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If approved by the Food and Drug Administration (FDA), Atlantic salmon would be the first genetically engineered (GE) animal to be marketed in the United States for human consumption. Genetic engineering techniques are used by scientists to insert genetic material from one organism into the genome of another organism. Genetically engineered salmon have been modified to grow more quickly and use feed more efficiently. However, some are concerned that, in this rapidly evolving field, current technological and regulatory safeguards are inadequate to protect the environment and ensure that these p
Atlantic salmon. --- Salmo salar --- Salmo --- Salmon
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Salmo. --- Truite de mer.
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OURTHE --- SALMO TRUTTA --- RESETTLEMENT --- OURTHE --- DEMOGRAPHY --- REPORTS --- SALMO TRUTTA --- SALMO TRUTTA --- OURTHE --- SALMO TRUTTA --- RESETTLEMENT --- OURTHE --- DEMOGRAPHY --- REPORTS --- SALMO TRUTTA --- RESETTLEMENT --- SALMO TRUTTA --- DEMOGRAPHY --- REPORTS
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Rainbow trout --- Productivity --- Nutrition --- Oncorhynchus mykiss --- Redband trout --- Salmo gairdneri --- Salmo irideus --- Oncorhynchus --- Trout --- Steelhead (Fish)
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Salmo trutta --- Salmo trutta --- Fish larvae --- Fish larvae --- Freshwater --- Freshwater --- Quality --- Quality --- Fishways --- Fishways --- Wallonie --- Wallonie
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Animal introduction --- Salmo salar --- Intensive husbandry --- Fish culture. --- Fish culture
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Rainbow trout --- Functional genomics --- Genome mapping --- Oncorhynchus mykiss --- Redband trout --- Salmo gairdneri --- Salmo irideus --- Oncorhynchus --- Trout --- Steelhead (Fish)
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Dans le bassin de la Meuse, la stabilité et la survie des populations de saumons atlantiques (Salmo salar), une espèce migratrice anadrome, sont principalement menacées par la présence de nombreux ouvrages hydro-électriques le long des cours d’eau. Même si pour la montaison, cette menace est en passe d’être résolue, la dévalaison représente toujours un gros point noir dans les programmes de réintroduction. L’objectif principal est d’améliorer nos connaissances sur les comportements fins de recherche de voies de passage pour des smolts de saumons atlantiques en phase de dévalaison vers la mer. Nous avons sélectionné l’ouvrage hydro-électrique de Méry, un site d’étude intéressant de par sa configuration (plusieurs voies de passage, deux types de turbines, un exutoire de dévalaison, une échelle à poisson) et sa position dans l’axe migratoire (la basse Ourthe juste avant la confluence avec la Meuse). Un second objectif était de poursuivre le monitoring historique du piège de l’exutoire de dévalaison, entre mars et juin 2018, afin de préciser les facteurs environnementaux déclencheurs de la dévalaison. Pour la partie comportementale, n=217 smolts, de la pisciculture d’Erezée, ont été répartis en 4 lots et déversés à 4 périodes différentes (9/04, 19/04, 26/04 et 17/05). Ils ont ensuite été suivis à l’aide de la télémétrie radio manuelle (n=17 smolts) et de systèmes automatisés RFID (n=200 smolts). Les smolts ont généralement franchi le barrage de Méry par la 1ère voie de passage rencontrée. L’exutoire de dévalaison a été la voie la plus attractive au détriment de la vis d’Archimède. L’utilisation des voies de passage est influencée par le débit de l’eau avec une augmentation de l’utilisation de l’exutoire lorsque le débit diminue. Le délai de franchissement du barrage de Méry varie entre 4min à 22h46 et les smolts le franchissent généralement avant le début du crépuscule. Ils dévalent ensuite l’Ourthe en moyenne à 0,25m/s, vitesse influencée notamment par la présence de plusieurs barrages dont le délai de franchissement varie en moyenne entre 1min35 et 4h22. En ce qui concerne le monitoring saisonnier du piège de l’exutoire de dévalaison, l’année 2018 permet d’affiner nos connaissances sur les rythmes de migration. L’ensemble des résultats obtenus contribue à une amélioration de nos connaissances sur le comportement de négociation des ouvrages hydro-électriques avec la mise en évidence sur le site de Méry, de l’importance de l’exutoire de dévalaison et la faible attractivité de la vis d’Archimède.
