Listing 1 - 10 of 12 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Political science --- Science politique --- Political sociology --- Political Sociology --- Political sociology. --- Political Sociology - France
Choose an application
Et si c'était la marque qui permettait de mieux comprendre le macronisme? Tout pouvoir est intimement lié au système de représentation sur lequel il se construit: l'un ne va jamais sans l'autre, et la vérité d'un pouvoir est à chercher dans la manière dont il se représente. Comme tant de dirigeants dans l'histoire, Emmanuel Macron a eu l'intuition que le renouveau politique qu'il comptait insuffler devait s'accompagner d'un renouveau symbolique. Mais si sa conquête du pouvoir relève encore aujourd'hui de l'ordre du mystère, si l'exercice et l'incarnation du pouvoir d'Emmanuel Macron échappent tant aux analyses politiques traditionnelles, c'est qu'on s'évertue à interpréter le présent avec des systèmes de représentation du passé. À «nouveau monde», nouvel outil: toute la force de cet ouvrage est de penser la marque comme nouvelle forme de représentation du pouvoir, en montrant que la marque politique est la grille de lecture qu'il manquait pour comprendre la force d'entraînement initiale du macronisme… et son dérèglement progressif.
Choose an application
« Il faut une science politique nouvelle à un monde tout nouveau », écrivait Alexis de Tocqueville découvrant la démocratie américaine. De considérables changements ne travaillent-ils pas aujourd'hui de la même manière le système politique français ? Réformes néolibérales, érosion d'un État traditionnellement « fort », recompositions des savoirs experts, fin du cumul des mandats, féminisation du champ politique, transformation de l'espace public du fait des réseaux sociaux, avènement du macronisme, recours au dispositif des primaires, formes inédites de mobilisation populaire (Nuit Debout, Gilets Jaunes)... Ces phénomènes nouveaux viennent interroger les acquis routinisés de la sociologie politique classique. Telle est l'ambition de cette Nouvelle sociologie politique de la France qui, en articulant les outils théoriques des différentes approches sociologiques à l'actualité la plus récente, permet de saisir la singularité française et d'interroger l'avenir de notre démocratie.
Choose an application
L'élection présidentielle est le seul scrutin qui mobilise encore fortement les Français. Pierre Bréchon, politologue spécialiste des comportements électoraux, nous donne les clés pour en comprendre les enjeux. Après avoir analysé les logiques de notre système politique, il présente l'histoire des différentes élections depuis le début de la Ve République : qui étaient les candidats ? Sur quels enjeux politiques se sont-ils affrontés ? Avec quels résultats ? Il analyse ensuite les campagnes électorales, l'évolution de la médiatisation des candidats, le développement des sondages d'opinion et des enquêtes électorales. Il montre ainsi les modifications des comportements électoraux et les logiques de l'électeur. Avec ce point complet, Pierre Bréchon brosse un panorama de l'élection préférée des Français qui éclaire singulièrement l'actualité de notre démocratie.
Presidents - France - Election --- Political campaigns - France --- Voting - France --- Political sociology - France --- France - Politics and government - 1958 --- -Presidents --- Political campaigns --- Voting --- Political sociology --- France
Choose an application
L’œuvre de Michel Dobry apparaît comme une des plus singulières et fécondes dans l’univers de la science politique contemporaine. Les réflexions tirées de Sociologie des crises politiques, récemment réédité, sont soumises ici à des épreuves empiriques et des questions théoriques renouvelées. Les hypothèses et méthodes proposées dans le livre de 1986 y résistent bien : elles permettent de saisir les logiques des basculements historiques, de ces moments où les repères ordinaires s’effondrent et où la légitimité des dirigeants s’épuise brutalement. Et parce que cette sociologie nous engage à saisir l’effectuation même de ces processus d’écroulement, sans postuler qu’ils doivent tout à des causes lointaines, sans faire du résultat des crises le moteur de leur déroulement, elle est un des remèdes efficaces contre ces lectures étiologiques et rétrospectives qui encombrent l’histoire des révolutions. D’autres points sont soumis à la question : comment la sociologie des crises s’accommode-t-elle d’une sociologie de l’habitus avec qui elle entend cohabiter, ou encore comment intègre-t-elle l’historicité des sciences sociales : est-on voué à penser la crise sur le mode de la contingence ou faut-il viser une épistémologie à prétention nomologique souvent laissée aux seules sciences dures ? Nul doute qu’il y a là des interrogations qui traversent les sciences sociales contemporaines et auxquelles un entretien avec Michel Dobry, publié en fin de volume, apporte quelques réponses.
