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Évaluation par ergospirométrie des performances cardiovasculaires au long cours d'une cohorte de patients traités pour une leucémie lymphoblastique aiguë
Authors: --- --- ---
Year: 2015 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

Ces dernières décades, à cause de l'augmentation de l'incidence de certa ins cancers pédiatriques et de l'amélioration de la survie de ces patients (1,2), nous sommes confrontés à une population nouvelle et croissante de survivants de cancers pédiatriques. Environ 1jeune adulte sur 530, entre les âges de 20 et 39 ans, est aujourd'hui un survivant d'un cancer pédiatrique (1). Ces surv ivants sont toutefois exposés à une morbidité et une mortalité plus importantes secondaires aux traitements par chimiothérapie et radiothérapie toxique. La cardiotoxic ité, associée aux anthracyclines et à la radiothérapie médiastinale,est une des complications chroniques les plus sérieuses. La fréquence et la sévérité de ces effets secondaires suggèrent dès lors l'intérêt d'une surveillance cardiaque au long cours (3).L'objectif principal de notre étude est d'évaluer les conséquences à long terme d'un traitement par chimio- et radiothérapie cardiotoxique sur les performances cardio-respiratoires des surviva nts et de déterm iner l'utilité de l'ergospirométrie (CPET) dans la surveillance cardiaque au long cours. L'intérêt théorique du CPET est de mieux dépister la cardiotox icité qui peut rester sub-clinique pendant plusieurs années, afin de la traiter précocement.Matériel et méthodes: Pour évaluer ces conséquences nous avons analysés les performances cardio-respiratoires d'une cohorte homogène de 53 survivants d'une LLA, traités il y a plus de 5 ans, et suivis à l'hôpital de jour d'hémato-oncologie pédiatrique des cliniques universitaires Saint-Luc (CUSL-UCL). Pour les patients âgés de moins de 18 ans nous avons comparé ces va leurs aux valeurs d'une cohorte des sujets normaux, par contre pour les patients plus âgés que 18 ans nous avons comparée ces valeurs aux valeurs de référence retrouvées dans la littérature. Les traitements des patients, leurs ECGs, leurs échocardiographies de fonction ainsi que leur activité physique (par le biais d'un questionnaire standa rdisé), étaient aussi ana lysés pour expliquer les éventuelles différences des performances cardiovasculaires observées.Résultats: Notre étude n'a pas démontré une différence de la V02 max entre les patients âgés de moins de 18 ans et les sujets normaux. Par contre entre les patients âgés de plus de 18 ans et les valeurs de référence publiées dans la littérature nous avons retrouvé une diminution significative de la V 02 max. Enfin, nous n'avons non plus retrouvé une corrélation significative entre la V02 max et d'autres paramètres étudiés comme l'IMC, certaines expositions thérapeutiques, les paramètres ECG ou échoca rdiographiques ou encore le degré d'activité physique.Discussion et conclusion: Nos résultats sont en partie discordants avec les données disponibles dans la littérature qui démontrent une réduction significative de la V02 max des survivants d'un cancer pédiatrique.L'identification des corrélations significatives entre les facteurs de risque potentiels et une diminution des capacités physiques est difficile, et suggère la nécessité de recherches complémentaires sur les déterminants de la capacité d'exercice chez les survivants et les pistes d'intervention possibles lors d'altérations de celle-ci.Nos résultats sont en partie rassurants et suggèrent que les survivants conservent leur capacité de réaliser une activité physique normale, au moins pendant toute la période de croissance. Par contre nos données chez les patients de plus de 18 ans et la littérature justifient la mise sur pied des cliniques de suivi au long-cours des patients oncologiques pédiatriques. Over the last decades, a growing population of childhood cancer survivors has emerged, due to increase in incidence of certain pediatric cancers and the improved survival rate of these patients (1,2). Today about 1in 530 young adults, between the ages of 20 and 39,is a childhood cancer survivor (1). These survivors are at significant risk for an important morbidity and mortality because of their exposure to chemotherapy and sometimes radiation therapy. The cardiotoxicity, associated wit anthracyclines and chest radiation, is one of the most serious chronic complications. The frequency and severity of these side effects of treatment suggests that childhood cancer survivors should benefit from a long-term cardiovascular monitoring (3).The main goal of our study is to evaluate the long-term consequences of a treatment with cardiotoxic chemotherapeutic agents and radiation therapy on the cardio-respiratory performances of survivors and to determine the utility of ergospirometry (CPET) in their long-term cardiac monitoring. The theoretical advantage of CPET is to better screen for cardiotoxicity that could remain sub-clinical for several years, in order to treat those patients early in the disease.Material and methods: To evaluate the impact of chemotherapy and chest radiation on cardiovascular performances, we analyzed the results of standardized CPET in a homogenous cohort of 53 LLA survivors, treated more than 5 years ago, and followed at the hemato-oncology day hospital of the cliniques universitaires Saint-Luc (CUSL-UCL) . For patients younger than 18 years we compared these values with the values obtained in a cohort of normal subjects while the values of patients older than 18 years were compared to reference values found in literature. The treatment plan of patients, their ECG and echocardiographic data as well as their self-reported level of physical activity (evaluated by standardized quest ionnaire), were analysed to explain any differences observed in cardiovascular performances.Results: Our research did not show a significant decrease in V02 max between patients younger than 18 years and our control group of healthy subjects. However, patients older than 18 years had a significantly lower V 02 max than published reference values. Also we did not find any significant correlation between V02 max and other parameters studied such as BMI, medications received, ECG and echocardiographic data or the level of physical activity.Discussion and conclusion: There is a partial discrepancy between our results and data available in literature since several studies have shown a significa nt reduction in V02 max in childhood cancer survivors.lt remains difficult tough to identify significant correlations between potential risk factors and any decrease in physical capacity. This underlines the need for further studies on the determinants of exercise capacity and possible interventions in case of alteration.Our results are quite reassuring and suggest that the cancer survivors have normalcardiorespiratory performances at least until they reach adulthood. On the other hand, our findings with patients older than 18 years and literature justify the establishment of long-term follow-up clinics for pediatric oncological patients.


