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Archival Basics: a practical manual for working with historical collections is an introduction to the concepts, policies, infrastructure and tasks needed to collect, preserve and make archival collections available to researchers. The book is based on content presented in workshops by the Council of State Archivists and presented in an on-line course by the American Association for State and Local History since 2003. Arp focuses on the discreet tasks necessary to manage archival collections. This is a practical, how-to book on managing archival collections designed for those who have responsibility for such collections but lack formal archival training. The book begins by defining historic records, archival collections and the differences between archives, libraries and museums while identifying the steps needed to manage archival collections. It then looks at collecting archival items including creating a collections policy, documenting the acquisition of archival items and the steps needed to bring those items into an archives. It discusses arranging, preserving and describing archival collections so researchers can find the information they seek. Next, it goes over what is needed to store, protect, and make archival collections available to researchers. The last chapters contemplates the policies, skills and infrastructure needed to successfully manage digital records and looks at creating digital copies of analog records to promote their use.
Archives --- Archival materials --- Archival materials. --- Archives.
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Archives have become a nexus in the wake of the digital turn. Electronic files, search engines, video sites, and media player libraries make the concepts of "archival" and "retrieval" practically synonymous with the experience of interconnected computing. Archives today are the center of much attention but few agendas. Can archives inform the redistribution of power and resources when the concept of the public library as an institution makes knowledge and culture accessible to all members of society regardless of social or economic status? This book sets out to show that archives need our active support and continuing engagement. This volume offers three distinct perspectives on the present status of archives that are at once in disagreement and solidarity with each other, from contributors whose backgrounds cut across the theory-practice divide. Is the increasing digital storage of knowledge pushing us toward a turning point in its democratization? Can archives fulfill their paradoxical potential as utopian sites in which the analog and the digital, the past and future, and remembrance and forgetting commingle? Is there a downside to the present-day impulse toward total preservation?
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Le travail sur archives est l'une des techniques d'enquête essentielles dans de nombreux domaines : sciences humaines et sociales, mais aussi journalisme ou encore généalogie.En abordant toutes les facettes de ce travail, cet ouvrage donne les clés indispensables pour la consultation et l'analyse des documents d'archives. Il vise autant à former les étudiants qu'à faciliter à tous ceux, enseignants- chercheurs, professionnels divers et particuliers, l'accès à l'univers parfois complexe des archives.Cet ouvrage souhaite à la fois transmettre des rudiments d'archivistique, renseigner sur les centres et les services d'archives et donner des conseils pratiques pour exploiter le plus efficacement les documents d'archives. Attentif à présenter la grande diversité de ces documents (publics comme privés, imprimés comme manuscrits, sonores comme iconographiques, papier comme numériques), il sera pour tous un guide et un outil de référence.
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Le XXXIXe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public s'est tenu, en avril-mai 2008, dans une capitale orientale, Le Caire, pour faire dialoguer ensemble orientalistes et « occidentalistes » et rappeler que la richesse culturelle de l'Orient et de l'Occident au Moyen Âge vient non seulement des héritages communs, mais aussi du dialogue et des échanges qui n'ont cessé durant le millénaire médiéval. Ce volume, intitulé L'autorité de l'écrit au Moyen Age, traite tout à la fois de la production de l'écrit, de l'autorité du document et de la constitution d'archives dans l'Occident médiéval comme dans les mondes byzantin et musulman. Il envisage en premier lieu la place de l'écrit dans les sociétés où la parole et le geste sont essentiels, considérant les groupes qui ont pour métier d'écrire (rédacteurs, clercs de chancellerie, cadis ...), étudiant leurs pratiques et la diffusion des techniques d'écritures mises en œuvre. L'usage de l'écrit conduit à la question de l'autorité du document produit et de son efficacité : l'écrit et les gestes enregistrés, les signes de validation, la qualité des personnes qui le présentent et celle des témoins qui le souscrivent, les choix linguistiques multiples adoptés par les rédacteurs, les situations dans lesquelles le document a été utilisé, même pour le falsifier. Dans le monde musulman par exemple, où la fiabilité de témoins intègres est supérieure à celle d'un document écrit, potentiellement falsifiable, on comprend que le statut du document écrit, son aptitude à faire preuve, soit moindre qu'en Occident où c'est une de ses premières fonctions. La constitution et la conservation d'archives sont au cœur des enjeux de pouvoir : à qui est confiée la garde des documents et dans quels lieux ? Ici aussi Occident et Orient se distinguent par leurs pratiques : les rois de France pensaient que la constitution des registres d'actes royaux manifestait leur pouvoir alors que les souverains musulmans ne voyaient pas dans la conservation systématique de leurs archives, pourtant élaborées de façon sophistiquée, un signe éminent de souveraineté. Ont enfin été abordées les questions des conservations aléatoires, des abandons, des destructions, des copies, des traductions et des faux, ouvrant ainsi de nouvelles pistes de recherche.
