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Work --- Philosophy. --- Social aspects. --- Work - Philosophy. --- Work - Social aspects.
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Publié en 1987, et épuisé depuis de nombreuses années, Critique du travail est considéré comme un ouvrage clé dans le renouveau de la pensée critique. Abordant des sujets tels que la technicisation, les mécanismes de domination, ou encore la perte de réalité de la politique, Jean-Marie Vincent a posé dans cet essai les jalons d'une réflexion prenant toute la mesure de notre réalité sociale la plus actuelle. Refusant tout aussi bien le marxisme dogmatique que l'éclectisme post-moderne qui nie l'apport des grands rationalismes dialectiques des XIXe et XXe siècles, Vincent développe une relecture de Lukács, Bloch, Habermas, pour cerner leurs limites à penser la modernité. Il propose également une confrontation entre la pensée critique marxienne et la déconstruction heideggérienne de l'ontologie techniciste. Plaçant au cœur de sa réflexion le processus de domination de la valeur sur l'ensemble des pratiques, il dégage une prospective raisonnée de l'agir, libérée du productivisme.
Socialism --- Work --- Philosophy --- Travail --- Marxisme. --- Philosophie. --- Work - Philosophy
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Traditionnellement, quand il s’agit du concept de travail, l’histoire de la philosophie évoque Hegel comme étant le premier penseur à lui donner une authentique envergure philosophique. Hegel, en effet, lui confère indéniablement une valeur anthropogène et construit son concept sur cette valeur. Or au XVIIIe siècle, bien avant le philosophe allemand, Rousseau donne au travail une importance capitale. Le statut du travail que le XIXe siècle mettra en avant est déjà présent dans l’oeuvre du citoyen de Genève. Loin de n’être qu’un paramètre parmi d’autres, le travail prend une place fondamentale en ce qu’il est le socle du passage de l’état de nature à l’état humain. C’est la naissance de l’humanité et ainsi de la liberté et de la moralité au sein de l’état social idéal. Le travail a une valeur anthropologique et sociologique essentielle. Rousseau est ainsi un philosophe du travail, et ni Proudhon, ni Hegel, ni Marx, ni l’histoire de la philosophie n’ont relevé ce fait. En étant de bonne foi ?
Work --- Travail --- Philosophy. --- Philosophie --- Rousseau, Jean-Jacques, --- Philosophy --- Work - Philosophy --- Rousseau, Jean-Jacques, - 1712-1778
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Work --- Travail --- Social aspects --- Aspect social --- Labor --- Philosophy. --- Work - Philosophy. --- Labor - Philosophy.
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Work --- Labor economics --- Philosophy --- Social aspects --- Work - Philosophy --- Work - Social aspects
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Repenser la politique en changeant de regard sur le travail et sur la production des savoirs, c'est ce à quoi nous invite la démarche ergologique dont Yves Schwartz est l'un des initiateurs. Cet ouvrage réunit des textes récents, pour certains inédits, qui prolongent son engagement dans la recherche, la formation et le syndicalisme et questionnent l'avenir du travail et de la démocratie. Pour un syndicaliste ou un formateur, un chercheur, un citoyen, quels sont les enjeux politiques de l'intervention dans la vie des autres ? Quelles sont les conséquences du fait que le travail transforme les personnalités, les corps et les savoirs ? Comment rechercher dans les pratiques des travailleuses et travailleurs des réserves d'alternative ? C'est à ces questions que s'attachent les concepts fondamentaux de l'ergologie : les débats de normes et la renormalisation, le corps-soi, les savoir-valeurs, les projets-héritages, les dispositifs dynamiques à trois pôles, la contradiction entre l'activité et l'argent.Il s'agit de prendre en compte le "déjà-là" politique noué à l'expérience réelle du travail ; et d'aller à la rencontre de la politique où on ne la voit pas.
Work --- Philosophy --- Political aspects --- Travail --- Organisation du travail. --- Philosophie. --- Work - Philosophy --- Work - Political aspects
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Partant d'une violence symbolique et d'un imaginaire méconnu, Laurent Vidal fait la genèse des hommes lents, ces individus mis à l'écart par l'idéologie du Progrès. On y croise tour à tour un Indien paresseux et un colonisé indolent, des ouvriers indisciplinés et, plus proches de nous, le migrant en attente ou le travailleur fainéant. Mais l'auteur révèle aussi la façon dont ces hommes s'emparent de la lenteur pour subvertir la modernité : de l'oisiveté revendiquée aux ruses déployées pour s'approprier des espaces assignés, les hommes lents créent des rythmes inouïs, jusque dans les musiques syncopées du jazz ou de la samba. En inventant de nouveaux modes d'action fondés sur les ruptures de rythme, ils nous offrent un autre regard sur l'émancipation. Mêlant la rigueur de l'historien à la sensibilité de l'écrivain, cet essai ouvre des horizons inédits pour repenser notre rapport à la liberté.
