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Les philosophies de l'Antiquité grecque assurent que le monde est un. De ce monde, la terre est le centre et l'homme, supérieur aux autres vivants, y tient la meilleure place. Nulle question de pluralité des mondes, sinon pour quelques philosophes très peu orthodoxes et que l'on brûle. Le désir d'autres mondes se fait jour alors par des voies détournées, par exemple en évoquant l'existence de mondes possibles… De quelle sorte sont ces mondes possibles, où les trouver et sont-ils habitables ? Telle est la question à laquelle tente de répondre cet ouvrage. Après avoir exploré la possibilité que l'art « ouvre un monde », selon la formule consacrée, ou que le cybermonde soit réellement un autre monde, l'auteur en vient à poser l'hypothèse, non seulement de l'existence, mais de la réalité des mondes possibles et envisage les conséquences pratiques d'une telle proposition.
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Que pouvons-nous attendre de la philosophie dans ses tentatives pour éclairer l'existence humaine ? L'auteur ouvre un débat pour tenter de sortir des dilemmes et des impasses de l'éthique libérale courante en montrant que la sphère des phénomènes moraux est avant tout celle de l'intériorité et du rapport à soi-même. S'affranchissant des conceptions sociales de l'éthique, il assume clairement une position individualiste. Mais qu'est-ce qu'un individu ? Certainement pas un atome égoïste mû, comme souvent aujourd'hui, par se seuls intérêts, mais un être capable de s'affirmer auteur de soi-même.
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Le sens de la distinction entre chose et personne est devenu aujourd'hui plus obscur. Le terme de personne est suremployé ce qui rend urgent une analyse pour lui redonner la dignité d'un concept fort. Il s'agit de lier une méthode historique sur la généalogie du concept et une analyse philosophique qui fait avancer la compréhension du sens d'être de la personne, en évitant le relativisme historiciste, qui demeure aveugle au concept et une téléologie trop dure, qui fait du concept kantien et juridique de personne une mesure absolue.
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Loin d'avoir disparu, la haine des Juifs est entrée dans un nouveau régime en se fixant sur Israël, cible d'une guerre médiatique de haute intensité. L'antisionisme radical, dont l'objectif est la destruction de l'État juif, représente en effet la dernière figure historique prise par la judéophobie. À ce titre, négatrice du droit à l'existence d'une nation, elle constitue l'une des principales formes contemporaines du racisme. Pour comprendre comment s'est accomplie la mondialisation de cette nouvelle configuration antijuive, l'auteur dissèque le nouveau discours de propagande des ennemis déclarés d'Israël tel qu'il s'est développé au cours des années 2000-2010. La nouvelle vision antijuive, qui consiste à « nazifier » les « sionistes » en tant qu'« agresseurs » et à « judaïser » corrélativement les Palestiniens en tant que « victimes », permet d'accuser les « sionistes » de « génocide » ou de « palestinocide ». Ce discours de propagande est replacé dans son contexte international, marqué par une menace islamiste centrée sur l'appel au jihad contre les Juifs. Analysant divers matériaux symboliques exploités par la nouvelle propagande antijuive — images ou discours —, P.-A. Taguieff donne à comprendre comment et pourquoi la haine des Juifs, plus d'un demi-siècle après la Shoah, a pu renaître sous les habits neufs de l'« antiracisme » et de l'« anticolonialisme » et, grâce aux médias, se diffuser en recueillant l'assentiment d'individus parfois convaincus d'être étrangers à tout préjugé antijuif.
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