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La personnalisation de la vie politique française est si visible qu'elle tend à reléguer les partis politiques en fond de décor. Et pourtant, ceux-ci jouent un rôle central et deux d'entre eux, le PS et l'UMP, sont parvenus en se transformant à dominer le système politique. Quelle est la solidité de cette domination et quelles en sont les entraves et les failles ? En quoi repose-t-elle sur la présidentialisation de ces partis ? Quelles pourraient-être les lignes d'évolution de ces organisations ? Cet essai fait le pari d'analyser conjointement les dynamiques à l'oeuvre au PS et à l'UMP, dynamiques induites par la similarité des places qu'ils occupent dans le système politique, dynamiques propres à chacun de ces partis, d'ailleurs liés entre eux par une relation de mimétisme, dynamiques de leur offre politique qu'il s'agisse des candidats ou des programmes. Mais poser ces questions, c'est ouvrir le débat sur l'évolution – qui peut sembler paradoxale aujourd'hui – de la France vers le bipartisme. Un tel débat conduit plus largement à s'interroger sur les transformations en cours du système partisan, et les élections présidentielles et législatives de 2007 sont évidemment un moment crucial pour les comprendre.
Political parties --- Parti socialiste (France) --- UMP (Political party)
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Political parties --- Partis politiques --- Parti socialiste (France) --- UMP (Political party) --- France --- Politics and government --- Politique et gouvernement
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Lorsque l'UMP est créée en 2002, après le choc du 21 avril, beaucoup doutent de sa longévité. Cette refondation en forme de fusion va pourtant transformer la droite française en l'espace de dix ans. L'organisation du nouveau parti, très indexée aux cycles électoraux, s'appuie sur une forte professionnalisation et sur la mobilisation des outils marketing. Ces transformations calquées sur le modèle de l'entreprise n'ont pas conduit à l'effacement des cultures et des idéologies partisanes. Bien au contraire, le peuple de droite existe toujours et l'UMP en constitue un creuset où prime un ordre social traditionnel fondé sur une hiérarchie des genres et des générations et où s'exprime aussi une fibre populaire. Avec le sarkozysme, la droite partisane française a opéré une radicalisation idéologique qui s'explique autant par les stratégies nationales déployées à l'égard du FN que par l'existence de certaines cultures politiques locales proches de l'univers de l'extrême droite. Une approche sociologique, historique et européenne, du phénomène partisan appliqué à la droite française.
Political parties --- Government - Non-U.S. --- Law, Politics & Government --- Government - Europe --- UMP (Political party) --- France --- Politics and government
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L'actualité électorale de 2012 est resituée dans une perspective plus large, à la fois historique, européenne et sociopolitique. Cette analyse de la droite dans la période contemporaine inclut aussi bien les contraintes institutionnelles et financières pesant sur l'UMP que la marque de ses dirigeants sur ses trajectoires ou sur les sous-cultures qui façonnent son emprise dans la société.
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Youth --- Political socialization --- Socialization, Political --- Political psychology --- Political sociology --- Socialization --- Political activity --- Jeunes socialistes (Organization : France) --- Jeunes populaires (Organization : France) --- Jeunes de l'UMP (France) --- Jeunes UMP (France) --- UMP (Political party). --- Mouvement des jeunes socialistes (France) --- MJS --- Jeunesses socialistes (France)
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Quelle relation lie un élu à son parti ? Le parti politique fait-il le député ? Cet ouvrage analyse la dépendance des députés français au parti. Cette notion peut paraître triviale tant le destin des élus en France semble lié à leur parti. Elle constitue cependant un enjeu central du fonctionnement d'une démocratie représentative, dès lors que les partis tendent à monopoliser l’accès à la représentation élective et occupent une place déterminante dans l’organisation du travail parlementaire, dont la nature et les variations ont été peu explorées jusqu’à présent. En adhérant à un parti, le député accepte de limiter sa liberté contre une forme de protection. Cependant, dépendance au parti n’est pas synonyme de passivité : les députés, même en situation de contrainte, s’adaptent et sont capables d’intégrer les règles du jeu politique et de les utiliser. Il est essentiel d’analyser ce levier partisan, qui peut déclencher chez les élus des loyautés ou des infidélités, pour comprendre le fonctionnement de l’Assemblée nationale et pour saisir ce qui constitue l’un des déterminants principaux du comportement parlementaire. Aujourd’hui comme hier, les carrières politiques ne peuvent être envisagées que par des personnes maîtrisant les règles du jeu partisan et bénéficiant des ressources d’un parti. Dans une sorte de pacte faustien, les élus se voient offrir par les partis des carrières politiques au long cours, qui ont pour prix une dépendance à laquelle peu d’entre eux échappent."
Political parties --- Legislators --- Attitudes. --- France. --- Parti socialiste (France) --- UMP (Political party) --- France --- Politics and government --- Political Sociology --- History --- Politics and governement --- Legislators - France - Attitudes. --- Political Sociology - France. --- Political parties - France - History - 21st century. --- France - Politics and governement - 2007-2012. --- France - Politics and government - 2012-2017.
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