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Transcription d'une conversation organisée à l'Ecole Normale Supérieure de Paris le 22 mai 2009
Muséologie --- Musée --- Exposition --- Philosophie --- Rapport du créateur à l'objet créé
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Aesthetic theory in the West has, until now, been dominated by ideas of effect, autonomy, and reception. Transformative Aesthetics uncovers these theories' mutual concern with the transformation of those involved. From artists to spectators, readers, listeners, or audiences, the idea of transformation is one familiar to cultures across the globe. Transformation of the individual is only one part of this aesthetic phenomenon, as contemporary artists are increasingly called upon to have a transformative, sustainable impact on society at large. To this end, Erika Fischer Lichte and Benjamin Wihstutz present a series of fresh perspectives on the discussion of aesthetics, uniting Western theory with that of India, China, Australia, and beyond. Each chapter of Transformative Aesthetics focuses on a different approach to transformation, from the foundations of aesthetics to contemporary theories, breaking new ground to establish a network of thought that spans theatre, performance, art history, cultural studies, and philosophy.
Esthétique --- Performance --- Philosophie de l'art --- Rapport du créateur à l'objet créé
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Jouant sur l'idée du "corps" de polices typographiques, Claude Closky a conçu, pour l'association Paste dans le cadre de l'action Nouveaux commanditaires de la Fondation de France, une oeuvre multimédia, générant en ligne des cartes de visites personnalisées. Cette publication en éclaire la génèse et les enjeux. Cet ouvrage a été publié à l'occasion de l'inauguration, le 2 juin 2015, de la commande passée à Claude Closky par l'association Paste, dans le cadre de l'action Nouveaux commanditaires initiée et soutenue par la Fondation de France. Il inaugure une série de cahiers publiés par SOCIETIES (Objet de production) aux Presses du réel, autour des projets Nouveaux commanditaires que l'association met en œuvre à Paris et en Ile-de-France par l'intermédiaire de Jérôme Poggi (médiateur agréé). SOCIETIES est une structure coopérative, non gouvernementale et sans but lucratif, fondée par Jérôme Poggi en 2004, sous le nom initial d'Objet de production. Elle cherche à fédérer les capacités de tous les membres de la société qui le souhaitent pour interagir sur la scène de l'art et faire ensemble œuvre d'art. Plus que des nouveaux publics, ce sont de nouveaux acteurs que SOCIETIES souhaite encourager à prendre part à l'économie de l'art d'aujourd'hui. L'action des Nouveaux commanditaires initiée par la Fondation de France permet à des citoyens confrontés à des enjeux de société ou de développement d'un territoire, d'associer des artistes contemporains à leurs préoccupations en leur passant commande d'une œuvre. Son originalité repose sur une conjonction nouvelle de trois acteurs privilégiés : l'artiste, le citoyen, le commanditaire et le médiateur culturel agréé par la Fondation de France, accompagnés des partenaires publics et privés réunis autour du projet.
Typographie --- Art numérique --- Rapport du créateur à l'objet créé --- Closky, Claude
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Ce travail est une réflexion autour de mes travaux et de mes références en lien à la notion d'intime. J'ai choisi de parler de l'intime car il rassemble plusieurs de mes questionnements. Je tente donc d'expliciter ce qu'est l'intime pour moi et ce qui m'intéresse à travers lui. La question que je me pose est de savoir comment l'intime peut-être mis en oeuvre c'est-à-dire comment il peut s'extérioriser au travers d'une pratique artistique. L'intime, bien que profondément en nous et échappant à tous regards, serait donc partageable. Ce paradoxe m'intrigue. Les artistes que j'ai choisis de présenter parviennent à faire de ce paradoxe une oeuvre d'art. C'est l'intention de l'artiste, la manière de montrer l'intime qui m'intéresse. En parallèle, j'explicite différents de mes travaux réalisés à l'erg qui sont en lien à cette notion. Ce travail est un dévoilement de moi-même, de ce qui m'anime et me touche.
Corps humain, thème --- Iconographie --- Rapport du créateur à l'objet créé
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Couleur --- Perception --- Processus de création --- Rapport du créateur à l'objet créé --- Rapport pleins-vides
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Les textes de ce volume sont la trace de la relation de Rémy Zaugg avec une sculpture. L’écriture a été un instrument asservi à la perception compréhensive pour la mise en forme de la perception réflexive révélant l’œuvre. Elle l’a aidé à interroger et à apprendre, pas à dispenser un savoir. Ceci explique la nature studieuse des textes, leurs circonvolutions, leurs détours et retours, les hésitations d’une progression nécessairement empirique à l’entour et autour de la sculpture.
