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Ce reportage d’actualité a été commandité par le ministère des Colonies (Service de la Documentation et de la Vulgarisation) installé au Havre pendant la Première Guerre mondiale. Il est destiné à montrer l’effort de guerre au Congo pendant la période où la colonie de disposait pas d’images filmées la concernant. Le cinéaste Gourdinne est donc officiellement envoyé en reportage sur le terrain des opérations et parcourt la colonie entre 1917 et 1919, où il réunit les images prouvant que celle-ci est économiquement rentable et axée sur le développement de matières premières et d’activités diversifiées. Il rassembla quelques 12000 mètres de pellicule qui firent, en métropole, l’objet de plus d’un millier de représentations dans le cadre des campagnes de propagande de l’industrie belge. La plupart de ces films sont aujourd’hui perdus. Celui-ci, logiquement attribué à Gourdinne, montre le retour des troupes de la Force publique au Congo belge, alliée à l’armée britannique, après leur victoire dans l’est africain allemand en septembre 1916. Les images sont intercalées par des panneaux qui les commentent. Ainsi, le film commence avec un plan de la rue principale de Tabora, capitale de guerre de l’Est africain. Le second plan montre sa citadelle (Boma), entourée de tentes, puis l’arrivée des troupes, par trains à Kigoma d’où les soldats embarquent à bord du vapeur belge Baron Dhanis. Après des vues sur l’entrée du port à Kigoma, suit la rentrée des troupes belges au Congo belge (aucune image n’illustre ce panneau) puis le rassemblement des troupes à Albertville et leur embarquement par bateau, avec des civils. La compagnie des « pionniers-pontonniers » est alignée et passée en revue. Le bateau s’éloigne, vu de la barge, chargé de civils et de soldats
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Force publique --- Guerre mondiale, 1re, 1914-1918 --- Navigation lacustre --- Congo belge --- Belgique --- Tanzanie --- Tabora --- Kigoma --- Kalemie
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Dans ce travail de fin d’études, nous nous sommes intéressées à la place des femmes dans les sociétés coopératives de commercialisation agricole, soutenues par l'agence de développement belge dans le cadre de son projet régional d'agriculture durable à Kigoma (SAKiRP), mis en œuvre depuis 2016. A travers ce projet, Enabel vise à augmenter et diversifier les revenus des petits exploitants agricoles de la région de Kigoma en développant les chaînes de valeur du manioc, du haricot, du tournesol et du soja. Cependant, et c'est ce qui a retenu notre attention, la participation des femmes aux accords structurés de production et de commercialisation mis en place par Enabel n'est que de 45% (Enabel, Rapport de mi-parcours, 2019), alors que leur contribution aux activités agricoles dans cette région est nettement supérieure à celle des hommes. Celle-ci est estimée à 56,7% par rapport aux hommes dont la contribution est de 43,3%. (URT, 2021) Ainsi, dans cette recherche, nous avons voulu essayer de comprendre les raisons derrière la faible participation des femmes dans les accords structurés de production et de commercialisation. La sous-représentation de ces dernières nous a conduit à nous poser certaines questions : Qu'est-ce qui explique cette différence dans la manière dont les hommes et les femmes vivent et bénéficient des avantages liés à la promotion de l’agriculture commerciale? Les conditions de participation dans les AMCOS sont-elles suffisamment inclusives ? Les avantages sont-ils équitablement répartis entre les hommes et les femmes ?
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