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NAMUROIS --- XVIIIE SIECLE --- NAMUROIS --- XVIIIE SIECLE
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GEOGRAPHIE --- XVII-XVIIIE SIECLE --- ENCYCLOPEDIE --- GEOGRAPHIE --- XVII-XVIIIE SIECLE --- ENCYCLOPEDIE
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AMERIQUE --- JUSTICE --- XVIIIE SIECLE --- MEXIQUE --- AMERIQUE --- JUSTICE --- XVIIIE SIECLE --- MEXIQUE
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JUSTICE --- XVIIIE SIECLE --- CATALOGNE (ESPAGNE) --- JUSTICE --- XVIIIE SIECLE --- CATALOGNE (ESPAGNE)
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BELGIQUE --- XVIIIE SIECLE --- AGRICULTURE --- BELGIQUE --- XVIIIE SIECLE --- AGRICULTURE
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Xviie siecle --- Xviiie siecle --- Xviie siecle --- Xviiie siecle
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Publié en 1790 par Alexandre Radichtchev (1749-1802), Le voyage de Pétersbourg à Moscou valut à son auteur l'exil en Sibérie pour dix ans. Derrière un anodin récit de voyage sentimental dans le goût de Laurence Sterne, le livre était en réalité un violent réquisitoire contre les tares de la Russie de Catherine II. Considéré hâtivement comme un classique de la littérature révolutionnaire à l'époque soviétique, l'ouvrage est en réalité un texte complexe et torturé, dont on découvre progressivement aujourd'hui les multiples significations. Ce sont ces différents aspects du Voyage de Pétersbourg à Moscou que le présent volume de la collection « Classiques d'ailleurs / Commentaire » a pour ambition de faire mieux connaître au lecteur francophone.
Literature Slavic --- voyage --- littérature --- XVIIIe siècle --- Russie
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En 1757, Edmund Burke publie à Londres A Philosophical Enquiry into the Origin of our Ideas of the Sublime and Beautiful ; une deuxième édition paraît deux ans plus tard. La réflexion développée dans l’ouvrage renouvelait l’idée de sublime et allait profondément marquer l’esthétique. Le succès vint rapidement, suscitant la demande d’une traduction en français. Elle fut réalisée en 1765, à partir de la deuxième édition de l’ouvrage de Burke, par l’abbé Louis-Antoine Des François (1728-v. 1800) qui sut prendre contact avec l’auteur pour recueillir ses avis sur son travail. « Tout ce qui est propre, de quelque façon que ce soit, à exciter des idées de douleur et de danger ‒ je veux dire tout ce qui est, de quelque manière que ce soit, terrible, épouvantable, ce qui ne roule que sur des objets terribles ou ce qui agit de manière à inspirer de la terreur ‒ est une source du sublime, c’est-à-dire qu’il en résulte la plus forte émotion que puisse éprouver l’esprit. »
Philosophy --- art --- esthétique --- sublime --- Angleterre --- XVIIIe siècle
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Le présent volume prend place dans la série Histoire de la littérature française précédemment éditée chez Nathan sous la direction de Jean Rohou et il est animé de la même ambition. Il a voulu donner au XVIIIe siècle ses véritables dimensions : celles d’un siècle tout entier, de 1700 à 1799, englobant la fin du règne de Louis XIV et les dix années de la Révolution française. Ainsi le phénomène des Lumières n’est certes pas minimisé, mais il n’est plus strictement focalisé sur le milieu du XVIIIe siècle. Dans son éclat, ce siècle ne peut être compris que dans sa totalité diverse et contradictoire où la littérature ne saurait être isolée des autres modes de création, ni la France de l’Europe. L’analyse littéraire fait ici largement appel à l’histoire des arts plastiques et de la musique. Diderot est critique d’art, Voltaire écrit des livrets d’opéra pour Rameau. Faut-il d’ailleurs ramener exclusivement ce siècle à la lutte des Lumières contre les ténèbres de la superstition ? Sans vouloir réduire les tensions réelles et fécondes de cette période, on s’est efforcé d’y montrer la complexité des courants de pensée et leur circulation entre les Philosophes et leurs adversaires. On n’a pas oublié non plus la dimension proprement ludique de cette époque : même si la littérature et les arts peuvent être mobilisés pour le combat, ils sont conçus pour le plaisir du public. Le XVIIIe siècle est, du moins pour les privilégiés, celui de la fête et du spectacle. La Révolution abolit les privilèges, mais sacralise la Fête,
Literature --- Literature, Romance --- littérature --- XVIIIe siècle
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