Smolt --- Salmo salar --- Dévalaison --- Hydro-électricité --- Barrage --- Sciences du vivant > Zoologie
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Dans le cadre de la recherche d’une alternative pour la salmoniculture soumise parfois aux aléas des changements climatiques, la présente étude vise à évaluer l’effet de quatre températures sur la survie et la croissance des hybrides issues d’un croisement entre une femelle de truite fario (Salmo trutta) et un mâle de saumon de fontaine (Salvenilus fontinalis). Deux séries d’expérimentation sont conduites sur une période de 19 jours (expérience 1) et 35 jours (expérience2). Ainsi 320 juvéniles de poids moyen de 44,3± 10,7g sont répartis dans 8 bacs de volume 0,1m3 et soumis en duplicat à quatre traitements thermiques : T16, T20, T24, T26. La deuxième série d’expérimentation est conduite à la suite de la première dans les mêmes conditions avec les juvéniles de poids moyens 53,5 ± 15,06 g. Les poissons sont nourris avec une provende extrudée de marque Coppens 3mm contenant 41,7 % de protéines. En dehors de la température qui a varié d’un traitement à un autre, le taux d’oxygène dissous, de matières azotées (nitrates et nitrites) sont restées dans les normes recommandées pour la survie et la croissance des hybrides de salmonidés. Les taux de survie moyen sont très faibles pour les traitements T24 (26,25%) et T26 (1,25%) au cours de la l’expérience 2. Quant à l’expérience 1, les poissons issus de ces deux traitements n’ont pas survécu au cours de première quinzaine d’élevage. Les meilleurs taux de survie 95% et 100% (expérience 1) et 78,75% et 86,25% (expérience 2) sont obtenus respectivement au cours de traitement T16 et T20. Pour ce qui est des performances de croissance, les faibles taux de croissance spécifiques sont enregistrés d’une manière générale au cours des traitements T24 et T26. Ces taux sont respectivement de 1,5±0,09 %/j ; 1,3±0,02 %/j pour l’expérience 1 et de 0,4±0,2 %/j ; 0,3±0,04 %/j au cours de l’expérience 2. Il apparait alors que les températures 16°C et 20°C favorisent la survie et la croissance des hybrides de salmonidés contrairement aux températures 24°C et 26°C qui restent létales pour les poissons.
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Le saumon atlantique est une espèce migratoire qui a connu une période de déclin considérable au 19ème siècle en Europe et Amérique. En Belgique, dans le bassin de la Meuse, le saumon avait disparu totalement vers les années 1940. Par la suite de cette disparition, un programme de réintégration appelé « Meuse saumon 2000 » a été initié en 1987 permettant la réintroduction des poissons. Les causes des déclins du saumon sont multiples : la surpêche, la pollution aux pluies acides, et la présence des installations hydroélectriques dans les rivières. Plusieurs études ont déjà été menées par différents chercheurs visant à trouver une solution pour la montaison, mais la dévalaison a été négligée. Aux fils des années, les chercheurs ont pu constater que le problème de dévalaison est aussi important qu’en montaison. Dans le cadre de ce travail, notre objectif est d’étudier les facteurs qui influencent le choix de la voie de migration des smolts ainsi que les impacts qui leur sont causés par les ouvrages hydroélectriques. Notre étude est une simulation pour essayer de décrire la situation qui se passe en milieu naturel, menée au sein du laboratoire hydraulique de l’université de Liège. L’expérimentation a été menée sur 120 smolts provenant de la pisciculture d’Erezée. Les smolts étaient repartis en 40 groupes de 3 individus en raison de 10 groupes par designs. 4 designs ont été étudiés lors de l’expérimentation : turbine, grille, grille & turbine et déversoir. Seulement les deux derniers sont maintenus dans le cadre de notre travail. D’après les résultats de notre étude, la voie « déversoir » a été plus favorable pour les smolts. La voie « grille & déversoir » présenterait des effets répulsifs et causerait des blessures graves et la mort aux smolts. Différents facteurs influenceraient le choix de la voie de migration des smolts : la vitesse du courant d’eau, la température, le débit de l’eau et la puissance de la turbine. Le temps de franchissement des deux designs diffère de manière significative. Face au design « grille & turbine », les smolts ont effectués plus de tentatives et ont pris plus de temps pour franchir l’obstacle par rapport à ceux du design « déversoir ». Le temps entre 2 tentatives pour les 2 designs diffère de manière significative. Les résultats obtenus apportent de nouvelles connaissances des impacts causés par les sites hydroélectriques sur la dévalaison des poissons dans les différents cours d’eau et aussi servir comme piste d’orientation pour faciliter les chercheurs à travers d’autres recherches.
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