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Cette étude s’attache à caractériser l’acte de modeler un film – au sens où l’on parle de modeler l’argile –, ses conditions, ses moyens, les questions de création qui sont alors impliquées. Cet acte répond à trois ordres de difficultés que certains réalisateurs rencontrent dans leur travail : modelage des obstacles visuels (l’eau, la fumée) ; modelage des visages des actrices – il convient de stabiliser la plastique du visage – cela est illustré par les films de Bergman et de Skolimowski ; modelage des corps afin de faire apparaître leur pesanteur, entre chute et suspension – cela est illustré par John Ford et Alfred Hitchcock ; modelage des visages et du film afin de marquer le passage du temps – cela est illustré par l’actrice Vera Miles dans Le faux coupable de Hitchcock et par Le Songe de la lumière de Victor Erice.
Motion pictures --- Semiotics and motion pictures --- Cinéma --- Sémiotique et cinéma --- Technique --- Aesthetics --- Esthétique --- Cinéma --- Sémiotique et cinéma --- Esthétique --- Human body in motion pictures --- Technique. --- Motion pictures - Aesthetics --- Motion pictures - Technique
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On ne peut pas aimer le cinéma sans vouloir en comprendre le langage. C'est le projet de cet ouvrage qui démonte bien des idées reçues. Ainsi, ce ne sont pas les frères Lumière qui ont inventé le cinéma, c'est l'Américain Thomas Edison, dont le collaborateur Laurie Dickson tourne le premier film en 1891. En moins d'une génération, les cinéastes primitifs vont créer pas à pas un langage spécifique qui permettra à leurs films d'être vus et compris par les spectateurs du monde entier. Et si la naissance des six premiers arts majeurs se perd dans la nuit des temps, nous possédons en revanche tous les jalons de l'élaboration du langage du cinéma. Aujourd'hui, c'est le même langage qui est utilisé, l'arrivée du parlant ne l'a nullement périmé, et pas davantage les autres avancées techniques. Les cinéastes actuels emploient de la même façon que Georges Méliès l'arrêt de caméra et la surimpression. Tels les cinéastes anglais de Brighton, ils ont recours au hors-champ et au plan subjectif. Ils pratiquent l'image par image à l'exemple du Français Emile Reynaud. De même qu'ils se servent des actions parallèles à la manière de David W. Griffith... Sont identifiés ici les " points de grammaire " dont les combinaisons multiples donnent les innombrables figures de style qui caractérisent le talent de chaque cinéaste. Cet ouvrage est composé de deux parties. La première retrace comment les cinéastes ont inventé leur grammaire et la seconde étudie comment ils l'ont développée jusqu'à nos jours, et comment ils en redécouvrent la force dans des utilisations nouvelles. Se côtoient aussi bien Hitchcock, Godard, Sergio Leone, Welles, Eisenstein, Kubrick, Fritz Lang, que Jean-Pierre Jeunet ou Clint Eastwood... 314 films, de 1891 à nos jours, sont étudiés ou cités. Un album central de 1039 illustrations complète le texte.
Motion pictures and language --- Film criticism --- Semiotics and motion pictures --- Cinéma et langue --- Critique cinématographique --- Sémiotique et cinéma --- Motion pictures --- Technique --- Cinéma et langue --- Critique cinématographique --- Sémiotique et cinéma --- Langage cinématographique --- Motion pictures - Technique --- Cinema - Essay.
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Cet ouvrage rassemble le fruit des travaux de l'équipe "Théâtres de la mémoire", qui explorent l'hypothèse qu'en mobilisant l'imaginaire, le cinéma modifie les frontières entre mémoire et histoire. Les films, en effet, ne constituent pas seulement des documents historiques ; ils mettent en oeuvre une écriture propre au langage audiovisuel qui permet de revoir et re-monter le passé autrement que ne le fait le texte historiographique. Parce qu'ils mobilisent l'affect en même temps que la réflexion, les actualités filmées ou les documentaires, qui se lisent comme " cinéma du réel ", mais aussi les " fictions " engagent avec le passé un rapport plus sensible que les archives écrites. Qu'il s'agisse de réactualisation d'images d'archive, de témoignages ou de reconstitution, les films abordés dans ce volume permettent au spectateur, dans le va-et-vient entre " alors " et " maintenant ", de percevoir l'épaisseur du temps et d'en éprouver le devenir. Aussi les études réunies ici se proposent-elles d'interroger un type d'historicité proprement cinématographique
Motion pictures and history --- Memory in motion pictures --- Film archives --- Cinéma et histoire --- Mémoire au cinéma --- Archives cinématographiques --- Motion pictures --- Technique --- Cinéma et histoire --- Mémoire au cinéma --- Archives cinématographiques --- Film --- Motion pictures - Technique
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Color motion pictures --- Motion pictures --- Cinéma en couleurs --- Cinéma --- Congresses --- Aesthetics --- Congrès --- Esthétique --- Colors in motion pictures --- Color cinematography --- Cinematography --- History --- Technique --- Color and cinema --- Cinéma en couleurs --- Cinéma --- Congrès --- Esthétique --- Colors in motion pictures - Congresses --- Color cinematography - History - Congresses --- Color motion pictures - History - Congresses --- Cinematography - History - Congresses --- Motion pictures - Technique - Congresses --- Motion pictures - History - Congresses
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