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Prebiotics.

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Prebiotics.

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This book discusses the effect of microbiota on human health and disease. The microbiome is a complex collection of microorganisms. The microbial community differs across body sites, driven by different environmental conditions, immunological factors, and interactions between microbial species. It is now well known that the microbiome interacts with its host, assisting in the bioconversion of nutrients and detoxification, boosting immunity, and protecting against pathogenic microbes. This book addresses such topics as the pathogenesis and role of microbiota in disease, the relationship of the microbiome with obesity, the interactions of gut microbiota and the brain, and the development of functional foods fortified with probiotic microorganisms.

Prebiotics. --- Gastrointestinal system --- Microbiology.

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The use of prebiotics and probiotics has increased a lot in recent years. According to current studies, they have some beneficial health effects on diseases or their symptoms, including diarrhea and atopic dermatitis. These effects are dependent on the strain, the dose and they are even more effective when administered early in the course of the disease or the apparition of the symptom.However, the mechanisms of action of these food supplements are multiple and there aren’t yet fully elucidated. My survey revealed that 6 out of 10 children have already received probiotics and almost half of them received probiotics for the first time before the age of 1year. Their main use is for infectious or antibiotic-associated diarrhea, which corresponds to what is found in the literature. Prebiotics and probiotics are a safe therapeutic choice because they cause few side effects. Therefore, they represent a goof alternative to pharmacological treatments for a number of diseases or symptoms affecting children. However, current studies involve mostly adults. It would be interesting to extend these studies to the field of childhood, which would confirm the indications discussed in this work. L'utilisation de prébiotiques et probiotiques est en augmentation depuis quelques années. Les études actuelles leur attribuent des effets bénéfiques sur la santé pour agir sur certaines maladies ou leurs symptômes, notamment la diarrhée et la dermatite atopique. Ces effets sont dépendants de la souche, de la dose et d'autant plus efficaces qu'ils sont administrés en début d'évolution de la maladie ou d'apparition du symptôme. Toutefois, les mécanismes d'action de ces compléments alimentaires sont multiples et ils ne sont pas encore entièrement élucidés.Mon enquête révèle que 6 enfants sur 10 ont déjà reçu des probiotiques et que près de la moitié d'entre eux en ont reçu pour la première fois avant l'âge de 1 an. Leur utilisation principale se fait pour la diarrhée infectieuse ou associée aux antibiotiques, ce qui correspond à ce que l'on trouve dans la littérature.Les prébiotiques et probiotiques constituent un choix thérapeutique sûr car ils engendrent peu d'effets secondaires. Ils représentent donc une bonne alternative aux traitements pharmacologiques pour un certain nombre de maladies ou symptômes touchant les enfants.Cependant, les études actuelles concernent le plus souvent l'adulte. Il serait intéressant d'étendre ces recherches au domaine de l'enfance, ce qui permettrait de confirmer les indications abordées dans ce travail.

