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Human Trypanosomiasis also known as sleeping sickness is a parasitic disease found in 36 sub-Saharan African countries and transmitted by the tsetse fly. The two parasites responsible for the disease are trypanosma brucei gambiense and trypanosome brucei rhodesiense. The disease progresses in two stages, the “Lymphatic-blood stage 1” and the “meningoencephalic stage 2” when the parasite crosses the blood-brain barrier. In the absence of treatment, the patient falls into a coma and eventually dies. In order to prevent the transmission of the disease, prevention methods are put in place such as mass screening or the use of tsetse fly trap. Treatments are also available in case of contamination however these treatments have many side effects making their use complicated or/ and subject to resistance. Sleeping sickness has become a real public health problem in Africa, threatening more than 65 million Africans. To eradicate this disease a non-profit organization has been created: the DNDI. Its goal is to research new molecules to eradicate this disease by 2030 as suggested by WHO. La Trypanosomiase Humaine Africaine connut sous le nom de maladie du sommeil est une maladie parasitaire que l'on retrouve dans 36 pays d'Afrique subsaharien transmise par la mouche tsé-tsé. Les deux parasites responsables de la maladie sont trypanosma brucei gambiense et trypanosoma brucei rhodesiense. La maladie suit deux stades, le stade 1 dit lymphatico-sanguin et le stade 2 dit méningo-encéphalique lorsque le parasite franchit la barrière hémato-encéphalique. En l'absence de traitement, le patient tombe dans le coma et finit par mourir. Afin de prévenir la transmission de la maladie des moyens de prévention sont mis en place comme le dépistage de masse ou encore l'utilisation de piège à glossine. Des traitements sont également disponible en cas de contamination cependant ces traitements présentent des effets indésirables rendant leurs utilisations compliquées ou sont sujets à des résistances. La maladie du sommeil est devenue un véritable problème de santé publique en Afrique, en effet elle menace plus de 65 millions d'Africains. Pour éradiquer cette maladie un organisme à but non lucrative a été créer : la DNDi afin d'effectuer des recherches sur de nouvelles molécules pour éradiquer cette maladie d'ici 2030 comme suggérer par l'OMS.
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Human African trypanosomiasis is a deadly disease for which very few remedies exist to this day. Available treatments are very toxic, expensive and not always effective. It is in this light that we develop a anti-trypanosomiale class of molecules, the 4-phényltionsemicarbazones derivatives, which express an interesting activity against Tb brucei. In this work, we improved the synthesis of these molecules using an acid-base General Lewis catalyst, the DMF.12 complex developed in the LDRI CMFA, based on a concept of green chemistry and durable development. La trypanosomiase humaine africaine est une maladie mortelle pour la quelle très peu de remèdes existent à ce jour. Les traitements disponibles sont très toxiques, onéreux et pas toujours efficaces. C'est dans cette optique que nous développons une classe de molécules a visée anti-trypanosomiale, les dérivés 4-phényltionsemicarbazones, qui expriment une activité intéressante contre T b brucéi. Dans ce travail, nous avons amélioré la synthèse de ces molécules en utilisant un catalyseur acide-base général de Lewis, le complexe DMF.12 développé au sein du laboratoire LDRI CMFA, se basant sur un concept de chimie verte et développement durable.
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La trypanosomiase humaine africaine, mieux connue sous le nom de maladie du sommeil, est une maladie parasitaire endémique d’Afrique subsaharienne menaçant plus de 60 millions de personnes et dont 30 000 cas sont notifiés par an. L’agent causal de cette pathologie est un protozoaire flagellé, Trypanosomiase Brucei, transmis par la piqûre d’un insecte vecteur, la mouche Tsé-Tsé. Le bétail est le réservoir principal de ce parasite. Les traitements actuellement disponibles sont extrêmement limités par leur efficacité variable, leur mode d’administration principalement intraveineux, leur coût élevé, des effets secondaires importants et l’émergence de résistances. La prise en charge de cette infection est donc une priorité de santé publique. Les plantes utilisées en médecine traditionnelle sont des sources de composés actifs sur de nouvelles cibles et avec des mécanismes d’action innovants. Keetia Leucantha est un arbuste d’Afrique occidentale de la famille des Rubiacées communément utilisée en médecine traditionnelle au Bénin pour traiter des parasitoses. Le but de nos recherches est d’évaluer l’activité antitrypanosomale d’extraits bruts de feuilles du Keutia Leucantha et de son huile essentielle, et d’identifier les composés responsables de ces activités.Des extraits dichlorométhanes ont été obtenus via deux méthodes d’extraction (sonication et macération à partir de différents lots de feuilles. Aucune différence significative de la quantité d’acides totale extraite n’a été mise en évidence entre ces deux méthodes ainsi qu’entre les différents lots. La