Book
Exposition prénatale aux pesticides et leucémies : apport des nouvelles connaissances physiopathologiques dans l'étude de la la leucémie lymphoblastique aiguë
Authors: --- ---
Year: 2014 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

La Leucémie lymphoblastique est la première cause de cancer chez l’enfant. L’exposition prénatale aux pesticides figure parmi les facteurs de risque environnementaux potentiels d’après les données épidémiologiques actuelles, qui mettent également en évidence une interaction avec de polymorphismes génétiques impliqués notamment dans le métabolisme des xénobiotiques. Cependant, les données épidémiologiques actuelles ne présentent pas un niveau de preuve optimal et aucune donnée expérimentale n’est actuellement disponible. Les connaissances physiopathologiques actuelles soulignent l’origine majoritairement prénatale de la LLA de l’enfant et permettent de préciser les fenêtres d’exposition à étudier ainsi que le mécanisme mutationnel initial. Une meilleure évaluation épidémiologique du lien de cause à effet tenant compte des anomalies cytogénétiques et moléculaires, du type de pesticide et des polymorphismes génétiques est justifiée. Les modèles expérimentaux doivent également être développés, en particulier l’usage de cellules souches embryonnaires humaines et de précurseurs hématopoïétiques et lymphoïdes obtenus par différenciation in vitro. En raison des limitations inhérentes aux méthodes épidémiologiques (problèmes de puissance et d’évaluation de l’exposition), ces méthodes expérimentales doivent être validées et intégrées à l’analyse de routine préalable à la mise sur le marché ainsi qu’à l’évaluation des molécules existantes. Ces préconisations entrent en conformité avec le règlement CE N°1107/2009 qui recommande une protection renforcée des femmes enceintes et des enfants à naître ainsi qu’une limitation du recours à l’expérimentation animale. Du fait de l’origine prénatale manifeste de la mutation initiale responsable de la LLA, une protection accrue des femmes enceintes ou en âge de procréer doit être assurée.