Sculpture --- Ecrit d'artiste --- Rapport du créateur à l'objet créé --- Zaugg, Rémy --- Frankfurt
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C'est au XVIIIème siècle que l'autonomie de l'art accède à son statut idéal dans l'ésthétique des lumières. Mais il faut attendre la fin du XIXème siècle, pour que cette autonomie devienne le sujet même de l'art avec des oeuvres qui aspirent à un retrait esthétisant hors du monde. L'auteur essayera de démontrer que l'autonomie/hétéronomie de l'art reste en fait une problématique intemporelle, qui en traversant les époques donne naissance à de nombreuses topiques.
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Ce catalogue accompagne une importante exposition collective au CCA Wattis à San Francisco, organisée par Anthony Huberman. Il réfléchit à la façon dont la machine détermine notre façon de vivre et ce en quoi nous croyons. Une machine est aussi un mécanisme, pas seulement un objet physique, mais aussi une idéologie abstraite. Les œuvres d’art soulignent les formes et les instruments qui composent notre infrastructure technologique, ainsi que les valeurs qu’elles sont conçues pour faire respecter. Contestant un monde qui récompense l’efficacité, la vitesse et la productivité, les artistes participants testent les systèmes existants avec des machines inefficaces, des outils impossibles, du temps perdu et des protocoles élaborés qui désalignent les sorties et les entrées
Installation-art --- Machine (thème) --- Rapport du créateur à l'objet créé
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Dans Figures de l’histoire, Jacques Rancière poursuit sa subtile réflexion sur le pouvoir de représentation des images de l’art. Comment fait l’art pour rendre compte des événements qui ont traversé une époque ? Quelle place attribue-t-il aux acteurs qui les ont faits – ou à ceux qui en ont été victimes ? D’Alexandre Medvedkine à Chris Marker, de Humphrey Jennings à Claude Lanzmann, mais aussi de Goya à Manet, de Kandinsky à Barnett Newman, ou de Kurt Schwitters à Larry Rivers, ces questions ne sont pas seulement celles que posent les spectateurs aux oeuvres qu’ils rencontrent. Elles sont celles de l’histoire de l’art elle-même. S’interroger sur la manière avec laquelle les artistes découpent le monde sensible pour en isoler ou en redistribuer les éléments, c’est s’interroger sur la politique au coeur de toute démarche artistique. Telle est la démarche de Jacques Rancière, pour qui il n’est pas d’image qui, en montrant ou en cachant, ne dise quelque chose de ce qu’il est admis, dans tel lieu ou à tel moment, de montrer ou de cacher. Mais aussi pour qui il n’est pas d’image qui ne puisse, en montrant ou en cachant autrement, rouvrir la discussion à propos des scènes que l’histoire officielle prétendait avoir figées une fois pour toutes. Représenter l’histoire peut conduire à l’emprisonner – mais aussi à en libérer le sens
Histoire du cinéma --- Symbolique --- Philosophie --- Rapport du créateur à l'objet créé --- Philosophie de l'art --- Image
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En étudiant quelles sont les sept grandes lois régissant l'architecture (qu'il appelle sous un titre biblique " Les sept Lampes de l'Architecture "), l'esthéticien anglais John Ruskin entendait rénover l'architecture en lui dictant des règles rigoureuses, puisées notamment dans une conception de l'art subordonnant le Beau à la Nature. Parce que l'architecture est l'art qui peut le mieux rappeler la Nature, il a ainsi voulu réserver dans chaque édifice, un coin du mur, un fragment des colonnes, où l'architecte ne pouvait invoquer ni les lois mathématiques, ni les nécessités du bâtiment pour échapper à l'étude fidèle de la nature. De ce principe premier, il déduit que ces règles pratiques ne sont à chaque époque que l'expression passagère des lois éternelles qui gouvernent le monde moral, lois que doit respecter tout artiste, spécialement dans l'art de construire qui affecte le plus la vie de l'homme sous le rapport domestique, social, politique et religieux.
Esthétique architecturale --- Rénovation architecturale --- Rapport forme-fonction --- Rapport du créateur à l'objet créé --- Rapport architecture-nature --- Architecture --- Philosophie --- Philosophie.
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