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Résumé
T-LYMPHOCYTES --- IMMUNOLOGY --- T-LYMPHOCYTES --- IMMUNOLOGY
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T-LYMPHOCYTES --- IMMUNOLOGY --- T-LYMPHOCYTES --- IMMUNOLOGY
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The frequency of a CD8 cytolytic T lymphocyte clone, named CTL16, has been measured in blood samples collected from a melanoma patient vaccinated with a MAGE antigen. This patient displayed a complete tumor regression after vaccination. CTL16 does not recognize the MAGE antigen, but is specific for another antigen, not yet identified, present on the tumor cells. This CTL was isolated by stimulating blood lymphocytes with autologous tumor cells. It was repeatedly found in postvaccination PBMC, but not in prevaccination PBMC. Clonotypic PCR specofoc for the TCR α and β chains of CTL16, were used to establish the frequency of this CTL in groups of postvaccination PBMC. The frequency was found to be about 1/25 000 CD8 T cells after vaccination and remained stable during the tumor regression. It decreased (1/100 000 CD8) in the last sample that was analysed, collected more than one year after regression of all melanoma lesions. Prevaccination PBMC will be tested with the clonotypic PCR, in order to confirm that CTL 16 was amplified after vaccination. It proves true, ot would suggest that CTL 16 was activated as a consequence of the MAGE vaccination. CTL 16 may have participated in the tumor rejection observed in the patient. To examine this point, clonotypic PCR will be applied to regressing tumor samples J’ai analysé la fréquence d’un clone de lymphocytes T CD8, nommé CTL16, dans des échantillons de sang prélevés chez une patiente atteinte d’un mélanome. Cette patiente a présenté une régression tumorale complète après vaccination avec un antigène MAGE. Le CTL16 ne reconnaît pas l’antigène vaccinal, mais est spécifique d’un autre antigène, pas encore identifié, présent sur la tumeur. Il a été isolé suite à la stimulation de lymphocytes sanguins avec des cellules tumorales autologues. Il a été retrouvé répété plusieurs fois dans les PBMC prélevés après vaccination, mais n’a pas été retrouvé avant vaccination. Connaissant la séquence des chaînes α et β du TCR du CTL16, j’ai mis au point des PCR spécifiques de chacune de ces chaînes. J’ai ensuite appliqué ces PCR sur l’ADNc extrait de groupes de PBMC prélevés après vaccination pour mesurer les fréquences de ce CTL dans ces échantillons. Les résultats obtenus montrent que le clone est présent à une fréquence de l’ordre de 1/25 000 CD8 après vaccination. Cette fréquence reste stable dans les échantillons prélevés avant ou pendant la régression tumorale. Elle diminue (1/100 000 CD8) dans le dernier échantillon testé, prélevé plus d’un an après régression de toutes les lésions du mélanome. L’échantillon prélevé avant la vaccination n’a pas encore été testé. S’il se confirme que ce clone CTL apparaît dans le sang après la vaccination MAGE, il a peut-être été activé suite à cette vaccination et joue peut-être un rôle dans la régression tumorale. Des échantillons tumoraux prélevés lors de la régression seront analysés pour examiner ce point
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I studied a CD8 cytolytic T lymphocyte clone, named CTL 10, derived from a melanoma patient vaccinated with a MAGE antigen. This CTL was isolated by stimulating blood lymphocytes with autologous tumor cells. The patient displayed a complete tumor regression after vaccination. CTL 10 does not recognize the vaccine MAGE antigen, but is specific for another antigen, not yet identified, present on the tumor cells. The recognition of the tumor cells by CTL 10 is restricted by HLA-A2 molecules.
To identify the antigenic peptide, a cDNA expression library prepared from the tumor cell line, was screened in a transfection assay. Two positive cDNA clones were identified, corresponding to BACE 2 and autophagin 4 gene products.
The goal of this work was to identify the peptide recognized by CTL 10, by preparing sets of minigenes derived from the BACE 2 and autophagin 4 cDNA clones. This lead to the identification of the two regions of these genes that appear to code for the antigenic peptide J'ai étudié un clone de lymphocytes T CD8 anti-tumoraux, nommé CTL 10, obtenu chez une patiente atteinte d'un mélanome. Cette patiente a présenté une régression tumorale complète après vaccination avec un antigène MAGE. Le CTL 10 a été isolé suite à la stimulation de lymphocytes sanguins avec des cellules tumorales autologues. Il ne reconnaît pas l'antigène vaccinal, mais est spécifique d'un autre antigène, pas encore identifié, présent sur la tumeur. Cet antigène est présenté par la molécule HLA-A2.
Le CTL 10, contrairement à d'autres, n'a pas sa fréquence augmentée suite à la vaccination et semblerait donc ne pas avoir d'effet. Afin de comprendre à quels mécanismes cela est dû, j'ai étudié sa restriction antigénique. Par criblage d'une bibliothèque d'expression de la lignée tumorale, deux gènes ont été identifiés comme pouvant contenir des peptides antigéniques : BACE 2 et l'autophagine 4.
