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Maxillary Sinus

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Infant. --- Maxillary Sinus.

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Infant. --- Infants. --- Infants. --- Maxillary Sinus. --- Maxillary sinus. --- Maxillary sinus. --- Nourrissons. --- Sinus maxillaire. --- infants.

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Présentation de l'éditeur : "Jusqu'à récemment, le sinus maxillaire ne préoccupait les ORL et chirurgiens maxillo-faciaux qu’à travers les pathologies et les traumatismes qui l’atteignaient. L'avènement et la reconnaissance de l'implantologie orale ont conduit les cliniciens à s’intéresser à ce qui était considéré comme un obstacle anatomique lacunaire. Le secteur maxillaire postérieur présente souvent une insuffisance volumique d’os alvéolaire n’autorisant pas l’ancrage et le positionnement implantaires dans des conditions satisfaisantes. Cette difficulté a incité les implantologistes précurseurs à rechercher des techniques novatrices permettant d’augmenter le support d’implantation. Les possibilités offertes par la chirurgie d'élévation du sinus maxillaires démultiplient les indications de réhabilitation implantaire. De nos jours, il existe de nombreuses techniques de rehaussement du plancher sinusien. Cet ouvrage propose d’explorer les protocoles reconnus comme fiables et reproductibles, et définir clairement ce que la littérature et les instances scientifiques cautionnent et valident. Il s’adresse aux professionnels de santé et étudiants impliqués dans la sphère oro-faciale et soucieux de trouver des réponses aux questions essentielles concernant cette thérapeutique pré-prothétique d’élévation sinusienne."

Dental Implants --- Sinus Floor Augmentation --- Maxillary Sinus

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Historiquement, la première signature mutationnelle mise en évidence est celle laissée par les rayons ultraviolets dans les carcinomes baso et spinocellulaires. Les caractéristiques d'une signature mutationnelle consistent en premier lieu dans le type de substitution retrouvée au sein du génome. Ainsi dans les cancers de la peau provoqués par les rayons ultraviolets, on retrouve principalement des mutations de type C>T au site dipyrimidique. D'autres caractéristiques sont l'existence d'un biais de brin ainsi que le contexte trinucléotidique. Les signatures mutationnelles ont été recherchées par le séquençage de gènes ainsi que par découverte de mutations suite à des expositions expérimentales. L'avènement du séquençage de nouvelle génération a entrainé une réduction des coûts avec pour conséquence une augmentation du séquençage de génomes complets de tumeurs. Ces évolutions technologiques ont permis de mettre en évidence de nouvelles signatures mutationnelles ainsi que de distinguer différents types de signatures au sein d'un génome tumoral par modèle informatique. Des hypothèses quant aux agents étiologiques correspondants aux signatures mutationnelles retrouvées ont été émises mais restent encore à confirmer. Le cancer nasosinusien est un cancer rare ; il est reconnu comme associé à des expositions professionnelles dont la principale est l'exposition aux poussières de bois. Une revue de la littérature a été réalisée concernant la recherche de signatures mutationnelles dans le cancer nasosinusien associé à une exposition aux poussières de bois. La littérature ne montre pas d'études avec un séquençage de génomes complets de série de cancers nasosinusiens. Une série d'études a été menée concernant les mutations retrouvées au niveau des gènes RAS et P53 et de l'EGFR dans des adénocarcinomes et dans des carcinomes épidermoïdes nasosinusiens. Dans les études concernant le gène K-RAS, le taux de mutation du gène variait entre 0 et 15%. Le type de mutations le plus fréquemment retrouvé était de type G>A ; l'association de ce type de mutation avec une exposition aux poussières de bois était variable suivant les études. D'après une méta-analyse réalisée par Bornholdt et al (2008) sur les résultats d'obtention d'une transition de type G>A corrélée à une exposition aux poussières de bois dans son étude et dans celles réalisées antérieurement sur des séries de cancers nasosinusiens (plus particulièrement adénocarcinomes), il s'avère que la fréquence des transitions de type G>A ne différaient pas de façon statistiquement significative entre les patients exposés aux poussières de bois et les patients non exposés ( au vu notamment de la difficulté d'atteindre un pouvoir statistique suffisant). Trois études sont retrouvées concernant les mutations du gène TP53 dans le cancer nasosinusien avec des résultats variables concernant le type de substitution retrouvée. Ces études n'ont pas permis de mettre en évidence des résultats clairs quant à la prévalence de mutation de type G>A et leur corrélation avec une exposition aux poussières de bois et au tabac. Le taux de mutations important du gène TP53 (40 à 77%) pourrait suggérer que TP53 est fréquemment impliqué dans la carcinogenèse des adénocarcinomes nasosinusiens. Des études supplémentaires sont nécessaires pour mettre en évidence des associations significatives entre type de mutations, type histologique et facteur d'exposition.

Maxillary Sinus Neoplasms --- Wood --- Occupational Diseases --- Air Pollution --- Review Literature as Topic