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À l'aube du troisième millénaire, deux phénomènes marquants sont à l'ordre du jour : la mondialisation des communications et la redéfinition de l'État. Mais, en même temps, on assiste à un mouvement de contestation qui gagne tous les secteurs de la société et s'interroge sur la concentration des pouvoirs. C'est à l'analyse de ces mouvements, apparemment contradictoires, que s'attaquent les auteurs de cet ouvrage. Pour eux, la culture et les communications sont le lieu privilégié de la démocratie et de la remise en cause des institutions, telles qu'elles sont apparues à travers les mouvements migratoires, la transformation du divertissement, la redéfinition de la citoyenneté, les accords internationaux. Dans ce contexte, l'État joue un rôle nouveau, aux dépens des anciennes conceptions de l'autorité. Du reste, le Canada lui-même est mis sur la sellette dans sa façon d'aborder les problèmes de la citoyenneté et dans ses tentatives pour résoudre les conflits qui l'agitent. De nouvelles façons d'envisager la participation des citoyens se manifestent un peu partout dans le monde, grâce notamment à l'usage de nouvelles technologies, telles que l'Internet ou les télécommunications. C'est dans la mesure où les institutions transnationales et nationales seront à l'écoute de ces changements qu'un nouveau civisme pourra voir le jour. Ce livre s'adresse aussi bien au grand public qu'aux sociologues ou aux politiciens. Il met en évidence la responsabilité accrue des citoyens pour une plus grande prise de conscience des phénomènes qui marquent la société mondiale. « Alors que, d'habitude, nous ne voyons la mondialisation qu'à travers le prisme de la finance, de la démocratisation et de la sécurité, cet ouvrage décisif nous ramène à la culture et à la société. Nous sommes entraînés dans une perspective tout à fait neuve qui renverse l'ordre habituel des choses : c'est la société et la culture qui constituent le point névralgique de l'activité humaine, pas l'économie.

Protest movements.

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Who is meant when people talk about the citizens or the activists? Often, they are implied to mean the most privileged positionalities. Simultaneously, refugees and migrants tend to be seen through their (supposed) legal status. Thus, they are neither practically nor conceptually regarded as activists. The variety of intersecting positionings in migrant rights activism results in complex inequalities and power dynamics within activist groups. Solidarities are continually challenged, negotiated, and built. Lea Rzadtki develops a conceptual view on claims, challenges, and processes that activists experience and deal with. She moves beyond dichotomies and engages in transversal dialogue.

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À l'aube du troisième millénaire, deux phénomènes marquants sont à l'ordre du jour : la mondialisation des communications et la redéfinition de l'État. Mais, en même temps, on assiste à un mouvement de contestation qui gagne tous les secteurs de la société et s'interroge sur la concentration des pouvoirs. C'est à l'analyse de ces mouvements, apparemment contradictoires, que s'attaquent les auteurs de cet ouvrage. Pour eux, la culture et les communications sont le lieu privilégié de la démocratie et de la remise en cause des institutions, telles qu'elles sont apparues à travers les mouvements migratoires, la transformation du divertissement, la redéfinition de la citoyenneté, les accords internationaux. Dans ce contexte, l'État joue un rôle nouveau, aux dépens des anciennes conceptions de l'autorité. Du reste, le Canada lui-même est mis sur la sellette dans sa façon d'aborder les problèmes de la citoyenneté et dans ses tentatives pour résoudre les conflits qui l'agitent. De nouvelles façons d'envisager la participation des citoyens se manifestent un peu partout dans le monde, grâce notamment à l'usage de nouvelles technologies, telles que l'Internet ou les télécommunications. C'est dans la mesure où les institutions transnationales et nationales seront à l'écoute de ces changements qu'un nouveau civisme pourra voir le jour. Ce livre s'adresse aussi bien au grand public qu'aux sociologues ou aux politiciens. Il met en évidence la responsabilité accrue des citoyens pour une plus grande prise de conscience des phénomènes qui marquent la société mondiale. « Alors que, d'habitude, nous ne voyons la mondialisation qu'à travers le prisme de la finance, de la démocratisation et de la sécurité, cet ouvrage décisif nous ramène à la culture et à la société. Nous sommes entraînés dans une perspective tout à fait neuve qui renverse l'ordre habituel des choses : c'est la société et la culture qui constituent le point névralgique de l'activité humaine, pas l'économie.

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Eruptions of Popular Anger: The Economics of the Arab Spring and Its Aftermath sets out to answerthree puzzles-the "Arab inequality" puzzle of civil uprisings in countries with low-to-moderateand stagnant economic inequality, the "unhappy development" paradox of increasing dissatisfactionat a time of moderate-to-rapid development, and the paradox of political violence in middle-incomecountries.The book's empirical investigation rules out high and rising inequality as a reason for the ArabSpring uprisings. It shows that the real problem was the erosion in middle-class incomes and thegrowing dissatisfaction with the quality of life, the shortage of formal sector jobs, and corruption.Frustration was particularly high among the young, educated, middle-class residents in urban areas.The old social contract, which had delivered development results in the past and under which Arabgovernments provided public-sector jobs and subsidized services in return for subdued voice, wasunsustainable and malfunctioning. The public sector could no longer be the employer of choice, butthe private sector did not generate enough formal sector jobs, because of distortions that constrainedits growth and policies that offered advantages to a few firms with political connections, limitingcompetition and private investment. The breakdown in the social contract increased the premiumon freedom and created impetus for political change.This report shows that the Arab Spring revolutions and the subsequent spread of violence andcivil wars in the post - Arab Spring Middle East and North Africa region can be traced to the brokensocial contract, institutional weaknesses, and regional divisions in societies polarized along ethnic andsectarian lines. The Arab Spring and its aftermath indicate the need for a new social contract underwhich governments promote private-sector job creation, design public services in a way that holdsproviders accountable to beneficiaries, and promote inclusion and good governance.

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