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Des cerises chiliennes ou des haricots verts en provenance du Kenya au mois de décembre. Des tomates arrivées directement du sud de l'Andalousie en février ou des fraises, au mois de mars, nées sous des serres chauffées, sur de la fibre coco en France. Des grappes de raisins du Pérou en avril et des pommes sorties de chambres à atmosphère contrôlée en juin. La liste est longue, presque aussi longue que le chemin parcouru par la majorité de ces fruits et légumes qui inondent les étals des marchés et hypermarchés de notre pays, tout au long de l'année.Les "évolutions" de l'agro-industrie font que les poules pondent toutes l'année, les chèvres produisent du lait en hiver, les tomates poussent hors sol dans des serres chauffées et éclairées. Il n'y a plus de contraintes saisonnières de production ou de transformation. Nous sommes devenus des consommateurs pressés qui négligeons la Nature. Nos choix alimentaires conditionnent notre santé et la santé de notre planète. Il est temps de redécouvrir le plaisir de savourer le meilleur de chaque saison, de reprendre le contrôle de notre alimentation, de prendre les bonnes décisions… pour demain.
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Capitalisme --- Libéralisme --- Clouscard, michel (1928-2009) --- Société de consommation --- Clouscard, michel (1928-2009) --- Société de consommation
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Dépression --- Société de consommation --- Depression, Mental --- Bandes dessinées.
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Pourquoi sommes-nous (presque) tous un peu matérialistes ? Les biens matériels occupent une place incroyable dans nos vies. En consommant, l’individu dessine les contours de sa vie, la modèle selon un schéma qui lui est propre. Consommer beaucoup, ou plus que nécessaire, c’est être matérialiste. Mais peu de personnes acceptent de se considérer comme matérialistes. Pourtant dans les pays développés un matérialisme diffus se répand dans toutes les couches de la société. Un petit pas grand-chose qui fait que l’on consomme un peu trop. Ce petit pas grand-chose, nous l’avons appelé le matérialisme ordinaire. L’objet de cet essai est de déconstruire les rouages de la relation que nous entretenons avec nos possessions matérielles. Comment et pourquoi nous attachons-nous à certains objets et pas à d’autres et pourquoi achetons-nous systématiquement un peu trop de biens matériels ? Quelles relations existe-t-il entre le matérialisme, les différentes formes de consommation, la construction identitaire et les valeurs des individus dans un environnement social incertain ? Que penser de la socialisation économique et des questions de société que pose le matérialisme ? Telles sont les questions fondamentales posées dans cet essai qui nous permettront de mettre en évidence la logique et la dynamique du matérialisme ordinaire dans la vie quotidienne.
Consommateurs --- Société de consommation --- Consumption (Economics) --- Consumer behavior --- Material culture
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Qui n'a pas un jour pesté face à un objet trépassant quelques jours seulement après la fin de la garantie ? Acheter, acheter, encore acheter… Et à peine achetées, voilà qu'il faut déjà remplacer nos petites emplettes, vite démodées, vite cassées. Nous sommes les victimes de la pub, des industriels, de la pression sociale : tout s'intensifie, nous détournant des choses essentielles de la vie… Sans parler des conséquences désastreuses sur la planète ! Réchauffement climatique, effondrement de la biodiversité, avons-nous vraiment envie de ça ? Face à cette gloutonnerie effrénée, le concept de sobriété heureuse prend de plus en plus d'importance tandis que des réponses citoyennes et responsables s'affirment en contre-attaque. Et si on sortait du tourbillon infernal de la surconsommation ? "Mais pourquoi j'ai acheté tout ça !?" est l'histoire à la fois sérieuse et drôle d'une prise de conscience et propose des solutions viables et concrètes pour dire stop à la consommation
Consommation durable --- Consommateurs --- Société de consommation --- Consumption (Economics) --- Environmental protection
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Capitalisme --- Société de consommation --- Philosophie. --- Capitalism --- Consumption (Economics) --- Philosophy
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Les influenceur·euse·s, par le mode de vie et de consommation dont elles et ils font la promotion, façonnent certains choix de leur audience. Dans cet univers plutôt associé à la fast fashion et à l'hyperconsommation, certain·e·s ont décidé de mettre cette influence au service des enjeux écologiques et des modes de vie plus sobres, voire de transformer leur influence en mode d'action militant. Le Monde de l'influence face à l'urgence écologique permet de découvrir leur histoire et leur engagement.
Influenceurs --- Influenceuses --- Société de consommation. --- Mode de vie durable. --- Écologie.
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Consommer plus pour travailler plus : c'est ce que, en 1932, préconise Bernard London face à l'inaction du Président Hoover (1929-1933) et à la veille des grands chantiers du Président Roosevelt (1932-1945). Pour le courtier new-yorkais en immobilier, il suffit de proposer une sorte de " prime à la casse ", pénalisant la détention de tout objet ayant dépassé sa date fiscale de péremption. Ainsi, tant par le management que par la planification, l'économie américaine retrouvera l'" équilibre entre production et consommation ". Précisons que vingt ans plus tard, le baby boom, la publicité, le marketing et le crédit élèveraient l'achat au rang d'un art purement consumériste et la production à celui d'une obsolescence véritablement programmée...
Obsolescence --- Société de consommation --- Crise économique --- Années 1930 --- Consommation --- USA --- Obsolescence. --- Société de consommation. --- États-Unis --- Société de consommation.
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SOCIETE DE CONSOMMATION --- CHAMP CREATIF --- ECONOMIE CULTURELLE --- GLOBALISATION --- URBANISATION --- SOCIETE DE CONSOMMATION --- CHAMP CREATIF --- ECONOMIE CULTURELLE --- GLOBALISATION --- URBANISATION
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Jamais, au cours des siècles, tant de moyens n'ont été disposés en faveur d'une émancipation véritable des individus et des peuples ; jamais ils n'ont été à ce point ignorés et méprisés par un aussi scandaleux parti pris de passivité et de résignation. Jamais nous n'avons autant végété au-dessous de nos capacités de vivre. Jamais, pour tout dire, la servitude ne s'est montrée si volontaire depuis que l'affranchissement s'est mis à portée de tous. Pourtant, il existe au sein de la confusion et du désarroi croissants une force de vie, présente en chacun, capable de combattre ce qui l'opprime et la dégrade. Un mode de production fondé sur al gratuité des énergies est en passe de succéder à une économie qui, depuis des millénaires, exploite à outrance l'homme et la nature. Il apporterait un soutien précieux à la lutte contre la barbarie, si son projet de restaurer le vivant n'obéissait à la nécessité de rendre au profit un dynamisme qu'épuisent le capitalisme mondial et son accumulation financière improductive. La seule façon de ne pas s'atrophier dans une société qui débonde en destructions absurdes la rage de ne pas vivre, c'est de construire les situations où créer son bonheur quotidien enseigne à créer une société toujours plus humaines. En renouant avec la tradition du Manifeste, Raoul Vaneigem dégage de la somme des idées exposées du Traité de savoir-vivre (Gallimard, 1967) à Nous qui désirons sans fin (le cherche midi éditeur, 1996) les éléments d'une prise de conscience capable d'opposer au réflexe de mort que propage la civilisation marchande le projet d'une vie souveraine et la prééminence du sens humain. Gageons qu'un tel livre fera dévier plus d'une existence de son cours.
Ethnology --- Civilization, Modern --- Anthropologie sociale et culturelle --- Civilisation --- Socioanthropology - Essay --- Morale sociale --- Société de consommation. --- Anthropologie --- Ethnology. --- Société de consommation --- Civilisation -- 20e siècle --- Société de consommation.
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