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AVANT-PROPOS : Victor Hugo a beaucoup aimé la Belgique. La Belgique a beaucoup aimé Victor Hugo. Qui veut s'en convaincre n'a qu'à lire le petit livre si précieux des lettres que nous présente Pierre Arty : La Belgique selon Victor Hugo. Mais tout d'abord, entrons au cœur du sujet, en lisant les lettres de Hugo sur sa chère Belgique, qui lui fit souvent un si grand accueil, la Belgique où il devait terminer certains de ses chefs-d'œuvre, la Belgique dont ses dessins vraiment sublimes évoquent maintes fois les paysages et les monuments, la Belgique où se maria son fils aîné, Charles Hugo, lui-même très doué pour les arts plastiques, la Belgique où naquirent ses petits-enfants et où il ferma les yeux de Madame Victor Hugo, de celle qui avait été sa Dofta Sol quand il créait Hernani.D'aucuns ont fait grief à Olympio d'avoir surtout évoqué une Belgique monumentale, de l'avoir contemplée de l'extérieur, de trop négliger le secret de sa vie profonde. Ce n'est pas tout à fait exact. Hugo cherchait surtout le « substratum » des lieux parcourus, l'existence historique de ces patries qu'il découvrait. Certains lui ont reproché de n'avoir vu dans les basiliques qu'il visitait que des motifs d'antiquaire, que des curiosités au sens de Du Sommerard. C'est trop ignorer que Victor Hugo, sans avoir été baptisé, n'a jamais cessé de demeurer sur le seuil de la chrétienté, disciple de Lamennais bien plus que de Béranger. Jusqu'à ces dernières années, on aurait pu dire d'Olympio ce que devait dire, un jour, de lui-même Henri Matisse, qu'il avait "une conception religieuse de la vie". C'est pourquoi, avant de mourir, Hugo a voulu s'entretenir deux fois avec un saint : Don Bosco.
Journal de voyage --- Hugo, Victor --- Belgique --- Belgium
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