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Nihilism (Philosophy). --- Nihilism (Philosophy). --- Nihilism. --- Nihilism.
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A groundbreaking classic of contemporary philosophy for the first time in English translation. Between 1961 and 1970, Emanuele Severino was subjected to a thorough investigation by the Vatican Inquisition. The “fundamental incompatibility” identified between his thought and Christian doctrine ejected him from his position as Professor of Philosophy at the Catholic University in Milan. The Essence of Nihilism, published in 1972, was the first book to follow his expulsion, and it established Severino’s preeminent position within the the constellation of contemporary philosophy. In this groundbreaking and classic book—now for the first time available in English—Severino reinterprets the history of Western philosophy as the unfolding of “the greatest folly,” that is, of the belief that “things come out of nothing and fall back into nothing.” According to Severino, such a typically Western understanding of reality has resulted in a conviction that there is a radical “nothingness” to existence. In turn, this justifies the treatment of the world as an object of exploitation, degradation and destruction. To move beyond Western nihilism, suggests Severino, we must first of all “return to Parmenides.” Joining forces with the most venerable of Greek philosophers, Severino confutes nihilism’s “path of night”, and develops a new philosophy grounded on the principle of the eternity of reality and of every single existent thing.
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Nihilism (Philosophy) --- Nihilism --- History.
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Christianity --- Nihilism
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Ajouté en 1887 aux quatre livres déjà publiés en 1882, le cinquième livre du Gai Savoir s'intitule Nous qui sommes sans crainte. De quelle peur Nietzsche s'est-il donc libéré ? Notamment de celle qui terrassa l'Insensé du paragraphe cent vingt-cinq, à l'annonce de la mort de Dieu et à l'impératif d'en prendre la mesure. Si la chute de l'Idole signifie la victoire de l'athéisme, alors un nouveau danger non moins redoutable se profile, celui du nihilisme.De telle sorte que la fin du culte de ce qui demeure se solderait par l'imperium de l'Instant. Voilà pourquoi Nietzsche fait valoir les conséquences délétères de la politique contemporaine pour la culture, à l'heure où l'art ne prend plus racine dans le temps long des cristallisations symboliques, mais s'éparpille sous la pression d'une époque histrionique qui ne sait plus à quel saint se vouer. Face à la déshérence nihiliste où le dernier des hommes occupe désormais la place du Dieu mort, le héros nietzschéen affirme le surhumain et l'éternel retour ; surhumain est celui qui, délivré de la peur de soi-même et des autres, de la mort et du regard divin, s'élance vers les contrées hyperboréennes.
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« Les promesses de Mai n'ont pas été tenues. La révolution politique n'a pas eu lieu, quelles qu'aient pu être ses formes. En revanche la révolution métaphysique a eu lieu, elle a été libertaire. Le meilleur fut la fin d'un monde tout entier construit sur la hiérarchie qui, étymologiquement, suppose le pouvoir du sacré. Le patriarcat associé au monothéisme chrétien avait fait son temps.Pour autant, la fin des valeurs judéo-chrétiennes n'a pas été suivie par l'avènement de nouvelles valeurs postchrétiennes. Dès lors, l'abolition de la domination du supérieur par l'inférieur a accompagné une transvaluation des valeurs de sorte que l'inférieur s'est mis à dominer le supérieur. »Après une longue introduction sur la construction du nihilisme, Michel Onfray s'arrête longuement sur trois figures : Vladimir Jankélévitch, Mikel Dufrenne et « l'affirmation joyeuse », enfin Robert Misrahi et « les actes de la joie ». Avant de conclure sur la vie philosophique…
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