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The Future of cities
Authors: --- ---
ISBN: 0091194814 9780091194819 Year: 1974 Publisher: London: Hutchinson Educational,


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World of variation

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Abstract

An imaginative reenvisioning of spatial and social relations from America’s 1960s urbanist movement. In World of Variation (1970), American architects Mary Otis Stevens (born 1928) and Thomas McNulty (1919–84) outlined a radical reenvisioning of socio-spatial relationships, informed by their background in philosophy and commitment to decentralizing hierarchies. Writing in the context of the Cold War and the political activism of 1960s America, they identified possible design solutions to then-current social issues. In striking abstract drawings, Stevens visualized aspects of the urban environment, proposing a design philosophy she termed free "flow". These diagrams give expression to both the “flow” of movement and points of "hesitations". This volume is a facsimile of World of Variation, accompanying the MIT Museum’s exhibition on the work of Mary Otis Stevens.


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Le droit à la ville : suivi de Espace et politique
Author:
ISBN: 2020006278 9782020006279 Year: 1972 Volume: 52 Publisher: [Paris]: Anthropos,

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Abstract

www.humanite.fr/journal/2001-04-23/2001-04-23-243235 - 44k "Espace et politique", tome 2 du "Droit à la ville" d'Henri Lefèbvre, reparaît dans la collection Ethnosociologie que dirige Remi Hess aux Editions Anthropos."Espace et politique" fait partie des livres qu'Henri Lefèbvre a écrits sur le problème de la ville, de l'urbain et de l'espace, dans la période qui suit l'année 1968. Les études ici rassemblées ont pour point commun la mise en valeur de la dimension politique et sociale de l'espace. Le philosophe exprime sa pensée sur cette thématique en sept livres et sept ans : "Le droit à la ville" (1968), immédiatement suivi par "Du rural à l'urbain" (1970), "La révolution urbaine" (1970), "La pensée marxiste et la ville" (1972). "Espace et politique" est le second tome du "Droit à la ville". Il paraît en 1972, deux ans avant "La production de l'espace" (1974) qui achève la série. Il se lance tout de suite après dans une synthèse en quatre tomes sur la question "De l'État". Ses anciens étudiants de l'École des Beaux Arts ou de l'Institut d'urbanisme se souviennent d'une mise en oeuvre exemplaire de la pensée transformatrice de leur maître. Le concept d'"urbain", écrit-il en 1970, naît à la fois de "la nostalgie de la cité" et de "la constatation de son éclatement". La problématique d'Henri Lefèbvre sur cette question émerge de façon progressive de la critique de la dégradation du rural qu'il avait constatée dans les années cinquante à Mourenx, au moment où le complexe pétrolier des Landes surgissait de terre."Le droit à la ville", paru avant les événements de mai 68, est une sorte de manifeste pour sortir de "la dégradation du vivre social dans l'habiter". Depuis la Libération, ce qui dominait la question du logement était la visée productiviste : on construit pour loger, et progressivement on ne prend plus en considération la socialité qui devrait caractériser la vie urbaine. La ville est devenue un énorme laboratoire qui déstabilise la réflexion théorique : "sens et fin de l'industrialisation, la société urbaine se forme en se cherchant". L'urbain est à l'origine d'un renouveau de la stratégie de connaissance, inséparable cette fois-ci de la stratégie politique. Le droit à la ville devient le droit à la vie urbaine, condition d'un humanisme et d'une démocratie renouvelés. On trouve dans "Espace et politique" des idées sur la fête, sur le jeu, que le mouvement de mai 68 répandra, sur la longue période, dans le monde entier.Les architectes, les sociologues, les politologues qu'Henri Lefèbvre rassemble, se regroupent dans une revue, "Espace et société", qu'animera pendant plus de dix ans le philosophe. Le point de départ est d'ailleurs authentiquement philosophique, puisqu'il s'agit de la primauté du spatial sur le temporel. Il s'agit là d'une stratégie qui fait de l'espace le lieu privilégié de la politique : "La production de l'espace, écrit dans sa préface Remi Hess, peut se comparer à la production de n'importe quelle marchandise (...) L'espace est le lieu de rencontre de la planification matérielle, de la planification financière, et de la planification spatio-temporelle". C'est sur la question des parcs nationaux qu'Henri Lefèbvre montre la façon dont la nature se politise, insérée qu'elle est dans des stratégies conscientes et inconscientes. Sur la question des besoins, Henri Lefèbvre propose une dynamique reposant sur un mécanisme de frustration-compensation. Le meilleur exemple en est celui du pavillon, qui couvre progressivement les banlieues en lieu et place des immeubles collectifs. Cette valorisation de l'habitat individuel accompagne une certaine mise à distance du "travail en tant que discipline et façon de vivre collective". En même temps, le pavillon implique une vie étroite, renfermée, resocialisée par la radio et la télévision. Cette compensation dans l'imaginaire est si frustrante que vient alors la période d'un "nouvel investissement massif dans les loisirs".C'est à la suite de ces réflexions sur la politique et l'espace que le philosophe reprendra plus tard les concepts d'aliénation et de critique de la vie quotidienne... La recherche de Lefèbvre s'étoffe de la relecture de Marx et d'Engels. Celle-ci donne naissance à "La pensée marxiste et la ville" en 1972 et à la prolongation de ces analyses dans "Espace et politique" en 1974. Le lecteur trouvera dans la réédition de cet ouvrage en novembre 2000 (1), outre la savante préface de Remi Hess, une redéfinition de la ville et de l'urbain, une étude du rapport circonstanciel établi en 1872 par Engels entre "la question du logement" et l'utopie. Pour Engels, comme pour Marx, la question du logement n'était qu'"un aspect subordonné d'un problème central, celui des rapports entre la ville et la campagne. Ou plutôt, celui du dépassement de leur opposition" (page 83). Ni le "cottage", ni la caserne ouvrière (nous dirions aujourd'hui ni le pavillon ni l'HLM) n'avancent dans la solution du problème fondamental. Engels en appelle donc au "socialisme utopien, c'est-à-dire révolutionnaire", contre "l'utopie réformiste et réactionnaire". Henri Lefèbvre souligne, après Engels, que la crise du logement est partie intégrante - sans lui être pour autant nécessaire - du mode d'existence de l'exploitation capitaliste. Il montre surtout que les classes sociales peuvent se concevoir sous l'angle de leur rapport à l'espace et qu'un nouveau mouvement social est envisageable dans le cadre de cette logique.Le projet lefèbvrien devient ici, explicitement, celui de "proposer une analyse théorique du capitalisme moderne, basée sur l'étude des pays développés, et centrée sur les problèmes de l'espace..." (page 142). L'urbanisation de la société s'accompagne désormais d'une détérioration de la vie urbaine : éclatement des centres, désormais privés de vie sociale - gens répartis ségrégativement dans l'espace. C'est cet apport qu'Henri Lefèbvre nomme lui-même "la contradiction de l'espace".Arnaud Spire


