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Le mémoire se propose d'étudier deux bâtiments à la reconversion différente et aux budgets différents : la Piscine de Roubaix, ancienne piscine reconvertie en un musée, et la Condition Publique, ancienne usine où l'on conditionnait la laine, où l'on fixait son prix, reconvertie en Maison Folie à l'occasion de Lille 2004. Le mémoire étudie, à travers quatre points, les conditions dans lesquelles " un espace dure plus longtemps que la fonction qui l'a fait naître ". Ainsi sont étudiés : - L'Histoire du bâtiment, son architecte initiale, quand il a été construit. Dans quel quartier il s'implante. L'histoire des quartiers, dans quel contexte le bâtiment a été construit.- L'architecture du bâtiment avant sa reconversion. Dans cette partie sont mises en évidence les caractéristiques du bâtiment : sa lumiére, sa structure, ses dimensions, ses matériaux....à l'aide de plans et photos.- Les ambitions de la reconversion. Cette partie se penche sur les ambitions des architectes et des différents intervenants du projet. Du musée solidaire pour la Piscine à un projet participatif pour la Condition Publique, cette partie explique les démarches effectuées par les différents acteurs du projet, pour faire renouer la culture avec les habitants du quartier de chaque bâtiment.- La réhabilitation de chaque bâtiment. Dans cette partie est développé le travail effectué par les architectes : comment ils ont fait leurs projets à partir d'un bâtiment existant. Le projet de la Piscine se base sur un parcours à travers le bâtiment où architecture et exposition sont à découvrir, la Condition Publique, quant à elle, est un jeu mêlant la lumiére, le modulable et la structure. Ce projet est une simple remise en état du bâtiment.A partir de l'étude de ces quatre points, qui retracent le présent et le passé des bâtiments, se dégagent plusieurs points qui permettent de porter un regard dans le futur sur des bâtiments qui constituent l'architecture d'aujourd'hui. Le mémoire offre dans sa conclusion, des clés d'entrée pour pratiquer la reconversion d'un bâtiment remarquable...
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Roubaix --- Roubaix --- 9 (44.28 R.)
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ROUBAIX (FRANCE) --- TELEPORT --- ROUBAIX (FRANCE) --- TELEPORT
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Peut-on vivre en ville ? Quel rapport l'homme entretient avec le monde extérieur ? Tout individu posséde un rapport spécifique avec son environnement urbain et social, chaque être humain est différent par sa culture, ses origines, et son histoire. Ce rapport est déterminant pour son propre bien-être. L'appartement, l'immeuble, la maison, la place, l'arbre, la route, représentent des données fondamentales pour l'équilibre de l'être humain. La ville rassemble en un même lieu des milliers d'individus qui ne se connaissent pas et qui doivent apprendre à vivre ensemble.Cependant, c'est une évidence, nous ne savons plus vivre ensemble.La violence, l'incompréhension, la difficulté de vivre ensemble résultent de problémes relatifs à la culture de chaque individu, à la dimension cachée que chaque être posséde.«La dimension cachée, c'est celle du territoire de tout être vivant, animal ou humain, de l'espace nécessaire à son équilibre. Mais chez l'homme, cette dimension devient culturelle.»[...]
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Le but est d'abord de comprendre le contexte historique et de s'y inscrire dedans, au cœur de la métropole lilloise et de Roubaix.Dans le Nord de la France, et plus particuliérement dans la métropole lilloise, les villes se sont développées de maniéres différentes sur une idéologie commune. L'aprés-guerre a précipité la reconstruction en fonction d'objectifs économiques, sans tenir compte de quelconques aspirations de la population. Les schémas d'urbanisation ont été calqués sur les mouvements industriels et non réfléchis par rapport au bien-être social. A cela, il faut ajouter la notion «d'habiter le social». Habiter, c'est être chez-soi, c'est-à-dire dans un lieu d'intimité sociale et secréte où l'on aime se retrouver. Le logement social devient seule unité de vie, une unité de référence enclavée spatialement et mentalement. Et l'espace collectif des quartiers se prête volontiers à cette domination : avec un espace entiérement «libre» et une indistinction totale des statuts du sol (privatif ou public), sans limite matérialisée, sans seuil protecteur et donc ouvert à n'importe qui, jusque sous les fenêtres des logements.La question du logement pose celle de l'espace.Le quartier s'inscrit dans la métropole et dans la ville de Roubaix, ces deux entités représentent en partie les limites officielles. L'analyse en chiffres de l'emploi, de la population, du logement, du bâti et selon différentes parties du quartier lui-même révélent les caractéristiques principales et la constitution de l'Alma.Par analyse de cartes et du quartier lui même, en ressort également les limites officielles : le chemin de fer, un boulevard, un canal, de grandes rues commerçantes.Si l'on veut comparer celles-ci avec les limites ressenties, les processus engagés ne sont pas les mêmes. L'analyse se fait par l'observation, des enquêtes, les signes visibles d'appropriation des espaces étant: tags, le manque d'hygiéne, l'entretien, les fermetures, les barriéres linguistiques... mais également par l'analyse d'un îlot d'habitation. Entre les plans d'aménagements dessinés et le vécu actuel, la marge est trés importante et les limites pas évidentes à définir. Les bâtiments sont peu entretenus, dégradés et ternes, les accés sont clos, les espaces intérieurs ne correspondent plus aux situations familiales. Il manque d'espaces à vivre tant à l'intérieur qu'à l'extérieur !Par divers modes d'appropriation et d'expression, la population marque son domaine, son ensemble et le définit ... elle-même en l'absence de réponse satisfaisante à ses aspirations de vie, ou presque...
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