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Organ Transplantation --- Organ Transplantation --- instrumentation. --- methods.
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The aim of this work is to review the definitions of tolerance, the current knowledge regarding its immunological mechanisms, and the candidate assays proposed for immunological monitoring of alloreactivity in clinical liver transplantation. When compared to other solid-organ transplant, liver allografts are considered as immunologically privileged, and, accordingly, constitute a favourable setting to develop experimental as well as clinical strategies for minimization of immunosuppression and even induction of operational tolerance. However, the ways of investigation to achieve these latter aims are controversial, considering the redundancy of rejection pathways and the diversity of immunological mechanisms described in experimental models of tolerance. In contrast to research in rodents claiming the development of donor-specific tolerance in case of graft survivals of over 100 days, it is impractical to confirm tolerance assays in the clinic, such markers are still not validated in human transplantation. Encouraging venues of research include the detection of early post-transplant immune deviation, of circulating precursors of dendritic cells subtypes, and of circulating clinical liver transplantation is also proposed
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Ayant travaillé une année dans un service de soins intensifs spécialisé en chirurgie cardiothoracique et en transplantation cardiaque, et travaillant actuellement dans une unité de soins intensifs spécialisés en neurotraumatologie et toxicologie, j’ai été souvent confrontée au lourd problème que posent l’annonce de la mort encéphalique et la demande d’un don d’organe.
Aujourd’hui, grâce à une meilleure connaissance des aspects immunologiques et à la découverte de médicaments « anti-rejet », d’une part, ainsi qu’à l’expérience croissante des équipes médico-chirurgicales, d’autre part, la transplantation d’organes et la greffe de tissus sont devenues les modalités thérapeutiques de choix pour un grand nombre d’affections chroniques irréversibles et arrivées en phase terminale dans le domaine rénal, cardiaque et hépatique. De plus, des études longitudinales menées auprès de patients transplantés ont permis la mise en évidence de l’amélioration de la qualité de vie de la plupart d’entre eux, et souvent même une reprise de leur activité professionnelle ainsi qu’une réinsertion socio-familiale (Commission d’Ethique Biomédicale Hospitalo-facultaire 1998).
Au début des années 60, les prélèvements d’organes (essentiellement de reins, puis de foies) étaient effectués après le décès prononcé sur la base d’un arrêt cardio-respiratoire irréversible permettant de fonder le diagnostic de la mort. Les résultats de la transplantation étaient cependant alors médiocres en raison de l’altération de la qualité des organes liés à l’ischémie chaude prolongée. A cette même époque, les progrès de la médecine intensive, liés en partie à la généralisation de la ventilation artificielle, ont confronté les médecins à une situation nouvelle : celle du « coma dépassé ». Ces patients comateux étaient maintenus pour un temps en survie artificielle alors que la destruction extensive de leur système nerveux central avait irrémédiablement compromis leur survie. Les réanimateurs et les neurologues des écoles de Paris et de Boston ont alors progressivement développé le concept de « mort cérébrale », lequel vise une destruction complète de l’encéphale et du tronc cérébral. Les critères cliniques et éléctrophysiologiques du diagnostic de la mort cérébrale furent ensuite définis, permettant aux réanimateurs d’interrompre le maintien en survie artificielle. Secondairement, les transplanteurs ont pu prélever des organes chez des patients en état de mort cérébrale mais à cœur battant, et dont la qualité des organes allait permettre un réel progrès en matière de greffe.
La définition de la mort de la personne sur base de la mort cérébrale et le prélèvement d’organes chez des personnes en mort cérébrale et à cœur battant se sont progressivement généralisés dans le monde occidental.
Cette thérapeutique révolutionnaire est cependant, depuis quelques années, victime de son propre succès. La première étape à toute transplantation est en effet le don d’organes. Et le manque sans cesse croissant d’organes à greffer constitue actuellement le seul frein à la transplantation. Ceci est d’autant plus malheureux lorsqu’on sait que 20 à 30% des malades en attente d’une greffe meurent avant d’avoir pu être greffés et que, d’autre part, encore beaucoup de personnes décèdent à l’hôpital en état de mort encéphalique sans que l’option du don d’organes n’ait même été envisagée.
Il est tout aussi frappant de constater combien l’information donné au public quant au don d’organes demeure lacunaire et insatisfaisante au regard d’autres problématiques pouvant parfois paraître moins « existentielles ». Comme le démontrent la littérature et les médias, l’opinion publique dans les pays occidentaux est largement réticente vis-à-vis de la greffe d’organes (R. Waissman 1996). L’impact de certains événements sur l’opinion publique a signé les limites de la confiance que celle-ci accorde aux médecins en général et à ceux qui pratiquent les techniques médicales de pointe en particulier.
Dans ce contexte de méfiance, la question sera de savoir quelles sont actuellement les raisons qui conduisent les « personnes » à accepter ou à refuser le don d’organes dans le contexte de l’annonce de la mort cérébrales.
C’est dans ce sens que s’oriente la présente étude. Nous nous proposerons, dans un premier temps, de procéder à une analyse préliminaire du cadre dans lequel s’est inscrite notre recherche, à savoir à la définition réservée à la notion de « mort cérébrale », les règles juridiques encadrant la situation des patients décédés et le don d’organes, ainsi que la situation actuelle du don en Belgique (1ère partie – Approche théorique). Nous nous attarderons ensuite, et toujours dans cette première partie, sur la littérature ayant mis en exergue les facteurs d’acceptation ou de refus du don d’organes chez des patients en état de mort encéphalique. Dans un second temps, nous procéderons à une analyse méthodologique (2ème partie – Approche méthodologique) avant de nous attarder à l’analyse de l’ensemble des résultats obtenus à l’issue d’une enquête effectuée sur questionnaire (3ème partie – Approche pratique). L’étude se terminera, enfin, par une discussion et une conclusion générale.
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