Book
Le blinatumomab, nouvelle arme dans le combat contre la leucémie lymphoblastique B aigüe ?
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de médecine et de médecine dentaire,

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Abstract

About 50% of adult patients in remission of B-ALL will unfortunately undergo a relapse in spite of well-conducted post-remission treatments. The prognosis for these patients is rather appealing. The chance of a new remission is very low, around 30 to 40 %.Moreover this remission period is usually very short and a prolonged survival depends on the possibility of leadings the patient to a stem cell transplant (10-30%). An original strategy using the immunity –even though deficient – of the patient consists in using a new bispecific anti-CD3 and anti-CD19 antibody called Blinatumomab. It redirects any T cytotoxic lymphocyte (CD3+) against tumor cells carrying the targeted antigen (CD19 on B lymphoblast surface).So far it has been studied in the context of persistent or recurrent B-ALL residuary disease (MRD+) and in the context of relapsed and refractory B-ALL. In the context of MRD+, Blinatumomab enables around 80% of negativation, with some patients enjoying a prolonged remission without any additional treatment. In the context of R/R B-ALL, results are less dramatic, with complete remission in about 40% of cases. Objective : The objective of this study is to clarify the place of Blinatumomab in the therapeutic array of relapsed B acute lymphoblastic leukemia (B-ALL) through a systematic study of the medical file of patients treated in three different institutions, several who received Blinatumomab at a certain point in the course of their salvage treatment. Patients and methods: To achieve our objective we have analyzed 2 groups of adult’s patients suffering from relapsed B-ALL. The first group (n=33) consists of all recorded cases treated “in the classical way” in the services of hematology at CHU UCL NAMUR (site of Godinne), the Cliniques Universitaires Saint Luc and the CHU Liège (ULG) in the course of the last 12 years. The second group (n=13) consists of patients treated with Blinatumomab in a context either of positive minimal residual disease (MDR+) persisting after a hematological relapse. The curves of survival are assessed by using the method of Kaplan-Meier and compared with the log rank test. Results : in the course of a first relapse (n=46), 22 patients were treated with chemotherapy alone, 6 with a combination of chemotherapy and tyrosine kinase inhibitors (ITK), 9 with chemotherapy followed by Blinatumomab , 3 with Blinatumomab alone, and 3 with ITK alone. Finally, three patients received palliative care straight away. Among the 29 patients who enjoyed a second complete remission (RC2), 16 patients relapsed. In the course of this second relapse, 5 subjects had chemotherapy alone, 2 patients received a combination of chemotherapy in ITK, and 1 patient got chemotherapy in combination with Blinatumomab , 1 patient had Blinatumomab as a monotherapy and 3 patients ITK alone. 5/16 patients enjoyed a third complete remission. It is worth noting that one patient was treated with Blinatumomab twice (first and second relapse). So this makes a total of 14 relapses that were treated with Blinatumomab (12 first and 2 second relapses). Due to limitations resulting from a too small population to infer sufficient statistical power and from the heterogeneity of the care given, we could not highlight any significant impact of the use of Blinatumomab on the patients’ overall survival (OS) nor on relapse free survival (RFS) since the second complete remission Moreover there is no significant difference in terms of survival since the graft in RC2 between the “Blinatumomab” and the “non Blinatumomab” groups. It is worth noting that Blinatumomab was in many cases used as a last resort, in situations that were hopeless and furthermore the median follow up of the patients who were treated with Blinatumomab was shorter. Nevertheless analysis on an individual basis makes it possible to highlight a number of situations where Blinatumomab was able to get the patient out of a ‘therapeutic deadlock’. Conclusion and perspectives: On the basis of the clinical results published and in the light of the analysis of individual cases in our population, we make the proposition that the use of Blinatumomab has a double potential: not only to improve the therapeutic care of patients in relapsed B-ALL but also to reduce the effects of the relapse by improving the front line treatment. The results of clinical tests with Blinatumomab on the front line are not available yet. Let’s hope they will come to the researchers’ expectations; like ITKs did for Phil+ ALL. Environ 50% des patients adultes en rémission d’une LAL-B