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Futurischen Zeichen wird unterstellt, sie seien geprägt vom Beigeschmack des nicht Erfahrenen, des Unsicheren. Deshalb verhielten sie sich sprachlich anders als solche mit Vergangenheits- oder Gegenwartsbezug. Wie sich zeigt, kann man auf dieses Axiom auch verzichten und dennoch eine Erklärung liefern, warum Futurität in der Sprache eigenen Gesetzen untersteht. Der Untersuchung unterliegt ein Modell, das den diachronen und synchronen Zusammenhang kategorialer Werte (Aktionalität, Aspektualität, Temporalität und Modalität) erfaßbar macht. Es dient dazu, diese Korrelation bei den futurischen Formen des Französischen, auch unter sprachvergleichender Perspektive, analytisch sowie register- und kontextabhängig statistisch nachzuzeichnen. Das futurische Präsens erweist sich dabei nicht, wie oft angenommen, als zunehmend in futurische Funktion einrückend, sondern als aus einem weitergehend futurischen Funktionsbereich abgedrängt. Für das synthetische und das weniger grammatikalisierte periphrastische Futur ergibt sich, daß deren aspektuelle, temporale und modale Werte primär auf die Wechselwirkung eines diachronen Restwertes mit verschiedenen Prädikatklassen zurückgehen. Am Ende steht die Hypothese, daß das sogenannte futur simple gar kein Futur, sondern ein je unterschiedlich reanalysierter perfektiver Aspekt ist. Das futur périphrastique, eigentlich der bessere Kandidat für ein ordentliches Futur, ist noch nicht weit in diese Funktion eingerückt - weit genug jedoch, um eine Restriktion des futuristischen Präsens auszulösen. Kennzeichnend für den futurischen Bereich erscheint am Ende nicht eine modale, sondern eine perfektive Grundierung. Mit dieser Tendenz zur Monoaspektualität kann die Spezifik futurischer Referenz erklärt werden, und sie erweist sich zudem als pragmatisch begründbar.
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Dans la plupart des situations courates, chacun de nous utilise différentes formes linguistiques qui qualifient, à des degrés très divers, la vérité de ce que nous disons. Même lorsqu’il ne peut pas être question de prédiction exacte, nous pouvons exprimer notre conviction ou adhésion à l’égard des faits en recourant à des expressions linguistiques telles que : « il est hors de question », « cela m’étonnerait », « certainement pas », « cela arrivera probablement « , « e sui persuadé que »… « cette imprécision verbale nous permet de nous prononcer sur un nombre de sujets bien plus élevé que ce ne serait le cas sans cela » (Cohen, 1963)<.BR>Malgré notre incertitude sur le futur, nous devons souvent prendre des décisions dans le risque et exprimer notre décision soir par oral, soit par écrit pour que d’autres personnes puissent en tenir compte.
Il serait donc intéressant d’examiner si les expressions de certitude que nous utilisons sont interprétées de la même manière par d’autres sujets.
Ainsi, tout au long de notre étude, nous allons examiner de quelle manière des sujets d’âge différent comprennent quelques-unes de ces expressions (en l’occurrence les adjectifs modaux comme « douteux » « certain ») insérées dans différents contextes .
Dans notre recherche, il s’agira de dégager la manière dont des sujets « jeunes » et « âgés » évaluent la probabilité d’occurrence d’évènements qualifiés de « possible » « inimaginable », « douteux »…En effet, il se pourrait qu’un adjectif modal comme « douteux » placé dans différentes phrases telles que « il est douteux que l’organise une soirée le mois prochain » ou « il est douteux qu’une grève des trains se déclenche la semaine prochaine » reçoive des interprétations différentes selon son contexte d’insertion et selon l’âge ou l’expérience des sujets testés.
Un premier chapitre théorique se propose de situer notre recherche dans le contexte général des études sur les probabilités subjectives.
Dans un premier temps, nous nous attacherons à la notion de probabilité subjective ainsi qu’à l’utilisation d’un certain nombre de règles pragmatiques dans les estimations de probabilité. Nous verrons que ces règles sont utiles mais comportent certains biais ;
Dans un deuxième temps, une synthèse de la littérature nous permettra de dégager l’influence de variables contextuelles dans les évaluations de probabilité d’occurrence d’évènements. Nous poursuivrons cet exposé en examinant plus spécifiquement l’influence de l’âge sur l’extension de la perspective temporelle future.
Un deuxième chapitre tentera d’améliorer notre compréhension des expressions linguistiques de probabilité.
Premièrement, il importera de cerner la place que les linguistes réservent aux adjectifs modaux par rapport à l’étendue du champ d’application de la modalité. En parcourant ce champ, nous verrons également que les adjectifs modaux sont loin d’être les seules formes linguistiques capables d’exprimer le degré d’adhésion du locuteur vis-à-vis de ce qu’il affirme ;
Ensuite, nous nous intéresserons, au travers de plusieurs recherches, à la manière dont des sujets comprennent différents ensembles d’expressions linguistiques de probabilité. Ici notre travail s’inscrit dans la lignée de l’étude de N. Stainier (1985).
Un troisième chapitre relate la recherche empirique. Cette recherche consiste à déterminer de quelle manière le contexte d’insertion des adjectifs modaux modifie les jugements de probabilité développés par des sujets d’âge différent. Pour ce faire, nous avions formulé différentes hypothèses sur base de notre recherche théorique.
Afin de mettre en évidence l’influence du contexte sr la compréhension des adjectifs modaux, nous avons retenu 9 de ces adjectifs et 3 variables contextuelles fréquemment envisagées dans la littérature, c’est-à-dire la « nature » de l’évènement (contrôlable/non contrôlable), la valence de son issue (favorable/défavorable) et son échéance temporelle (proche/lointaine). La « nature » de l’évènement distingue des évènements dont l’occurrence peut ou non être contrôlée par les activités du locuteur, la « valence » des évènements différencie des évènements dont la réalisation peut être favorable ou défavorable au locuteur et l’échéance temporelle se réfère à des évènements (n=8) et de l’un des adjectifs modaux (n=9) a abouti à la construction de 72 items, tous construits sur la structure phrastique suivante : Il est adjectif que [nature+ valence] [échéance].
Pratiquement, nous avons demandé à 75 sujets jeunes (18-28 ans) et 75 sujets âgés (55-60 ans) d’évaluer les probabilités d’occurrence de chaque évènements selon qu’il était qualifié de « douteux », « certain », « vraisemblable »…
Dans un dernier chapitre, nous examinerons tout d’abord les réponses obtenues aux items préliminaires qui ont notamment pour but de déterminer l’influence possible de chaque variable contextuelle isolée. Ensuite, l’analyse des résultats obtenus à la tâche expérimentale proprement dite permettra de tester les interactions entre les variables. Nous pourrons ainsi comparer l’influence du contexte d’insertion des adjectifs modaux selon l’âge ou l’expérience des sujets testés
Verbal Learning --- Adult --- Aged
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