Le but de ce travail est d'identifier le peptide exact reconnu par le CTL 10. A partir des deux plasmides contenant ces gènes, j'ai construit des minigènes. Dans un premier temps, j'ai amplifié par PCR l'ADNc encodant une portion du gène d'intérêt. Ensuite, j'ai cloné ce produit de PCR dans un vecteur plasmidique qui a été multiplié à l'aide de bactéries. J'ai alors extrait les plasmides qui ont été cotransfectés avec un ADNc codant pour des molécules HLA-A2 dans des cellules eucaryotes. Par des tests de sécrétion de TNF par le clone CTL 10, on a regardé si ce minigène contenait ou non la séquence codant le peptide antigénique
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Les lymphocytes T régulateurs (Tregs) sont des lymphocytes T CD4+ spécialisés dans la suppression des réponses immunitaires. Chez les patients cancéreux, les Tregs suppriment l'activité des lymphocytes T capables de détruire les cellules tumorales, ce qui favorise la progression du cancer. Un des mécanismes impliqués dans l'immunosuppression par les Tregs repose sur la production de TGF-β1 actif, une cytokine immunosuppressive. Cette cytokine est produite sous une forme latente, inactive, qui doit être activée pour se lier à son récepteur. Dans les Tregs humains, la protéine membranaire GARP est requise pour activer le TGF-β1, mais elle n'est pas suffisante. Nous cherchons à identifier les protéines qui coopèrent avec GARP dans l'activation du TGF-β1 par les Tregs humains.Des données préliminaires montrent que l'intégrine avβ 38 joue un rôle, mais il semble que d'autres protéines sont également impliquées. Afin d'identifier ces protéines, le laboratoire a d'abord tenté d'identifier des protéines qui interagissent avec GARP, mais aucun des interactants identifiés ne participe à l'activation du TGF-β1 dans les Tregs. L'objectif de mon mémoire est donc de développer une autre approche afin d'identifier des protéines de Tregs humains qui participent à l'activation du TGF-β1, sans passer par l'identification de protéines interagissant avec GARP. Pour ce faire, j'ai construit une bibliothèque d'ADNc de Tregs humains stimulés. J'ai ensuite criblé cette bibliothèque par co-transfection avec un plasmide codant pour la luciférase Firefly sous le contrôle d'un promoteur répondant au TGF-131 dans un clone de cellules 293T qui expriment stablement GARP et le TGF-β1 latent. Ce criblage m'a permis d'identifier 4 ADNc qui augmentent le signal de luminescence Firefly dans ce système rapporteur. Regulatory T cells (Tregs) are immunosuppressive CD4+ T lymphocytes, which modulate the immune system, maintain tolerance to self-antigens and prevent autoimmune diseases. In cancer, Tregs suppress the activity of T lymphocytes that are directed against tumor cells, promoting tumor progression. One of the mechanisms involved in Tregs immunosuppression is the production of the active form of TGF-β1 an immunosuppressive cytokine. This cytokine is produced in a latent, inactive form and has to be activated to bind to its receptor. Inhuman Tregs, the membrane protein GARP is required, but not sufficient to activate TGF-β1. We aim to identify proteins that cooperate with GARP in TGF-P 1 activation by human Tregs Preliminary data showed that the integrin avp8 plays a mie in this activation, but other proteins may also be implicated. To identify such proteins, the !ab of Sophie Lucas tried to identify proteins that physically interact with GARP, but none of those proteins seem to participate in the activation of TGF-β1by human Tregs. The objective of my project is to develop another approach to identify human Treg proteins, which participate in the activation of TGF-P I. To do that, I constructed a cDNA library of stimulated human Tregs and I screened this library in 293T cells transfected with a plasmid encoding the firefly luciferase under the control of a TGF-β1-responsive promoter. This screening lead to the identification of 4 proteins able to increase the luciferase signal in this reporter system.
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Some cytolytic T lymphocytes (CTL) can loose their lytic activity when stimulated under certain conditions. This loss of lytic activity correlates with a high decrease of their capacity to bind to an HLA-peptide tetramer whereas their capacity to bind to an antibody directed against T receptor is not reduced. The tetramer neg CTL recover their lytic activity and their ability to bind to the tetramer when they are activated leukocytes. A similar increase in lytic activity was observed supernatant derived from activated leukocytes. A similar increase in lytic activity was observed when IL-12 was included in the stimulation mix. However, this experiment could not be reproduced. Moreover, because IL-23 has been shown to contain one of the two IL-12 chains and because of can exert a stimulatory effect on memory T cells, we wished to examine the effect of this cytokine on the tetramer binding capacity of our clones. Because IL-23 is not yet commercialized, it was produced in-house. The preliminary results of the use of IL-23 on our CTL clones have not been conclusive.