Prebiotics --- Probiotics --- Child

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Ageing, obesity and type 2 diabetes are pathophysiological situations known to modify gut microbiota composition. A nutritional approach likely to modulate the gut microbiota in the context of ageing associated , with overweight could be interested to test, in order to improve the host' s health in our society characterized by nutritional problems linked to ageing.The aim of the experiment is to test the effects of inulin (INU) associated or not with arabinoxylan­ oligosaccharides (AXOS) in 24 month C57Bl/6J old mice fed a high-fat (HF) diet during 8 weeks.High-fat diet increased the body weight of the mice, due to the fat mass but did induce neither inflammation in the liver, the ileum, the colon nor gut barrier alteration. The gut microbiota analysis by q-PCR revealed no changes upon high-fat diet but the Bifidobacteria level was increased with both prebiotics.Regarding glucose and lipid homeostasis, both prebiotics significantly lowered glycemia and slightly decreased total cholesterol level.The prebiotic compounds exerted a positive effect on the gut transit and on the intestine by increasing the jejunum villi length and playing a trophic role on the caecal tissue.Surprisingly, the food and energy intake were higher in the prebiotic groups (INU and INU&AXOS), probably due to an increase of ghrelin and a decrease in GLP-1. The increase in dipeptidyl peptidase 4 (DPPIV) activity in the jejunum might explain the decrease in the GLP- 1 active form in the prebiotic supplemented groups. Despite the higher dietary energy intake, the body weight gain remained lower in prebiotic treated groups than the group fed the high-fat diet only. The decrease in adiposity linked to prebiotics was not linked to any change in the expression of gene controlling fatty acid oxidation in the adipose tissue. Further experiments are needed to confirm and evaluate the mechanism by which prebiotic intervention decreases energy efficiency in aged mice.In conclusion, these results show the beneficial effects of prebiotics on the gut transit in the particular context of ageing. Both prebiotics had a positive impact on glycemia and on the Bifidobacteria level. A decrease of fat mass accretion despite high-fat diet feeding prebiotic fed mice was also an interesting observation, despite the mechanism behind this observation remains unsolved. Le vieillissement, l'obésité et le diabète de type 2 sont des situations physiopathologiques connues pour modifier la composition du microbiote intestinal. Une approche nutritionnelle capable de moduler le microbiote intestinal dans un contexte de vieillissement associé au surpoids pourrait être intéressante à tester, pour améliorer la santé de l'hôte.L’objectif de l'expérience est de tester les effets de l'inuline (INU), associée ou non avec des oligosaccharides d'arabinoxylanes (AXOS), chez des souris C57Bl/6J âgées de 24 mois, nourries ,avec un régime hyperlipidique durant 8 semaines.Le régime hyperlipidique a augmenté le poids corporel des souris, dû à la masse grasse mais n'a pas induit d'inflammation dans le foie, l 'iléon et le côlon. La fonction barrière de l'intestin n'a pas été modifiée. L'analyse du microbiote intestinal par q-PCR n'a révélé aucun changement sous régime hyperlipidique mais le taux de Bifidobactéries a été modulé et augmenté sous traitements prébiotiques.Concernant l'homéostasie glucidique et lipidique, les deux composés ont diminué la glycémie de manière significative et ont modérément diminué le taux de cholestérol total.Les prébiotiques ont exercé un effet positif sur le transit intestinal et sur le tractus gastro-intestinal en augmentant la taille des villosités du jéjunum et en exerçant un effet trophique sur le tissu caecal.La prise énergétique a été plus importante dans les groupes supplémentés, due probablement à une augmentation de ghréline et une diminution de GLP-1. L'augmentation de l'activité de la dipeptiqyl peptidase 4 (DPPIV) dans le jéjunum pourrait expliquer la diminution du GLP-lactif dans les groupes supplémentés en prébiotiques. Cependant, le gain de poids a été plus faible dans ces groupes traités aux prébiotiques que dans celui avec le régime hyperlipidique seul. Nous ne pouvons pas expliquer la diminution de l'adiposité liée aux prébiotiques par des changements dans l'expression des gènes contrôlant l'oxydation des acides gras dans le tissu adipeux, ou la lipogenèse dans le foie. En conclusion, ces résultats montrent les effets bénéfiques des prébiotiques sur le transit intestinal dans le contexte particulier du vieillissement. Les deux prébiotiques ont un impact positif sur la glycémie et sur le niveau des Bifidobactéries ; notons que l'effet de l’administration d'un des prébiotiques seul ou en combinaison est similaire. Une diminution de la masse grasse est observée bien que la modulation de peptides soit en faveur de l'appétit et ait conduit à une augmentation de la prise énergétique. Ceci suggère que le catabolisme puisse être promu par le traitement prébiotique. Reste à déterminer le mécanisme de cet effet.

Prebiotics --- Fasting --- Mice