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Book
Les séquelles.
Author:
ISBN: 0773598413 9780773598416 9780773598423 0773598421 9780773546684 Year: 2015 Publisher: Montreal [Québec] Kingston [Ontario]

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Abstract

Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : Les séquelles décrit ce que le Canada doit faire s’il veut surmonter les séquelles tragiques de l’existence des pensionnats et prendre la voie de la réconciliation avec les premiers peuples du pays. Pendant plus de 125 ans, les enfants autochtones ont souffert de mauvais traitements et de négligence dans des pensionnats dirigés par le gouvernement du Canada et les autorités religieuses. Arrachés à leur famille et leur communauté respective, ils ont été enfermés dans d’immenses établissements, un cadre effrayant où ils étaient déconnectés de leur culture et punis lorsqu’ils parlaient leur langue maternelle. Des maladies infectieuses ont coûté la vie à de nombreux élèves et ceux qui ont survécu l’ont fait dans des conditions pénibles et débilitantes. Dans la plupart des pensionnats du Canada, la compassion et l’éducation étaient des denrées rares. Bien que le Canada ait présenté des excuses officielles pour le système de pensionnats et dédommagé ses survivants, les séquelles dommageables de ces établissements sont encore perceptibles aujourd’hui. Ce volume porte sur l’ombre projetée par les pensionnats sur l’existence des Canadiens autochtones, plus susceptibles que le reste de la population canadienne de vivre dans la pauvreté, d’être en mauvaise santé et de mourir plus jeunes, plus susceptibles aussi de se faire retirer leurs enfants et de connaître la vie en prison. C’est aussi dans les pensionnats que résident les causes de la disparition de nombreuses langues autochtones et de l’érosion des traditions culturelles.


Book
L'histoire.
Authors: ---
ISBN: 0773598332 9780773598331 9780773598348 0773598340 9780773546646 Year: 2015 Publisher: Montreal [Québec] ; Kingston [Ontario] : Ottawa, Ontario : Publié pour la Commission de vérité et réconciliation du Canada par McGill-Queen's University Press, Canadian Electronic Library,

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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’histoire, partie 2, de 1939 à 2000 porte sur le système de pensionnats du Canada depuis la fin de la Grande Dépression jusqu’à la fermeture du tout dernier établissement, à la fin des années 1990. Ce volume montre que le sous-financement et les conditions de vie précaires caractérisant les premières années d’existence des pensionnats ont perduré alors même que la plupart des Canadiens jouissaient d’une période de prospérité et de croissance sans précédent. En raison d’un programme de financement des plus maigres, les repas servis dans les pensionnats de la fin des années 1950 étaient loin de satisfaire aux Règles alimentaires du Canada. La surpopulation, les mauvaises conditions sanitaires et le défaut de respecter les règles de sécurité incendie étaient des problèmes courants pendant cette période. Tandis que les autorités gouvernementales en étaient venues à considérer les pensionnats comme étant coûteux et inefficaces, les Églises, elles, étaient réticentes à autoriser leur fermeture. Ce n’est qu’à la fin des années 1960 que le gouvernement fédéral finit par livrer bataille aux autorités religieuses pour leur arracher le contrôle de ce système. Souhaitant confier l’éducation des Premières Nations aux provinces, le gouvernement se heurta à l’opposition des organismes autochtones, qui demandaient « la maîtrise indienne de l’éducation indienne ». Après l’occupation d’un pensionnat albertain par des parents, un bon nombre d’établissements résistants passa sous administration autochtone. Le processus de fermeture des pensionnats coïncida avec un nombre grandissant de condamnations d’anciens membres du personnel pour agression sexuelle contre des élèves. Ces procès ont révélé toute l’ampleur du camouflage des sévices sexuels qui ont été infligés dans ces institutions. D’anciens élèves, qui se sont nommés les Survivants, ont mis sur pied des organismes nationaux et régionaux et ont été, en grande partie, le fer de lance de la campagne qui a mené le gouvernement fédéral à présenter des excuses en 2008 aux anciens pensionnaires et à leurs familles.


Book
Pensionnats du Canada
Author:
ISBN: 0773598367 0773598359 9780773598355 9780773598393 0773598391 9780773546639 0773546634 9780773546646 0773546642 9780773546653 0773546650 9780773546660 0773546669 9780773546677 0773546677 9780773546684 0773546685 9780773546691 0773546693 0773598316 0773598375 0773598332 9780773598317 9780773598324 0773598324 9780773598379 9780773598386 0773598383 9780773598409 0773598405 Year: 2016 Publisher: Montreal

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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : L’expérience métisse rend compte de la longueur et de la complexité de l’expérience des Métis dans les pensionnats du Canada. Celle-ci ne met pas seulement en cause le gouvernement fédéral et les autorités religieuses, mais aussi les administrations provinciales et territoriales. Les Églises souhaitant convertir autant d’enfants autochtones que possible, elles ne s’opposèrent pas à l’admission d’enfants métis. À Saint-Paul-des-Métis, en Alberta, les missionnaires catholiques romains fondèrent au début du XXe siècle un pensionnat sur mesure pour ces enfants, tandis que les anglicans établissaient des foyers pour ceux du Yukon dans les années 1920 et 1950. La politique du gouvernement fédéral sur l’éducation des enfants métis était constamment redéfinie. À certains moments, le gouvernement considérait que les Métis faisaient partie de « classes dangereuses » que les pensionnats allaient civiliser et assimiler. Cette vision a mené à divers moments à l’adoption de politiques permettant l’admission de ces enfants. Toutefois, sur le plan de la juridiction, le gouvernement fédéral croyait que la responsabilité d’éduquer et d’assimiler les Métis revenait aux gouvernements provinciaux et territoriaux. Lorsque cette vision avait cours, les agents des Indiens avaient souvent l’ordre de retirer les enfants métis des pensionnats. Comme les gouvernements provinciaux et territoriaux hésitaient à fournir des services à cette communauté, de nombreux parents métis souhaitant faire instruire leurs enfants dans une école n’avaient d’autre option que de tenter de les faire admettre dans un pensionnat. Lorsque les gouvernements provinciaux ont commencé à fournir davantage de services d’éducation aux élèves métis après la Deuxième Guerre mondiale, bon nombre de ces enfants vivaient dans des foyers ou des pensionnats dirigés ou financés par ces mêmes gouvernements. Il reste beaucoup à faire pour déterminer l’impact que ces établissements ont eu sur les enfants métis, leur famille et leurs communautés, et pour corriger la situation.