vont malheureusement rechuter malgré un traitement de post-rémission bien conduit. Pour ces patients, le pronostic est particulièrement sombre. La chance d’obtenir une nouvelle rémission est faible, de l’ordre de 30 à 40 %. De plus, cette rémission est de courte durée et une survie prolongée dépend de la possibilité d’amener le patient à l’allogreffe (10-30%). Une stratégie originale visant à exploiter l’immunité pourtant déficiente du patient consiste en l’utilisation d’un nouvel anticorps bispécifique anti-CD3 et anti-CD19, le Blinatumonab. Il réoriente n’importe quel lymphocyte T cytotoxique (CD3+) contre les cellules tumorales porteuses de l’antigène cible (CD19 à la surface des lymphoblastes B). Jusqu’à présent, il a été étudié dans le contexte de la maladie résiduelle de LAL-B persistante ou récurrente (MRD+) et dans le contexte de la LAL-B en rechute et réfractaire (R/R). Dans le contexte de la MRD+, le Blinatumomab permet des taux de négativation de l’ordre de 80% avec certains patients présentant une rémission prolongée même sans traitement additionnel. Dans le contexte de la LAL-B R/R, les résultats sont moins spectaculaires avec l’obtention d’une rémission complète dans environ 40% des cas. L’objectif de ce travail est de préciser la place du Blinatumonab, dans l’arsenal thérapeutique de la leucémie lymphoblastique aigue B (LAL-B) en rechute, à travers l’analyse systématique du dossier de patients pris en charge au sein de trois institutions, dont certains ont reçu du Blinatumomab à un moment donné de leur traitement de rattrapage. Pour ce faire, 2 cohortes de patients adultes atteints de LAL-B en rechute ont été analysées. La première cohorte (n=33) comprend tous les cas répertoriés et traités « classiquement » au sein des services d’hématologie du CHU UCL NAMUR (site Godinne), des Cliniques Universitaires Saint Luc et du CHU de Liège (ULg) au cours des 12 dernières années. La deuxième cohorte (n=13) comprend des patients traités par Blinatumomab dans un contexte soit d’une maladie résiduelle positive (MRD+) persistante après rattrapage soit en traitement d’une rechute hématologique. Les courbes de survies sont estimées par la méthode de Kaplan-Meier et comparées par le test du log rank. Résultats : au cours d’une première rechute (n=46) , 22 patients ont été traités par chimiothérapie seule, 6 par une association de chimiothérapie et d’inhibiteurs de tyrosines kinases (ITK), 9 par chimiothérapie suivie par le Blinatumomab, 3 par Blinatumomab seul et 3 ITK seuls. Enfin, trois patients ont bénéficié d’une prise en charge palliative d’emblée. Parmi les 29 patients ayant obtenu une deuxième rémission complète (RC2), 16 ont rechuté. Au cours de cette deuxième rechute, 5 patients ont reçu uniquement de la chimiothérapie, 2 patients ont reçu une association de chimiothérapie et d’ITK, 1 patient a reçu de la chimiothérapie associée au Blinatumomab, 1 patient a reçu Blinatumomab en monothérapie et 3 patients ont reçu des ITK seuls. 5/16 patients ont obtenu une troisième rémission complète (RC3). À noter qu’un patient a été traité par du Blinatumomab pour la première et la deuxième rechute. Cela fait donc un total de 14 rechutes traitées par Blinatumomab (12 premières rechutes et 2 secondes rechutes).Avec la limite d’une population analysée trop petite pour obtenir une puissance statistique suffisante et de l’hétérogénéité de la prise en charge, nous n’avons pas pu mettre en évidence. Un impact significatif du Blinatumomab sur la survie globale (OS) ni sur la survie sans rechute (RFS) depuis la rémission complète. De plus, aucune différence significative ne peut être mise en évidence en termes de survie depuis la greffe en RC2 entre le groupe « Blinatumomab » et le groupe « non Blinatumomab ». Il faut souligner que le Blinatumomab a souvent été instauré en dernier recours, parfois dans des situations de maladie dépassée, et que par ailleurs le suivi moyen des patients ayant bénéficié du Blinatumomab était plus court. Néanmoins, l’analyse au cas par cas permet de dégager une série de situations où le Blinatumomab, grâce à sa puissante activité anti-leucémique et sa faible toxicité intrinsèque a permis au patient de sortir d’une impasse thérapeutique. Sur base des résultats des études cliniques publiées et à la lumière de l’analyse de résultats individuels obtenus dans notre population, nous suggérons que l’utilisation du Blinatumomab a le potentiel non seulement d’améliorer la prise en charge thérapeutique des patients en rechute de LAL-B mais également de diminuer l’incidence de la rechute en améliorant le traitement de première ligne. Les résultats des essais cliniques utilisant le Blinatumomab en première ligne ne sont pas encore disponibles. Espérons qu’ils remplissent leur promesse, comme les ITK l’ont fait dans la LAL Phi+.


