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Mémoire --- Schizophrénie --- Cognition --- Tâche cognitive

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Les idées délirantes constituent l'un des symptômes caractéristiques de la schizophrénie. Au cours des dernières années, l'approche cognitive des idées délirantes a suscité un intérêt croissant. Langdon et Coltheart (2000) ont récemment postulé une association entre la présence des idées délirantes et le mécanisme cognitif normal de génération et d'évaluation des croyances. En particulier, ils ont émis l'hypothèse que les sujets délirants ont tendance à baser leurs croyances sur des informations directes ou à la première personne (perçues via les organes des sens) plutôt que sur des informations directes (venant d'autres personnes, de l'apprentissage, des expériences du sujet...). Le but principal de ce mémoire est d'explorer cette hypothèse au moyen d'une tâche destinée à évaluer la dépendance aux informations directes (tâche d'oubli dirigé).

SCHIZOPHRENIE --- HALLUCINATION --- PROCESSUS COGNITIF --- SUPERSTITION --- TACHE COGNITIVE

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De précédentes études ont montré différents patterns d'activité cérébrale entre les petits et les gros consommateurs lors de nombreuses tâches cognitives, même si aucune différence comportementale n'était visible. Le but de la présente étude est d'investiguer les ondes cérébrales associées aux opérations d'inhibition pour des stimuli alcool et neutres chez des étudiants gros et petits consommateurs. La réponse d'inhibition a été évaluée à l'aide d'une tâche Go/No-Go utilisant des images d'alcool ainsi que des images d'objets neutres. Dans cette tâche, les sujets devaient répondre aux stimuli cibles (essais Go) et devaient inhiber leur réponse pour les distracteurs. Les résultats comportementaux montrent que tant les gros que les petits consommateurs montrent des réponses plus rapides et plus exactes face à des stimuli alcool comparés aux stimuli neutres lors des essais Go. Les données ERPs révèlent quant à elles, une augmentation de l'amplitude de l'onde P300 et une diminution de l'amplitude de l'onde N200 chez les gros consommateurs aux essais Go en comparaison des petits consommateurs. Ce pattern n'est pas observé avec un paradigme Go/No-Go classique utilisant des lettres comme stimuli. Ces résultats suggèrent une augmentation de la réactivité chez les gros consommateurs lorsque la tâche implique des stimuli liés à l'alcool. Dans les essais Go alcool, des ondes P300 précoces ont pu être observées dans les deux groupes de sujets, alors que l'inhibition d'une réponse face à des stimuli alcool (essais No-Go alcool) induisait une P300 précoce et une onde N200 de plus petite amplitude en comparaison aux stimuli neutres. Cette étude ne montre pas de pattern spécifique d'ondes cérébrales associées avec l'inhibition de stimuli alcool chez les gros consommateurs.

Potentiel évoqué --- Adolescent --- Inhibition --- Alcoolisme --- Tâche cognitive

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La première partie de ce travail consistere à clarifier les différents concepts des fonctions exécutives, d'inhibition et d'automatisme. Elle les intégrera dans une perspective développementale. La seconde partie analysera ces concepts à travers deux études : une étude développementale comportant soixante sujets sains âgés de 4 à 10 ans et une seconde étude clinique comportant des sujets ADHD comparés à des sujets sains. La troisième partie développe les résultats et les implications de ces études.

Fonctions exécutives --- Inhibition --- Syndrome hyperkinétique --- Tâche cognitive

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L'effet Mozart mettrait en évidence les capacités spatio-temporelles après l'écoute de 10 minutes d'une musique de Mozart.Les découvertes de Schellenberg, Thompson et Husain (2001) démontrent que cet effet est un artéfact de l'éveil et de l'humeur.Le présent travail est un essai de réplication de cette recherche.La procédure employée est identique mais, la tâche expérimentale et l'échelle de l'humeur sont changées.Les participants complètent une tâche de rotation mentale après l'écoute de la musique ou l'attente dans le silence.La musique était une sonate de Mozart pour certains sujets et l'Adagio d'Albinoni pour d'autre.L'humeur est mesurée au moyen de l'échelle PANAS, adaptation française.Les résultats ne confortent pas ceux de Schellenberg et al (2001) parce que l'effet Mozart n'apparait pas et que les deux musiques n'induisent pas d'humeur différentes.Les implications de cette non-réplication sont discutées.

ETAT EMOTIONNEL --- MUSIQUE --- PROCESSUS COGNITIF --- TACHE COGNITIVE