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La conquête du Paraguay (1536-fin du XVIe siècle) se confond avec celle du Río de la Plata et avait pour objectif principal la découverte des mines argentifères de la Cordillère des Andes. L’hostilité des indigènes et les pénuries dont souffrirent les conquistadores pendant plusieurs années retardèrent l’organisation d’expéditions vers le Potosí, qui fut finalement conquis depuis le Pérou. La pauvreté du sous-sol paraguayen fit que la Couronne de Castille se désintéressa bientôt de cette province qui ne lui servait plus qu’à ralentir l’avancée des Portugais du Brésil vers l’ouest. Abandonnée des autorités métropolitaines, isolée des autres provinces de l’empire, le Paraguay apprit à survivre de façon autonome. La force de caractère de ses conquistadores, les alliances avec les Guaranis, la fertilité de la région d’Asunción et la bonne intégration des métis à la société coloniale furent les atouts qui lui permirent de se développer économiquement, démographiquement et territorialement.
History --- histoire --- Paraguay --- XVIe siècle
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Histoire: XVIe siècle --- Biographie --- Charlotte de BOURBON
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le XVIe siècle --- religion --- philosophie --- roman
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À l’époque où elle gagne la France, la Renaissance européenne est encore un espoir, et déjà une crise. Ses virtualités contrastées éclatent dans la littérature en enthousiasmes, dérisions, liturgies du plaisir, du désir et du deuil, en méditations ironiques ou graves, en visions, parfois en vertiges. Le présent ouvrage souligne ces traits divergents, et privilégiant les œuvres qui marquent les mutations et les ruptures, et qui, de nos jours encore, posent les questions fondamentales de la culture moderne. Cette nouvelle édition tient compte de certaines avancées récentes de la recherche.
Literature --- Literature, Romance --- littérature --- XVIe siècle
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Bibliotheque colombine (seville) --- Livres francais --- Xvie siecle
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Pour Anne de Montmorency (1493-1567), la période pendant laquelle il devient l'un des conseillers les plus influents de François Ier commence lorsque celui-ci revient dans son royaume en 1526. Le roi doit affronter un double problème. D'une part, son prestige est écorné, surtout à l'intérieur du royaume. D'autre part, l'ossature du Conseil royal est à reconstruire. Replacé dans cette double conjoncture, le choix royal de s'en remettre au « premier baron de France » prend tout son sens. Déjà riche des revenus de seigneuries qui couvrent le nord de la capitale, allié à de nombreux lignages nobles, ainsi qu'à des familles d'officiers de justice, fils aîné d'un fidèle serviteur des Valois, le souverain lui permet d'acquérir une stature d'homme d'État en renforçant ses puissances familiale, foncière, féodale et curiale. Entre 1526 et 1527, le roi le marie à l'une de ses cousines, le nomme gouverneur du riche Languedoc et lui confie l'office de Grand Maître de France. Grand officier de la Couronne, celui-ci organise et gère la vie quotidienne de la Cour de France. Charge centrale, la grande maîtrise suppose la détention de moyens matériels et humains pour contrôler la Cour, ainsi qu'une légitimité incontestable pour parvenir à maintenir son équilibre. Pour le Grand Maître, la conjonction des deux paramètres se réalise à l'été 1530, lorsqu'il parvient à faire libérer les fils du roi. S'ouvre alors un « moment Montmorency » qui va durer une dizaine d'années. Ce sont les prémices de ce moment que l'étude, fondée notamment sur l'analyse de plus de 3 000 lettres reçues par le Grand Maître et son secrétaire, se propose de restituer.
History --- noblesse --- histoire de France --- biographie --- XVIe siècle --- Grand Maître
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Une appréhension de la réalité sub specie hominis, d’un point de vue strictement humain : Eugenio Garin caractérise en ces termes la pensée de la Renaissance, comme une humanisation de l’approche de la réalité « en termes de liberté, de volonté et d’action ». Cela ne signifie pas que le pragmatisme est le dernier mot de l’humanisme, ni que l’homme est la mesure de toutes choses, mais que notre connaissance est essentiellement une connaissance par les effets : effets naturels, effets de la volonté divine dans la nature, effets des volontés humaines libres dans l’histoire. C’est dire aussi que, si toute métaphysique, voire toute théologie n’est pas impossible, c’est seulement à condition de mettre en place des dispositifs permettant de s’élever à ces types de connaissances qui dépassent les capacités humaines. Les études que nous présentons sont consacrées à la philosophie naturelle chez Cardan, Telesio et Campanella, et au rapport entre nature et histoire chez Machiavel, Guichardin, Patrizi, Bodin et Montaigne. Elles s’attachent à montrer que la philosophie naturelle et l’histoire, en qualité de réflexions sur la théorie de l’action et sur les procédures du savoir, ont eu des rôles privilégiés dans la formulation de cette approche, dont un des enjeux principaux est le rapport des penseurs du xvie siècle à l’humanisme. Le caractère occulte de la volonté divine et des volontés humaines libres impose à la fois des limites et une identité propre aux tentatives de maîtrise de la réalité par la connaissance et par l’art humain, qu’il s’agisse, sur le versant pratique, d’élaborer un art du temps, ou sur le versant théorique, de rassembler la totalité de la mémoire humaine.
Philosophy --- Medieval & Renaissance Studies --- XVIe siècle --- Renaissance --- humanisme --- philosophie
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