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Poète ? Écrivain ? Peintre ? Aucune de ces appellations restrictives ne semble tout à fait convenir à Henri Michaux. Il a toujours affirmé la prééminence d'une expérience sensible, l'exigence d'un trouble intime, avec lequel il faut savoir «garder le contact». S'il a publié des livres, exposé sa peinture, s'il s'est inscrit dans l'espace socialisé des belles-lettres ou de l'art, il a toujours associé ses entreprises esthétiques à une investigation qui les englobe : «J'écris pour me parcourir. Peindre, composer, écrire : me parcourir. Là est l'aventure d'être en vie.» Car l'énigme centrale reste précisément le phénomène d'«être en vie», à travers ses manifestations les plus inquiétante : l'enfance, le rêve, la folie, les «passages» et voyages de toutes sortes où l'on s'efforce d'atteindre des états extrêmes ou, du moins, de quitter le quotidien
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