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ULiège (2)


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dissertation (2)


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French (2)


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2021 (1)

2019 (1)

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Dissertation
Premières étapes dans le développement d'une méthodologie de quantification de l'ammoniac à l'aide de capteurs à oxydes métalliques
Authors: --- --- --- ---
Year: 2021 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Actuellement les mesures, de concentrations d’ammoniac, sont faites par plusieurs techniques, qui soit ne sont pas des mesures continues, soit qui coûtent beaucoup trop chères pour une utilisation régulière. C’est pourquoi nous nous sommes décidés de développer une méthode de mesure des concentrations d’ammoniac low-cost.
Pour mener à bien cette recherche, nous avons construit deux réseaux composés de six ou sept capteurs à oxydes métalliques disposés dans une petite chambre cylindrique. Cinq ou quatre des capteurs étant sensible à l’ammoniac, un des capteurs sensibles au VOC et le dernier au gaz des combustibles.
Ce que nous avons démontré, est que ce réseau de capteurs est capable de distinguer entre différentes concentrations d’ammoniac et différents pourcentages d’humidités. Certaines techniques, comme l’utilisation de sacs d’échantillonnages, plus précisément des sacs en nalophan et des sacs en aluminium, avec un intérieur en polyester, ont été écartées lors de la prise de mesure du réseau de capteur.
Finalement nous avons remarqué, lors d’un épandage test réalisé en extérieur, une réaction d’un réseau de capteurs. Cette réaction est due au changement de la composition de l’air et est corrélé aux concentrations d’ammoniac, mesurées à l’aide d’une chambre à filtres imbibés d’acide. Usually, the measurements, of ammonia, are performed by different techniques, that are very expensive for a regular use, or aren’t adapted for a continuous monitoring.
Therefore, we tried to develop two sensor arrays, that are build using six or seven metal oxide semiconductors sensors. These sensors were inserted in a small size cylindrical PTFE chambre. Five or Four of the sensors are used to estimate ammonia flow, one is sensitive to VOC and the last one reacts to combustible gas.
We have demonstrated that these sensors arrays are able to detect and separate different ammonia concentrations, and also different humidity percentages.
Some techniques, like the using of sampling bags, nalophan and aluminum with polyester bags, were rejected for measurement with the sensor arrays.
Finally, we have seen a reaction of one sensor array, after spreading of fertilisers,
This reaction was clearly driven by changes in the air composition, and correlated to ammonia concentrations, measured with a chamber of acid-soaked filters.


Dissertation
Évaluation de composés organiques volatils par des capteurs chimiques en culture de froment d'hiver soumis à des stress biotiques
Authors: --- --- --- ---
Year: 2019 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Les maladies subies par les plantes agricoles sont la source de grandes pertes économiques au
niveau mondial. De plus, les moyens mis en oeuvre pour lutter contre ces maladies en agriculture conventionnelle sont loin d'être optimaux pour la biodiversité. C'est pourquoi il est essentiel de pouvoir détecter ces maladies efficacement, et ce le plus tôt possible affin de pouvoir les traiter en limitant les pertes et les impacts environnementaux.
Parmi les nouvelles technologies de détection de maladie, les réseaux de capteurs chimiques,
plus communément appelés "nez électroniques", ne sont pas encore utilisés en champ. Or, l'une
des premières réactions d'une plante une fois infestée est l'émission de composés organiques
volatils (COV) pouvant être capté s et analysés par ces réseaux de capteurs.
La présente étude a été réalisée en deux phases. Une première phase en laboratoire s'est attachée à confirmer les connaissances sur les émissions en COV des plantes soumises à un stress, ainsi que de confirmer la capacité des capteurs à photo -ionisation (PID) à mesurer des COV émis par les plantes. La deuxième phase concerne la mise en place d'un nez électronique, ainsi que d' une méthodologie d'échantillonnage d'air provenant de l'environnement de plantes saines et d'autres infectées par fusarium spp, permettant de tester la capacité de discrimination du réseau de capteurs. Cette capacité a été testée via la mise en place d'analyses en composantes principales sur les données traitées de différentes manières ; ces mêmes données ont permis la production des modèles discriminants de type PLS-DA et Neural Network. En plus de l'état phytosanitaire, les discriminations entre deux variétés, ainsi qu'entre deux temps d'isolation permettant à l'air environnant les plantes de se concentrer en COV, ont été testées.
La première phase a permis de se rendre compte de l'importance de contrôler les conditions
pendant les tests en laboratoire comme le taux de CO2 mais surtout la lumière. Elle a aussi
mis en évidence la difficulté de travailler avec les COV. Ceux-ci ayant des sources multiples et
souvent plus importantes que les plantes elles-mêmes, la contamination de l'enceinte par des
COV extérieurs est vite arrivée. Néanmoins, il a pu être mis en évidence que le PID utilisé est
capable de détecter les différences de concentrations d'émissions par des plantes stressées ou non.
Durant la deuxième phase, le réseau de capteurs a été capable de différencier les "blancs",
échantillons d'air prélevés en amont du vent et ne contenant donc pas de COV émis par le
champ, des échantillons proprement dits, provenant de l'air environnant les plantes et ayant
été concentré pendant deux ou quatre heures grâce à la mise en place d'un isolement d'air
autour d'une plante. En revanche, la différenciation entre les échantillons provenant de plantes
saines et d'autres de plantes infectées n'a pas été très concluante. En effet, les modèles produits
présentent un taux de précision de maximum 67 %.
En conclusion, cette technologie qu'est le réseau de capteurs chimiques est une bonne piste
à développer dans le futur pour l'évaluation phytosanitaire d'une culture. Néanmoins, il reste
à vériffier la possibilité de les améliorer pour augmenter leur capacité à différencier à un niveau
de précision suffisant les mélanges gazeux induits par la maladie et ceux émis par la plante
en temps normal. Pour ce faire, il faut continuer les recherches en améliorant la méthodologie
de prélèvement des échantillons. Dans ce cadre, une identiffication des molécules composant les
différents airs (blanc, sain, infesté, infesté et concentré) est une bonne piste. Des tests à base
d'air non concentré constituent une étape ultérieure vers une potentielle mise en place d'un nez
électronique analysant directement l'air en champ.

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