Archival materials. --- Authority --- History.
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Le XXXIXe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public s'est tenu, en avril-mai 2008, dans une capitale orientale, Le Caire, pour faire dialoguer ensemble orientalistes et « occidentalistes » et rappeler que la richesse culturelle de l'Orient et de l'Occident au Moyen Âge vient non seulement des héritages communs, mais aussi du dialogue et des échanges qui n'ont cessé durant le millénaire médiéval. Ce volume, intitulé L'autorité de l'écrit au Moyen Age, traite tout à la fois de la production de l'écrit, de l'autorité du document et de la constitution d'archives dans l'Occident médiéval comme dans les mondes byzantin et musulman. Il envisage en premier lieu la place de l'écrit dans les sociétés où la parole et le geste sont essentiels, considérant les groupes qui ont pour métier d'écrire (rédacteurs, clercs de chancellerie, cadis ...), étudiant leurs pratiques et la diffusion des techniques d'écritures mises en œuvre. L'usage de l'écrit conduit à la question de l'autorité du document produit et de son efficacité : l'écrit et les gestes enregistrés, les signes de validation, la qualité des personnes qui le présentent et celle des témoins qui le souscrivent, les choix linguistiques multiples adoptés par les rédacteurs, les situations dans lesquelles le document a été utilisé, même pour le falsifier. Dans le monde musulman par exemple, où la fiabilité de témoins intègres est supérieure à celle d'un document écrit, potentiellement falsifiable, on comprend que le statut du document écrit, son aptitude à faire preuve, soit moindre qu'en Occident où c'est une de ses premières fonctions. La constitution et la conservation d'archives sont au cœur des enjeux de pouvoir : à qui est confiée la garde des documents et dans quels lieux ? Ici aussi Occident et Orient se distinguent par leurs pratiques : les rois de France pensaient que la constitution des registres d'actes royaux manifestait leur pouvoir alors que les souverains musulmans ne voyaient pas dans la conservation systématique de leurs archives, pourtant élaborées de façon sophistiquée, un signe éminent de souveraineté. Ont enfin été abordées les questions des conservations aléatoires, des abandons, des destructions, des copies, des traductions et des faux, ouvrant ainsi de nouvelles pistes de recherche.
Archival materials. --- Authority --- History.
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Archives have become a nexus in the wake of the digital turn. Electronic files, search engines, video sites, and media player libraries make the concepts of "archival" and "retrieval" practically synonymous with the experience of interconnected computing. Archives today are the center of much attention but few agendas. Can archives inform the redistribution of power and resources when the concept of the public library as an institution makes knowledge and culture accessible to all members of society regardless of social or economic status? This book sets out to show that archives need our active support and continuing engagement. This volume offers three distinct perspectives on the present status of archives that are at once in disagreement and solidarity with each other, from contributors whose backgrounds cut across the theory-practice divide. Is the increasing digital storage of knowledge pushing us toward a turning point in its democratization? Can archives fulfill their paradoxical potential as utopian sites in which the analog and the digital, the past and future, and remembrance and forgetting commingle? Is there a downside to the present-day impulse toward total preservation?
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Archival materials --- Archives --- Administration
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