Keywords

Inuit --- Innuit --- Inupik --- Eskimos --- Residential schools. --- Education. --- Government relations. --- Social conditions. --- History. --- Indigenous children --- Native children --- Aboriginal children --- Children --- Métis --- Indians of North America --- Indigenous peoples --- Education --- Mixed descent --- Native peoples --- Aboriginal education --- Aboriginal schools --- Aboriginal schooling --- Native education --- Native schools --- Native schooling --- Native students --- Native college students --- Native residential schools --- Indigenous residential schools --- Residential school education, Native --- Residential school education, Aboriginal --- Residential school education, Indigenous --- Aboriginal residential schools --- Residential schools, Native --- Residential schools, Aboriginal --- Residential schools, Indigenous --- Native residential school education --- Aboriginal residential school education --- Indigenous residential school education --- Native residential school system --- Aboriginal residential school system --- Indigenous residential school system --- Residential school system, Native --- Residential school system, Aboriginal --- Residential school system, Indigenous --- Native boarding schools --- Aboriginal boarding schools --- Indigenous boarding schools --- Boarding schools, Native --- Boarding schools, Aboriginal --- Boarding schools, Indigenous --- Schools --- American aborigines --- American Indians --- First Nations (North America) --- Indians of the United States --- Native Americans --- North American Indians --- Residential schools --- Culture --- Ethnology


Book
La réconciliation.
Author:
ISBN: 077359843X 9780773598430 9780773598447 0773598448 9780773546691 Year: 2015 Publisher: Montreal [Québec] Kingston [Ontario]

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Entre 1867 et 2000, le gouvernement canadien a placé plus de 150 000 enfants autochtones dans des pensionnats d’un bout à l’autre du pays. Les autorités gouvernementales et les missionnaires étaient d’avis qu’afin de « civiliser et de christianiser » les enfants autochtones, il fallait les éloigner de leurs parents et de leur communauté d’origine respective. La vie de ces enfants au pensionnat était empreinte de solitude et d’exclusion. La discipline y était stricte et le déroulement du "idien, lui, fortement régenté. Les langues et les cultures autochtones étaient dénigrées et réprimées. L’éducation et la formation technique prenaient trop souvent la forme de corvées et de tâches ménagères assurant l’autonomie des pensionnats. La négligence à l’égard des enfants fut institutionnalisée et le manque de supervision donna lieu à des situations où les élèves furent victimes de sévices physiques et sexuels. Une poursuite judiciaire déposée par les anciens pensionnaires a mené, en 2008, à la mise sur pied de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Étant l’aboutissement de plus de six ans de recherche, le rapport final de la Commission présente l’histoire des pensionnats ainsi que leur héritage, et trace la voie de la réconciliation. Pensionnats du Canada : La réconciliation documente la complexité de la réconciliation en présentant les constatations tirées des témoignages des survivants des pensionnats et d’autres participants aux activités et aux audiences de la Commission. Pour de nombreux Autochtones, la réconciliation passe par l’apaisement des familles et des collectivités, et par la revitalisation des cultures, des langues, de la spiritualité, des lois et des systèmes de gouvernance. Pour les gouvernements, l’institution d’une relation respectueuse suppose le démantèlement d’une culture politique et bureaucratique séculaire s’appuyant, trop souvent, sur des notions d’assimilation dépassées. Quant aux Églises, un engagement à long terme envers la réconciliation passe par la réparation des actes dévastateurs commis dans les pensionnats, le respect de la spiritualité des Autochtones et le soutien à leur lutte pour obtenir justice et équité. Les écoles doivent enseigner l’histoire canadienne en favorisant le respect mutuel, l’empathie et le dialogue. Les jeunes doivent savoir ce qui s’est passé dans les pensionnats et connaître la riche histoire et les connaissances collectives des peuples autochtones. Ce volume fait aussi ressortir le rôle de la mémoire, de la société canadienne, du secteur privé et des organismes à but non lucratif certes, mais aussi des médias et de la communauté sportive, dans le processus de réconciliation. La Commission presse le Canada d’adopter la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones en vue de mener à bien la réconciliation. Victimes de violence et de discrimination, les peuples autochtones ont pourtant des droits conférés à chacun en plus des droits issus de traités, et ces derniers ont un rôle crucial à jouer dans la réconciliation. Tous les Canadiens doivent comprendre en quoi les approches traditionnelles de la résolution de conflits, la réparation des préjudices et la restauration des relations des Premières Nations, des Inuits et des Métis peuvent orienter le processus. Les appels à l’action de la Commission établissent des mesures concrètes à prendre pour que nos descendants puissent vivre ensemble dans la dignité, la paix et la prospérité, sur ces terres désormais communes.

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