Political sociology - France - History - 20th century --- Political sociology - France - History - 21st century --- Political science - France - History - 20th century --- Political science - France - History - 21st century --- Dobry, Michel --- Dobry, Michel. - Sociologie des crises politiques --- Crises politiques. --- Crise (philosophie) --- Problèmes sociaux. --- Sociologie politique --- Problèmes sociaux. --- Political Science --- politique --- sociologie --- Dobry --- Political sociology --- Political science
Choose an application
Les big data sont devenus un impératif pour mener une campagne électorale. La campagne pour l'élection présidentielle française de 2017 a été marquée par le rôle majeur joué par des plateformes de gestion et d'analyse des données massives, telles que NationBuilder ou 50+1. Qu'est ce que change le recours au big data électoral dans les manières de faire campagne ? Introduit-il des pratiques "innovantes" pour mobiliser les électeurs ? Voit-on apparaître de "nouvelles" formes de militantisme ? Comment sont construits les algorithmes prédictifs ? Sommes-nous réellement fichés sur Internet ? Comment protéger ses données personnelles ? L'auteure interroge l'efficacité de ces techniques en mettant au jour les enjeux économiques, la construction de croyances autour des big data et les jeux d'influence internationaux...
Internet in political campaigns --- Internet --- Communication in politics --- Political Sociology --- History --- Political aspects --- Elections --- Internet in political campaigns - France - History - 21st century --- Internet - Political aspects - France --- Communication in politics - France - History - 21st century --- Political Sociology - France
Choose an application
Depuis que Marine Le Pen a été élue à sa présidence en 2011, jamais le Front national n'a réalisé de tels scores électoraux, attiré tant de militants, compté tant d'élus. A-t-il changé pour autant ? Fondamentalement, non. Le «nouveau» FN est une illusion, entretenue par des médias qu’il fascine. Telle est la conclusion de la minutieuse enquête menée par les auteurs de ce livre, qui comparent l’électorat, les militants, les réseaux, les programmes et la rhétorique du père et de la fille. Si la nouvelle présidente a infléchi son discours, notamment sur l’antisémitisme, si son programme inclut des éléments empruntés à la gauche (questions économiques, laïcité, mœurs), son fonds de commerce principal reste l’immigration. Elle gagne des voix dans des catégories jusqu’ici réticentes (femmes, juifs…), mais les grands traits de l’électorat frontiste et son implantation géographique n’ont pas varié. Le FN reste un parti «anti-système», tant par les valeurs inégalitaires qu’il défend que par son refus du pluralisme. Un positionnement qui explique en partie son succès, tout en le condamnant, pour l’heure, à l’isolement politique. La normalisation du FN est donc loin d’être achevée, malgré la stratégie de «dédiabolisation» affichée. Il n’est toujours pas un parti «comme les autres», pas plus qu’il n’est encore «le premier parti de France» ou «aux portes du pouvoir»
Right-wing extremists --- Political Sociology --- Le Pen, Marine --- Front national (France : 1972-) --- France --- Politics and government --- Political sociology --- Extrémistes de droite --- Sociologie politique --- Le Pen, Marine. --- Front national (France : 1972- ) --- Politique et gouvernement --- Right-wing extremists - France --- Political Sociology - France --- France - Politics and government - 21st century
Choose an application
La montée de l’abstention, celle des partis d’extrême droite, l’émergence d’une consommation engagée ou de formes de mobilisation des minorités ethniques, la place de l’identité nationale, le rôle des associations dans la vie démocratique... la sociologie politique se trouve au défi d’expliquer le maintien ou les transformations des formes de politisation. Ce défi, Nonna Mayer l’a relevé tout au long de sa carrière, en alliant ouverture intellectuelle et rigueur méthodologique. Hommage à la sociologie politique plurielle que cette pionnière de la survey research expérimentale à la française a pratiquée et soutenue, l’ouvrage dresse un état des lieux des recherches et des controverses qui animent aujourd’hui ce champ de la science politique. Il compose ainsi une introduction à l’analyse des comportements politiques.