sonication sera donc à priori préférée à la macération, permettant ainsi un gain de temps énorme. Les extraits obtenus ont montré des activités antitrypanosomales élevées aussi bien sur la forme sanguicole du parasite que sur la forme procyclique. Celles-ci seraient dues en partie à la présence d’acides triterpéniques, les acides ursolique et oléanolique ainsi que l’acide bétulinique identifié pour la première fois chez cette plante, au vu de leurs propres IC50 (IC50 = 2,5 ; 7,3 ; 11,2 µg/ml respectivement). La glycolyse a été identifiée comme une des cibles de ces acides, avec une immobilisation rapide des trypanosomes sanguins et une action inhibitrice de l’activité d’une enzyme glycolytique clé, la glycéraldéhyde-3phosphate déshydrogénase (GAPDH), et ce principalement pour l’acide oléanolique ( 72,6 % d’inhibition à une concentration de 20 µg/ml). L’huile essentielle, quant à elle, a montré une activité antitrypanosomale uniquement sur les formes sanguicoles et une rapide décroissance du nombre de parasites mobiles, ce qui suggère une action plus spécifique sur la glycolyse. La composition de l’huile essentielle a été déterminée et varie selon la période de récolte et l’étape de séchage. Un des composés, la β-ionone, inhibe 32,6 % de l’activité de la GAPDH à 20 µg/ml, confirmant l’hypothèse de la glycolyse comme cible d’actions. Ainsi, cette étude donne des éléments justifiant l’utilisation des feuilles du Keetia Leucantha en médecine traditionnelle contre la trypanosomiase et ouvre des pistes de recherche sur les mécanismes d’action possibles de ces extraits, de l’HE et de certains de leurs composés.
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Hat, a tropical disease that occurs in 36 African countries, is not really a subject of interest for the Pharmaceutical industry. The disease is caused by two subspecies of Trypanosoma brucei. The disease mainly transmitted by the tsetse fly, evolves in two phases, the first phase restrained to the blood and lymphatic system is difficult to diagnose but anyway easy to treat; then occurs the second phase meningoencephalic phase frequently lethal. The only diagnosis of certainty is the finding trypanosome in biological fluids. The current drugs available to treat HAT-all present serious limitations: in particular, very low oral bioavailability; low chemical and biological stability (suramin decomposes rapidly in the air), a complicated long dosage regimen ( 4 infuses of eflornithine per day) and serious adverse effects (melarsoprol causes fatal encephalopathy in 10% treated of patients). It is then urgent to discover new active compounds or precursors which can serve as a basis for the synthesis of new drugs. In Africa, about 80% of the population uses traditional plants to treat them; so many plants are used, especially in the treatment of HAT. The aim of this work is to identify the literature on the promising activity of certain plants used in traditional medicine and recognized as potentially effective against Trypanosoma brucei. Each plant cited in this work was subjected to a critical analysis of experimental studies carried out in vitro and / or in vivo. At the end of these analyzes, we can conclude that certain plants used in TM can indeed provide a source of substances that will allow the development of new treatments. La Trypanosomiase humaine africaine (THA) est une maladie tropicale négligée qui sévit au moins dans 36 pays d’Afrique et est causée par deux sous-espèces de Trypanosoma brucei. La maladie est principalement par la mouche Tsé-Tsé et évolue en deux phases ; la première phase lymphatico-sanguine, est difficile à diagnostiquer mais pourtant facile à traiter. Ensuite survient la seconde phase, méningo-encéphalique, létale. Le seul diagnostic de certitude consiste à rechercher les trypanosomes dans les fluides biologiques. Les traitements actuels disponibles pour soigner la THA ont tous une limitation sérieuse : que ce soit une très faible biodisponibilité orale, une faible stabilité chimique et biologique (la suramine se décompose facilement), un schéma de posologie compliqué et long, une demi-vie très courte (4 perfusions d’éflornithine par jour) ou des effets indésirables graves (le mélarsoprol provoque une encéphalopathie mortelle chez 10% des patients traités). Il est par conséquent urgent de trouver de nouveaux composés actifs ou précurseurs pouvant servir de base pour la synthèse de nouveaux médicaments. En Afrique, environ 80% de la population a recours aux plantes traditionnelles pour se soigner, de nombreuses plantes sont ainsi utilisées, notamment dans le traitement de la THA. Ce travail a pour but d’établir un recensement de la littérature concernant l’activité prometteuse de certaines plantes utilisées en médecine traditionnelle et reconnues comme potentiellement efficaces contre le trypanosome brucei. Chaque plante citée dans ce travail a fait l’objet d’une analyse critique par rapport aux études expérimentales réalisées in vitro et /ou in vivo. Au bout de ces analyses, nous pouvons conclure que certaines plantes employées en médecine traditionnelle pourraient effectivement fournir une source de composés actifs pour développer de nouveaux médicaments anti-trypanosomiases.
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