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Investigation of MAGE D2 functions in cells stressed by camptothecin.
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La déglutition est un processus complexe dont certains aspects sont encore assez méconnus. Dans le cadre de ce travail, nous nous intéressons aux afférences sensitives de la déglutition et, plus précisément, à la stéréognosie buccale. Celle-ci consiste en l’analyse et la reconnaissance de la forme d’un stimulus présent dans la cavité orale. L’objectif principal de notre travail est de comparer les compétences de stéréognosie orale chez une population de plus de 75 ans par rapport à une population de 20 à 30 ans. Les résultats obtenus démontrent un déclin des fonctions de stéréognosie buccale lié à l’âge. Les personnes âgées ont une capacité de reconnaissance buccale moindre par rapport aux personnes de 20-30 ans. Ce déclin stéréognosique oral pourrait être expliqué par une diminution des récepteurs sensibles oraux chez la personne âgée, une diminution des capacités motrices buccales, une diminution des connexions nerveuses et des capacités cognitives générales et une modification de l’état buccal (édentation et prothèse dentaire par exemple). Les résultats révèlent que les temps d’analyse lors de la stéréognosie buccale sont plus importants lorsque les sujets de plus de 75 portent leur prothèse dentaire. Ceci peut s’expliquer par le fait qu’une prothèse dentaire recouvre une partie des récepteurs sensitifs et diminue donc les possibilités d’analyse stéréognosique. Une comparaison entre les compétences de stéréognosie orale et les compétences de stéréognosie manuelle chez les sujets de 20 à 30 ans et les sujets de plus de 75 ans révèle que la stéréognosie orale est une tâche plus complexe que la stéréognosie manuelle. Toutefois, ces deux compétences sont liées et sont toutes deux sujettes à un déclin lié à l’âge.
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Le taux de couverture vaccinale contre le papillomavirus humain(HPV) varie entre 36 et 50% en FWB reste faible . cela pourrai s'expliquer par le niveau de connaissance des adolescents sur le HPV et la vaccin contre le HPV D'où ce travail qui porte sur l'évaluation des connaissance de ces derniers sur la vaccination contre le HPV
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Contexte et objectifs : L'insuffisance rénale aiguë (IRA) est un facteur de risque majeur de morbi-mortalité après une transplantation hépatique (Liver Transplant, LT). L'IRA est généralement attribuée aux événements post-transplantation hépatique et à la toxicité de certains médicaments. Les facteurs de risque péri-opératoires de l'IRA associée à une LT restent mal documentés, ce qui entrave le développement de stratégies préventives personnalisées. Méthode : L'IRA a été évaluée par les critères du Kidney Disease Improving Global Outcomes (KDIGO) sur base des changements de la créatinine entre le niveau de base et le cinquième jour après transplantation. Deux-cent-soixante patients transplantés hépatiques sans thérapie de remplacement rénal (Renal Remplacement Therapy, RRT) préexistante ont été recensés entre 2003 et 2018 au Centre Hospitalier Universitaire de Liège (CHU Liège). L'incidence de l’IRA a été évaluée. Une régression logistique a permis de déterminer les facteurs de risque d'IRA de type KDIGO I et II-III. Résultats : L'incidence de l'IRA KDIGO I et II-III est respectivement de 30 % (78/260) et 25,7 % (67/260). Avant l'opération, les patients atteints d'IRA avaient des scores plus élevés au test LabMELD et au test de Child-Pugh, et des taux sériques de fibrinogène et d'albumine. Le type de donneur, l'hépatectomie du donneur et le temps d'ischémie froide sont similaires entre les groupes. L’IRA est plus fréquente dans le cas de donneurs marginaux. Le temps opératoire est plus long dans les groupes d'IRA (I, II-III). Les besoins en transfusions sanguines peropératoires sont plus élevés dans le groupe d’IRA. Le taux de syndrome post-reperfusion est plus élevé dans les groupes IRA. En postopératoire, des taux d'hémoglobine plus faibles et un International Normalized Ratio (INR) plus élevé du premier au cinquième jour étaient associés à l'IRA. Les pics de transaminases ne diffèrent pas entre les groupes atteints d'IRA et les autres. L'IRA est associé à une durée d'hospitalisation et des séjours aux soins intensifs plus longs. Après une analyse multivariée, le syndrome post-reperfusion, le genre du donneur et du receveur, la durée chirurgicale, la présence d’un arrêt cardiaque, la transfusion de sang autologue per-opératoire et l’indication de greffe « hépatite B » sont des facteurs de risque de développement de l'IRA de niveau KDIGO I. Conclusion: L'IRA associée à la LT survient dans plus de 50 % des cas. L'hémorragie peropératoire et le syndrome de reperfusion postopératoire représentent des facteurs de risque, en particulier dans les cas de donneurs marginaux. Mots clés : Transplantation hépatique, Insuffisance rénale aigue, KDIGO, donneur marginal