Voting --- Elections --- Political Sociology --- Political participation --- Voting research --- Mayer, Nonna --- Political sociology --- History. --- Social aspects --- Right and left (Political science) --- Participation politique --- Vote --- Sociologie politique --- Extrême droite --- Aspect social --- Front national (France : 1972- ) --- Voting - France --- Elections - France --- Political Sociology - France --- Political participation - France --- Voting research - France
Choose an application
Quelle relation lie un élu à son parti ? Le parti politique fait-il le député ? Cet ouvrage analyse la dépendance des députés français au parti. Cette notion peut paraître triviale tant le destin des élus en France semble lié à leur parti. Elle constitue cependant un enjeu central du fonctionnement d'une démocratie représentative, dès lors que les partis tendent à monopoliser l’accès à la représentation élective et occupent une place déterminante dans l’organisation du travail parlementaire, dont la nature et les variations ont été peu explorées jusqu’à présent. En adhérant à un parti, le député accepte de limiter sa liberté contre une forme de protection. Cependant, dépendance au parti n’est pas synonyme de passivité : les députés, même en situation de contrainte, s’adaptent et sont capables d’intégrer les règles du jeu politique et de les utiliser. Il est essentiel d’analyser ce levier partisan, qui peut déclencher chez les élus des loyautés ou des infidélités, pour comprendre le fonctionnement de l’Assemblée nationale et pour saisir ce qui constitue l’un des déterminants principaux du comportement parlementaire. Aujourd’hui comme hier, les carrières politiques ne peuvent être envisagées que par des personnes maîtrisant les règles du jeu partisan et bénéficiant des ressources d’un parti. Dans une sorte de pacte faustien, les élus se voient offrir par les partis des carrières politiques au long cours, qui ont pour prix une dépendance à laquelle peu d’entre eux échappent."
Political parties --- Legislators --- Attitudes. --- France. --- Parti socialiste (France) --- UMP (Political party) --- France --- Politics and government --- Political Sociology --- History --- Politics and governement --- Legislators - France - Attitudes. --- Political Sociology - France. --- Political parties - France - History - 21st century. --- France - Politics and governement - 2007-2012. --- France - Politics and government - 2012-2017.
Choose an application
Michel Offerlé pose la question, plus complexe qu'il n'y paraît, de ce qu'un patron peut faire. De quelle manière les chefs d'entreprise contribuent-ils, par leurs pratiques économiques et politiques, à la pérennisation et à la transformation d'un système qu'ils habitent et qu'ils servent ? Il est question ici des patrons dans toutes les acceptions du terme (les petits, les grands, les moyens, les hauts), les artisans, les chefs d'entreprise, les entrepreneurs, les managers, les dirigeants. Il est question ici de politique dans tous les sens du terme. Car les patrons, directement ou indirectement, interviennent en politique : ils contribuent à la construction des problèmes publics, concourent à la "vie de la Cité", votent, agissent par leurs défections et par leurs mobilisations - feutrées ou sonores -, ou imaginent d'autres manières de produire ou de diriger (l'"entrepreneuriat engagé") ; voire, pour certains d'entre eux, participent à la conquête et à l'exercice du pouvoir avec leur culture de "manager". Pour comprendre ce qu'un patron peut faire, ce qu'il peut faire faire ou peut laisser faire, voire ce qu'il ne veut pas faire, Michel Offerlé s'est appuyé sur plusieurs centaines d'entretiens réalisés en atelier de recherche ces dix dernières années et sur soixante-dix entretiens originaux qui ont toujours porté sur le parcours biographique de l'interviewé, la direction de son entreprise, son rapport à la politique et aux hommes politiques et ses pratiques de l'engagement. A partir de cet éclairage original l'auteur met aussi en perspective les stratégies patronales durant l'actuelle pandémie.
Political Sociology --- Executives --- Social responsibility of business --- Business and politics --- Political activity --- Political aspects --- Chefs d'entreprise --- Entrepreneuriat --- Sociologie politique --- chef d'entreprise --- création d'entreprise --- sociologie politique --- Political sociology --- Political Sociology - France --- Executives - Political activity - France --- Social responsibility of business - Political aspects - France --- Business and politics - France
Listing 1 - 10 of 12 | << page >> |
Sort by
|