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Yersinia pseudotuberculosis. --- Yersinia pseudotuberculosis.
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L’étude de la protéine P1 chez quelques souches de référence, par agglutination dans leur sérum P1 homologue et dans des sérums P1 hétérologues, nous a permis d’établir un schéma de la diversité antigénique de la protéine P1 pour ces souches ; ce schéma est confirmé par des techniques de biologie moléculaire.
Deux particularités de la protéine P1 – sa structure en fibrilles et son caractère de protéine de membrane externe attachée à la surface de la bactérie - nous ont permis de la mettre en évidence par cette technique simple qu’est l’agglutination sur lame.
La détection de P1 réalisée en parallèle avec les tests de CA++ dépendance et d’autoagglutination définit cette protéine non seulement comme marqueur de virulence mais aussi comme témoin de la présence du plasmide pYV.
Enfin, la mise en évidence des divers facteurs de P1 sur un vaste échantillon de souches pathogènes introduit de nouvelles subdivisions ne correspondant pas à la classification en biosérogroupes. La protéine P1 constitue dès lors un marqueur de choix pour des études épidémiologiques
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Yersinia enterocolitica. --- Yersinia enterocolitica infections. --- Yersinia. --- Yersinia infections.
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Le but de ce travail était triple :
- Trouver des caractères supplémentaires, permettant de mieux distinguer les espèces ou biotypes de Yersinia qui ne se distinguent que par un seul caractère biochimique et de contribuer ainsi à une meilleure identification de ces souches.
Trouver des caractères permettant de distinguer les souches appartenant à une seule espèce, vu leur comportements identiques vis-à-vis de tous les tests d’identification, mais dont on sait qu’ils forment des groupes d’hybridation ADN-ADN différents. C’est le cas des Y. kristensenii (2 groupes d’homologie) et Y. frederiksenii (3 groupes d’homologie).
- Trouver une série de caractères identiques chez des groupes de germes, qui les distinguent des autres espèces et biotypes et qui justifieraient une étude génétique sur ces souches. Ou au contraire trouver des tests qui permettent de rapprocher ces germes atypiques des espèces et biotypes connus.
Deux approches ont été choisies comme outil de travail :
1. Des études métaboliques :
- La croissance en milieu minimal M70 additionné de différents substrats.
- La fermentation et l’assimilation du mucate.
- La fermentation de l’ascorbate.
2. L’étude des profils électrophorétiques des protéines.
Ces investigations nous ont apporté les informations suivantes :
- L’assimilation de divers substrats sur milieu M70.
C’est une méthode très pratique pour des études taxonomiques étant donnée qu’elle permet de tester 20 souches simultanément. Pour la pratique courante il est plus utile de développer des tests individuels à partir des résultats obtenus.
Les substrats utiles sont ceux qui partagent les espèces et biotypes en groupes homogènes. Des substrats intéressants à ce point de vue sont la malate de sodium, la D-alanine et le gluconate de potassium.
D’autre part, les résultats de la croissance en milieu M70 rapprochent un groupe de 13 souches, identifiées présomptivement comme Y. mollaretii et Y. bercovieri, des Y. mollaretii.
- La fermentation et l’assimilation du mucate.
Ce travail a permis de confirmer les résultats d’études partielles précédentes. D’autre part, il a permis de partager l’espèce Y. kristensenii en deux groupes, l’un positif et l’autre négatif pour ces tests. Cette étude a enfin permis de comparer différents tests au mucate.
- La fermentation de l’ascorbate.
Ce test, dont l’utilisation est à déconseiller pour la pratique courante, à néanmoins donné un argument supplémentaire qui appuie l’hypothèse qu’un groupe de six germes, se rapprochant biochimiquement des Y. enterocolitica biotype 1A, possédant toutes l’antigène 0 :64 ; formerait une espèce ou un biotype à part.
- L’étude des profils électrophorétique des protéines. Les résultats sont très complexes. Cette étude permet néanmoins d’affirmer que les biotypes potentiellement pathogènes ont des profils très constants tandis que la plupart des espèces et biotypes non pathogène ont des profils très hétérogènes
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Arthritis --- Yersinia infections --- Yersinia --- Yersinia --- Infectious --- Microbiology. --- Complications. --- Genetics. --- Pathogenicity.
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