It was observed that the capacity of a given CTL to bind to the corresponding tetramer could be modulated in the days following antigen specific stimulation. The tetramer labelling decreased the first day post stimulation and increased after four days to arrive at the basal level on day 10. This decrease in tetramer labelling cannot be explained by a reduction in T receptors labeling. This apparent contradiction could be explained by a variation in the distribution of the T receptors at the cell surface, which could alter their capacity of tetramer binding. Because the tetramer binding technique is used to detect specific lymphocytes from vaccinated patients, our results could help to improve the CTL detection protocols Des clones de lymphocytes T cytolytiques (CTL) peuvent perdre leur capacité de lyse lorsqu’ils sont stimulés sous certaines conditions. Cette perte d’activité lytique est corrélée à une forte diminution de leur capacité à lier un tétramère HLA-peptide, alors que leur capacité à lier un anticorps dirigé contre le récepteur T (TCR) ne varie pas. Lorsque des CTL tétramère neg sont restimulés avec des cellules tumorales en présence du surnageant de leucocytes activés, ils retrouvent leur activité lytique ainsi que leur capacité à lier un tétralère. Dans une expérience qui n’a pas pu être reproduite, l’IL-12 avait également permis aux CTL de retrouver leur activité lytique. Nous avons voulu tester l’activité de l’IL-23 qui est proche de l’IL-12 et qui exerce principalement son activité sur des lymphocytes T non naïfs. Comme, l’IL-23 n’est pas encore disponible commercialement, nous avons entrepris de la produire au laboratoire. Les résultats des expériences préliminaires sur nos clones n’ont cependant pas été concluants.
Nous avons mis en évidence une modulation de la capacité d’un CTL à lier un tétramère dans les jours suivant la stimulation par son antigène. Le marquage tétramère diminue le premier jour pour remonter dès le deuxième jour et arriver au point de départ vers le dixième jour. Comme mentionné plus haut, cette diminution du marquage tétramère n’est pas corrélée à une diminution du marquage des récepteurs T présents à la surface cellulaire. Cette contradiction apparente pourrait s’expliquer par un changement de la distribution des molécules de TCR à la surface cellulaire, ce qui modulerait leur capacité à lier le tétramère. Comme la technique de marquage par tétramère est utilisée dans la détection de lymphocytes T spécifiques chez des patients vaccinés, nos résultats pourraient améliorer les protocoles de détection de ces cellules
Spiruroidea --- T-Lymphocytes --- Cytokines
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To understand why anti-tumoral vaccination leads to tumor regressions in only a minority of patients, we wish to be able to study cytokine gene expression in single T cells from cancer patients.
Therefore, we set up a reliable technique to analyze single cells at the transcriptionnal level. It includes micro-aspiration of individual cells, cDNA synthesis, and quantitative PCR carried out with the genetic material from a single cell, without any preliminary amplification. Setting up this methodology with clonal populations of CD4+ and CD8+ T cells stimulated with PMA-ionomycin, we observed strong intercellular heterogeneity in cytokine gene transcription. Analyzing this heterogeneity, we found out that the main explanation, which cannot be demonstrated rigorously, is differences in the kinetics of activation of individual cells.
We then applied our method to the ex vivo analysis of single blood T cells from patients. We observed an important difference in the proportions of IFNg-producing CD8+ T cells : all anti-EBV CD8+ cells from one donor transcribed the IFNg gene, whereas only 12,5% of anti-MAGE-3.A1 CD8+ cells from a melanoma patient did so. The latter cells are quite rare in blood, and our method is so far the only possibility to analyze them. We will pursue our work by trying to understand the reason for this apparent « anergy » of anti-tumoral T cells Afin de comprendre pourquoi la vaccination anti-tumorale mène à la régression de la tumeur chez une minorité de patients, nous avons voulu étudier les profils d'expression de gènes codant des cytokines dans des lymphocytes T individuels provenant de patients atteints de cancer.
Pour ce faire, nous avons dû mettre au point une technique fiable d'analyse transcriptionnelle de cellules individuelles. Celle-ci comprend l'aspiration des cellules une à une, la synthèse d’ADNc, et les PCR quantitatives réalisées à partir du matériel génétique d'une seule cellule, sans amplification préalable. Lors de ces différentes mises au point, qui ont été réalisées sur des populations clonales de lymphocytes T CD4+ et CD8+ stimulés avec un mélange PMA-ionomycine, nous avons observé une forte diversité intercellulaire au niveau de la transcription des gènes codant des cytokines. Nous l'avons alors étudiée. L'explication majeure de cette diversité, qui ne peut en fait être formellement démontrée, est qu'il existe des cinétiques d'activation différentes d’une cellule à une autre.
Nous avons ensuite, grâce à la même méthode, analysé ex vivo des lymphocytes T individuels provenant de patients et nous avons observé une importante différence dans les profils d'expression d'IFNg parmi les cellules en produisant. Tous les lymphocytes T CD8+ anti-viraux provenant d'un donneur transcrivent le gène codant l’IFNg alors que seulement 12,5% des lymphocytes T CD8+ anti-tumoraux provenant d'un patient atteint de mélanome le font. Ces derniers sont très rares dans le sang de ces patients et notre méthode est pratiquement la seule possibilité pour les analyser. Nous souhaitons poursuivre nos recherches afin de comprendre la raison de cette apparente « anergie » des lymphocytes T anti-tumoraux
T-Lymphocytes --- melanoma-specific antigens --- T-Lymphocytes, Cytotoxic --- Cloning, Molecular
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