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L’objectif de ce travail est de mettre en évidence les bénéfices de différentes techniques d’immunothérapie utilisées en médecine humaine afin de traiter différents cancers et d’évaluer si celles-ci sont applicables en médecine vétérinaire. Les cellules tumorales, en perdant une régulation cellulaire normale, peuvent échapper à une réponse immune anti-tumorale. L’immunothérapie, en renforçant notre système immunitaire à l’encontre des cellules tumorales, assure un avenir très prometteur dans le traitement de différents cancers en médecine humaine. En se basant sur ces prouesses, l’immunothérapie connaît un intérêt grandissant en médecine vétérinaire. Différentes techniques d’immunothérapies existent telles que ; les cytokines, les virus oncolytiques, les inhibiteurs des points de contrôle immunitaire (CTLA-4, PDL1/PD1), manipulation des lymphocytes T (CAR-T, TILs), les anticorps ciblant des antigènes tumoraux ainsi que les vaccins thérapeutiques. Ces différentes techniques ont démontré une efficacité clinique pour le traitement de tumeurs agressives, là ou d’autres traitements avaient échoués. Nos animaux de compagnies, eux aussi méritent ce type de traitement. Mais est-ce que ces techniques sont applicables en médecine vétérinaire ? C’est ce que nous allons voir dans ce travail. Et afin de mieux comprendre leur mécanisme, nous allons voir comment le système immunitaire combat les cellules tumorales et comment ces dernières arrivent à en échapper. Et enfin, on tentera d’élucider pourquoi certains patients ne répondent pas à ce type de traitement.
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Le cancer du pancréas et plus particulièrement l’adénocarcinome ductal pancréatique (PDAC) est en augmentation constante dans les pays développés et étant donné l’absence de traitement adéquat, il reste un des cancers dont le taux de survie est le plus faible (< 5 % à 5 ans). L’élément initiateur est l’acquisition d’une mutation dans l’oncogène Kras. La progression tumorale va se poursuivre par l’acquisition d’autres mutations qui vont amener les cellules dans différentes voies aboutissant in fine aux différents sous-types de PDAC. Ces différents sous-types ont des caractéristiques différentes et notamment la dépendance ou non à Kras pour la survie de la tumeur. L’enjeu actuel est de définir quels sont, dans ces différents sous-types, les facteurs essentiels du processus de cancérogenèse. Dans ce but, notre laboratoire utilise le zebrafish comme modèle de tumeurs humaines. Le zebrafish a créé sa propre niche dans la recherche contre le cancer, en complément des modèles existants en raison de ses avantages spécifiques. Par exemple, la croissance tumorale chez des poissons « casper » complètement transparents peut être suivie sur l’animal vivant, ce qui facilite notamment la détection de métastases. De plus, comparer le développement tumoral dans des organismes éloignés que sont le zebrafish et l’homme permet de mettre en évidence les éléments conservés à travers l’évolution et donc essentiels pour le processus de cancérisation. En générant des lignées de poisson zèbre transgénique surexprimant l’oncogène KrasG12D dans les cellules pancréatiques, notre laboratoire a réussi à développer un modèle de PDAC. Le but de ce mémoire est de caractériser de façon exhaustive les différentes étapes du processus. Pour cela, nous avons réalisé des expériences d’histologie (colorations à l'hématoxyline et à l'éosine (HE), à l’alcian blue et au trichome). Ces analyses ont été affinées par des expériences d’immunohistochimie en utilisant différents anticorps. Ces analyses ont pu montrer que le PDAC généré récapitule assez fidèlement le processus humain.
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