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La question urbaine
Author:
ISBN: 2707105139 9782707105134 Year: 1975 Publisher: Paris: Maspero,

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Le nouveau spectre qui hante le monde serait-il "l'urbain" ? Le développement de nouvelles contradictions sociales liées à la phase actuelle du capitalisme sert de point d'appui à un discours technocratique qui les confond dans une caractérisation globale, en masquant la détermination de classe, sous le thème ambigu de l'urbain, alors que, "à gauche", certains ont inversé cette idéologie, en faisant de la question urbaine la contradiction principale. Une telle situation a des conséquences directes à la fois sur les tendances de l'appareil d'Etat, sur l'idéologie dominante et sur les nouvelles formes de la lutte politique. Le marxisme, qui, à juste titre, ne se pose que les problèmes soulevés par la pratique politique, est moins armé dans ce domaine que dans d'autres pour répondre théoriquement à ce genre de questions. De ce fait, la "sociologie urbaine" a investi la réflexion sur ces thèmes, suscitant une confusion croissante soigneusement entretenue. Ce livre vise à aider l'élaboration d'outils théoriques susceptibles d'analyser concrètement les contradictions sociales connotées par l'idéologie de l'urbain. Pour ce faire, il part à la fois de la critique de la "sociologie urbaine", du développement des éléments théorique du matérialisme historique et de l'analyse de différentes situations concrètes (France, Etats-Unis, Amérique latine, Canada, etc.), par rapport à une succession théoriquement ordonnée de thèmes : le processus d'urbanisation, l'idéologie urbaine, la structure urbaine, la planification urbaine, les luttes revendicatives relatives à ce domaine. C'est peut-être à partir d'analyses concrètes menées dans cette perspective qu'on peut contribuer au développement d'une pratique politique réfléchie sur la question urbaine.