Dissertation
The significance of relapse in childhood acute lymphoblastic leukemia.
Authors: ---
Year: 1991 Publisher: Amsterdam Rodopi

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Abstract


Dissertation
Cognitive functioning of children treated for acute lymphoblastic leukaemia with chemotherapy.
Authors: ---
ISBN: 9789036737784 Year: 2009 Publisher: Enschede Gildeprint

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Abstract


Dissertation
Kinetics of human acute lymphoblastic leukemia and anti-leukemic T cell responses studied in NOD/scid mice
Authors: ---
Year: 2004 Publisher: Leiden s.n.

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Abstract


Dissertation
The immunological detection of malignant cells and purging of bone marrow in childhood cancer
Authors: ---
Year: 1989 Publisher: Utrecht Elinkwijk

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Abstract


Dissertation
Neuropsychological late effects of leukemia treatment in children
Author:
ISBN: 9036714443 Year: 2001 Publisher: [S.l.] [s.n.]

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Abstract


Dissertation
Motor performance of children treated for acute lymphoblastic leukemia
Authors: ---
ISBN: 9036712629 Year: 2000 Publisher: Enschede Febodruk


Book
Childhood leukemia : a practical handbook
Authors: ---
ISBN: 3642423701 3642137806 3642137814 1299336175 Year: 2011 Publisher: Berlin : Springer,

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Abstract

This book is a comprehensive and up-to-date compendium on all aspects of childhood acute lymphoblastic and acute myeloid leukemia, which together constitute the most frequent cancer in the pediatric age group. After introductory chapters on the epidemiology and biology of pediatric leukemia, treatment considerations are extensively reviewed, with emphasis on the use of risk-adjusted treatment approaches. Promising targeted agents are discussed, and strategies for the development of new agents are appraised. The late effects of leukemia and its therapy are then considered in depth, with due attention to management of the psychosocial impact of the disease. Finally, global strategies to improve leukemia care and outcome are reviewed, and future directions discussed. The authors are internationally recognized experts and offer a largely evidence-based consensus on etiology, biology, and treatment. This handbook has far-reaching applicability to the clinical diagnosis and management of pediatric leukemia and will prove invaluable to specialists, generalists, and trainees alike.

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