- Droit comparé. --- Société.
Choose an application
Des études antérieures (Justice et al., 2013 ; 2016) ont démontré que les vrais souvenirs sont plus vivaces que les souvenirs fabriqués intentionnellement. Cependant, la mesure de vivacité utilisée dans ces études est très générale. De plus, le caractère positif ou négatif des évènements n’a pas été pris en compte. Or, les individus fabriquent généralement des souvenirs dans des cas d’évènements négatifs (infraction) ou positif (mise en avant de l’individu), ce qui peut affecter la disponibilité de détails. L’objectif de ce mémoire est d’examiner dans quelle mesure vrais et faux souvenirs intentionnellement fabriqués peuvent se distinguer lorsque des mesures plus fines sont utilisées et si des différences apparaissent selon le type d’événement considéré (neutre, positif, négatif). Pour ce faire, nous inviterons 48 participants (24 hommes et 24 femmes « tout venant » âgés de 18 à 60 ans) à participer à 4 séances d’évaluation. Lors des trois premières séances (+- 45 minutes) espacées de deux semaines, le participant, testé individuellement, voit des titres d’évènements de la vie quotidienne relativement neutres, négatifs ou positifs et est invité : soit à se rappeler des souvenirs correspondant aux titres qui lui sont présentés, soit à fabriquer intentionnellement des souvenirs convaincants d’évènements correspondant aux titres mais qu’il n’a en réalité pas vécus. Chaque description d’événement est enregistrée via un dictaphone et chronométrée. Pour chaque événement, le participant est invité à compléter le « MCQ ; quantité de détails » et le « VVI ; image mentale » A la quatrième séance, un mois après la troisième, le participant sera invité à prendre part à un test de mémoire surprise. Il reçoit une liste d’évènements et doit déterminer si l’évènement est un évènement qu’il a rappelé ou imaginé au cours d’une des séances précédentes ou s’il s’agit d’un évènement qui n’a été ni rappelé ni imaginé.
Choose an application
Les modes alternatifs de règlement des conflits sont aujourd'hui, sous le sigle M.A.R.C, une réalité procédurale de plus en plus ancrée en droit positif français. Même si les tentatives de transformation des procédures prennent, on le sait, des chemins hésitants avant de s'insérer pleinement dans un système, ces évolutions invitent déjà à relire les fonctions que l'aveu peut revêtir en justice. Une approche d'histoire comparée des droits - français, canadiens et inuit - peut ici révéler toute sa pertinence pour comprendre les fonctions que la parole peut jouer dans la gestion des conflits.
Admissions (Law) --- Aveux (Droit) --- Dispute resolution (Law) --- Règlement des conflits --- Comparative law --- Droit comparé --- Mediation --- Médiation --- History. --- Histoire --- Aveux (droit). --- Inuits --- Gestion des conflits --- Droit --- Sources. --- Preuve (droit) --- Procédure pénale. --- Règlement de conflits --- Droit.
Listing 1 - 10 of 25 | << page >> |
Sort by
|