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"Ce nom qui n’est pas le mien est composé de trois chapitres bien distincts, mais d’une étonnante unité. En s’interrogeant sur son oeuvre et son vécu, Alice Rivaz plaide avec ingéniosité la spécificité de l’écriture féminine: «Ne serait-il pas préférable que certains traits typiquement féminins ou masculins dans une oeuvres soient reconnus comme tels, et reçus et appréciés en tant que signes valorisants et irremplaçables d’une authenticité même si, a priori, ils peuvent peut-être déplaire, irriter, choquer par certains de leurs excès?» La boucle est close avec un retour sur son passé, notamment avec son village natal de Rovray qu’elle a dû adopter pour se forger une identité."--
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"Dans son avant-propos écrit lors de la réédition de Nuages dans la main, Alice Rivaz retrace le climat tempétueux de la guerre d’Espagne constituant le fond de son roman: «Durant toutes les années précédant le conflit mondial armé qui valut à l’humanité cinq millions de cadavres, j’avais suspendu à une des parois de mon bureau une immense carte de l’Europe où mes camarades et moi posions chaque matin un regard angoissé sur l’Espagne.» Avec ce texte engagé, ancré dans l’histoire, Alice Rivaz nous offre un roman passionnant au parfum de tragédie qui fera date dans l’histoire littéraire."--
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"Quand les histoires d’amour sont des malentendus, on aime ce qu’on veut voir. Alice Rivaz dévoile ces rouages souvent cachés des relations humaines et n’hésite pas à explorer leurs moments les plus tragiques comme les plus heureux. Mais Le Creux de la vague ne se contente pas de s’intéresser aux êtres humains et expose en toile de fond la période d’avant-guerre à Genève, en 1933. Oeuvre de maturité par excellence, Le Creux de la vague est une suite à Comme le sable (1946). Une suite publiée vingt et une années plus tard et dans laquelle Alice Rivaz semble s’octroyer la distance nécessaire pour comprendre la situation de la Suisse au sein de l’Europe d’alors… et même d’aujourd’hui. Ainsi, ses fines analyses de nos aspirations et de nos erreurs se lisent indépendamment de l’œuvre qui la précède, surtout si on aime les contrastes que crée la neige au printemps."--
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"Au centre de la médiation d’Alice Rivaz veille ce que sa narratrice appelle «une sorte d’amour fou de la vie et des autres». En rêvant au sens de sa vie, si difficile à saisir et à accepter, elle se délivre d’elle-même et s’approche d’un mystère plus vaste, «ce mystère global, cosmique» en qui s’absorbe et d’où renaît celui des êtres particuliers. C’est pourquoi Christine ne cesse de reprendre et d’interroger les figures de son existence. Et en particulier celle qui l’a dominée dès l’enfance, celle de sa mère.Jette ton pain est aussi le roman de la dépendance d’une fille à l’égard de sa mère: une fille unique, la Bonne-Petite, toujours docile et transparente, vouée au culte maternel. A Lausanne, où elle est élevée, puis à Genève où elle accueille chez elle sa mère devenue veuve. Il faut que sa mère meure pour qu’elle se mette enfin à écrire, libérée de toute entrave.Du récit de cette longue intimité se dégage non seulement la figure extraordinaire d’une femme d’un autre temps, exigeante et tyrannique, mais aussi celle d’une époque, d’une société, de mœurs et d’usages disparus, peints avec une justesse et un humour merveilleux.Georges Anex"--
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Ania hat ihren Vater jahrelang kaum gesehen. Da erreicht sie eines Tages ein Anruf seiner neuen Frau: Gabriel hat in der Nacht Selbstmord begangen. Der Freitod scheint im Zusammenhang mit dem Skandal zu stehen, den der als linker Intellektueller bekannte Radiojournalist ausgelöst hat, als er öffentlich Partei für zwei junge Einheimische ergriff, die an seinem Wohnort einen afrikanischen Sans-Papiers brutal ermordet haben. Als sich Ania zur Beerdigung in der Pariser Peripherie aufmacht, schlägt ihr in dem tief gespaltenen Dorf eine hasserfüllte Atmosphäre entgegen. Aber auch in ihrem alten Elternhaus stößt sie einzig auf Fremdheit und muss sich die Frage stellen, wie es dazu kommen konnte, dass ihr Vater eine solch unerträgliche Wendung vollzog. Pascale Kramer seziert in Autopsie des Vaters ein Land im Kippzustand. Das Skalpell ansetzend, erzählt sie vom Wegschauen, von der Abschottung einer ganzen Gesellschaftsschicht und wirft gleichzeitig ein schmerzhaft klares Licht auf das Innerste einer Familie, die verpasste Verständigung zwischen Vater und Tochter.
French literature (outside France) --- Adult children of dysfunctional families --- Children of suicide victims --- Fathers and daughters --- Immigrants --- Intellectuals --- Swiss fiction (French) --- Violence against --- Attitudes --- Translations into German. --- Pères et filles --- Enfants adultes de familles inadaptées --- Immigrés --- Violence envers
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"Deux employés du ministère de l'Intérieur à Paris deviennent amis, même si leurs caractères sont totalement opposés. L'un, nommé Pellard est un joyeux luron, poète qui ambitionne de présenter ses œuvres à la Comédie Française et l'autre, prénommé Frémy, est mélancolique, réservé et sceptique face à l'amour. Un soir de sortie, le joyeux compère entraîne son ami au cirque d'été. Le mélancolique Frémy est touché par une jeune écuyère, Miss Topsy. Même après qu'il est découvert avec elle des points communs et des sentiments partagés, il hésite à s'engager. Un accident de cheval de la jeune femme va-t-il anéantir ses doutes ou les confirmer ?"
Swiss fiction (French) --- Romance fiction, French --- Circus --- Clerks --- Authors --- Women circus performers --- Rare books --- Roman suisse (français) --- Roman sentimental français --- Cirque --- Employés de bureau --- Écrivains --- Femmes artistes de cirque --- Livres rares --- Paris (France) --- Social life and customs --- Moeurs et coutumes
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