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Op zoek naar de stad van morgen : Europa 2000 project urbanisatie, het scheppen van een leefbare omgeving voor de Europese Mens
Authors: --- ---
ISBN: 9026703694 Year: 1972 Publisher: Deventer Kluwer

The urban revolution
Authors: ---
ISBN: 9780816641604 9780816641598 Year: 2003 Publisher: Minneapolis, Minn. University of Minnesota Press

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Abstract

Originally published in 1970, The Urban Revolution marked Henri Lefebvre's first sustained critique of urban society, a work in which he pioneered the use of semiotic, structuralist, and poststructuralist methodologies in analyzing the development of the urban environment. Although it is widely considered a foundational book in contemporary thinking about the city, The Urban Revolution has never been translated into English - until now. This first English edition, deftly translated by Robert Bononno, makes available to a broad audience Lefebvre's sophisticated insights into the urban dimensions of modern life. Lefebvre begins with the premise that the total urbanization of society is an inevitable process that demands of its critics new interpretive and perceptual approaches that recognize the urban as a complex field of inquiry. Dismissive of cold, modernist visions of the city, particularly those embodied by rationalist architects and urban planners like Le Corbusier, Lefebvre instead articulates the lived experiences of individual inhabitants of the city. In contrast to the ideology of urbanism and its reliance on commodification and bureaucratization - the capitalist logic of market and state - Lefebvre conceives of an urban utopia characterized by self-determination, individual creativity, and authentic social relationships.


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L'homme et les villes
Author:
ISBN: 2226002294 9782226002297 Year: 1985 Publisher: Paris : Berger-Levrault,


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Precisions on the Present State of Architecture and City Planning
Authors: ---
ISBN: 9783906027654 3906027651 Year: 2015 Publisher: Zurich, Switzerland Park Books

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Abstract

Precisions on the Present State of Architecture and City Planning, or 'Precisions', as the book is commonly known, originated from a series of ten lectures presented by Le Corbusier in Buenos Aires in 1929. Concise summations of the Swiss-born French architect's pioneering philosophy, the lectures contain some of Le Corbusier's most compelling aphorisms and cover topics ranging from technique, design and human scale, and the 1927 League of Nations competition to the teaching of architecture and an analysis of the transformation of his own work over time. This new edition presents the 'Precisions' lectures to a new audience. During the lectures, Le Corbusier punctuated his points with a series of improvised crayon-on-paper drawings. This is the first edition to reproduce all forty drawings in color. The book also includes Le Corbusier's introduction, appended in the 1960s, which describes the tremendous impact the city of Buenos Aires had on the architect - its beauty and vast potential, as well as the considerable challenges presented by this city 'trembling on the verge of great works'. A new additional essay by Tim Benton places the lectures in context with the larger body of Le Corbusier's work. Finally, an appendix has been added with brief descriptions of key figures and events discussed.


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The ideal communist city
Authors: --- --- --- --- --- et al.
ISBN: 9783948318161 3948318166 Year: 2022 Publisher: Berlin : Weiss Publications,

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Abstract

A visionary tract of 1960s Soviet urbanism in a handsome facsimile edition. In 1968, lauded American architect Mary Otis Stevens (born 1928) and her partner, fellow architect Thomas McNulty (1919–84), initiated i Press, the influential imprint that focuses on the social context of architecture. Over the next five years, the duo released five books under the thematic umbrella of “Human Environment” with the publisher George Braziller. The first of this series, The Ideal Communist City (1969) is an English translation of urban concepts advanced by architects and planners from the University of Moscow. The book was first published in a Soviet journal of a communist youth organization in 1960 and was then republished in Italy in 1968. Offering a new way of thinking about mobility, equity and social interaction in neighborhood planning, The Ideal Communist City was a direct response to suburban development and its focus on private spaces for family life: “the new city is a world belonging to all and each” where life is “structured by freely chosen relationships representing the fullest, most well-rounded aspects of each human personality.”

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