Civilization, Modern --- Laziness - Philosophy --- Civilization, Modern - Philosophy --- Work - Philosophy --- Leisure - Philosophy --- Human behavior
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Generositeit --- Generosity --- Geven --- Giving --- Générosité --- Vrijgevigheid --- Work --- Generosity. --- Travail --- Philosophy. --- Philosophie --- Philosophy --- Générosité --- Work - Philosophy
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Ce livre témoigne d'une réflexion menée pendant une dizaine d'années sur le travail. Il porte la trace d'un déplacement d'accent qui ne doit pas être effacé : l'hésitation qu'il recèle est en elle-même un enjeu. En effet, passer d'une reconnaissance de la dimension émancipatrice du travail comme lieu de désobéissance possible à l'accentuation de son lien à la mort, au négatif, présent dès le départ mais qui l'emporte de plus en plus dans le contexte néolibéral, ce n'est pas changer d'avis sur la signification de la dimension laborieuse de l'existence sociale, mais accepter qu'elle soit le lieu d'une contradiction pour l'instant insoluble.Au lieu d'opposer les deux libérations du travail, celle où le travail se libère et celle où l'on s'en libère, il faut sans doute essayer de penser comment on ne peut se libérer du travail qu'en le libérant. La question cruciale est de savoir laquelle des deux libérations domine l'autre, ou laquelle s'effectue sous domination de l'autre. Disons que l'orientation de ces réflexions penche plutôt vers l'idée que, dans le contexte d'une lutte politique, la libération du travail, sa réorganisation, ne devrait se faire que dans la perspective de son abolition, mais que cette abolition ne peut s'amorcer que sur la base de sa réorganisation, ou de sa désorganisation...Par ailleurs, les destructions à l'oeuvre dans le monde du travail ne peuvent aucunement être confondues avec l'abolition du travail, elles en constituent plutôt une métamorphose qui déploie au maximum sa négativité, et qui renforce le travail tout en le dépassant. Souligner cette perspective, c'est faire apparaître du même coup d'autres orientations, dans lesquelles son dépassement pourrait oeuvrer au contraire à son abolition.
Conditions de travail --- Travail --- Philosophie --- Work --- Philosophy --- Social aspects --- Conditions de travail. --- Philosophie. --- Work - Philosophy --- Work - Social aspects
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This book examines the importance of work in human well-being, addressing several related philosophical questions about work and arguing on the whole that meaningful work is central in human flourishing. Work impacts flourishing not only in developing and exercising human capabilities but also in instilling and reflecting virtues such as honor, pride, dignity, self-discipline and self-respect. Work also attaches to a sense of purposefulness and personal identity, and meaningful work can promote both personal autonomy and a sense of personal satisfaction that issues from making oneself useful. Further still, work bears a formative influence on character and intelligence and provides a primary avenue for exercising complex skills and garnering esteem and recognition from others. The author defends a pluralistic account of meaningful work, arguing that work can be meaningful in virtue of developing capabilities, supporting virtues, providing a purpose, or integrating elements of a worker's life. In light of the impact of meaningful work on living well, the author argues that well-ordered societies provide opportunities for meaningful work, that individuals would be well advised to pursue these opportunities, and that the philosophical view of value pluralism, which casts work as having no special significance in an individual's life, is false. The book also addresses oppressive work that undermines human flourishing, examining potential solutions to mitigate the impact of bad work on those who perform it. Finally, a guiding argument of the book is that promoting meaningful work is a matter of ethics, more so than a matter of politics. Prioritizing people over profit, treating workers with respect, respecting the intelligence of working people, and creating opportunities for people to contribute developed skills are basic ethical principles for employing organizations and for communities at large.
Work --- Labor --- Sociology --- Philosophy --- Political philosophy. Social philosophy --- Sociology of work --- Work - Philosophy --- Labor - Philosophy --- Sociology - Philosophy
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