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Gustav Landauers kommunitärer Anarchismus ist ein Aufruf an die gesamte Menschheit und richtet sich daher nie ausschließlich an eine einzige Klasse, Ethnie oder ideologische bzw. religiöse Glaubensrichtung. Neben seinen ausformulierten Ansätzen einer grundlegenden Transformation der Gesellschaft, in deren Mittelpunkt der Aufbau völlig neuer sozialer Arrangements im Verhältnis der Menschen untereinander und zur tierischen und pflanzlichen Natur steht, hat seine globale Perspektive eine nachhaltige Bedeutung für das Verständnis von Landauers Anarchismus.Gustav Landauer war umfassend über soziale, vor allem anarchistische Bewegungen weltweit informiert, von Russland, Italien, England und Frankreich über Asien (Japan) bis nach Nord- und Lateinamerika (USA, Mexico). Seine zahlreichen informativen, bis heute lesbaren Artikel Abhandlungen, Rezensionen, Protestschreiben, Vor- und Nachbemerkungen, Übersetzungen, Gedenkaufsätze belegen Landauers detaillierte Kenntnisse über Entwicklungen, Organisationsstruktur und Publikationen innerhalb der internationalen anarchistischen Bewegung, die ihn in die Lage versetzten, jederzeit publizistisch zu intervenieren. Die Lektüre der in diesem Band versammelten Artikel ermöglicht einen umfassenden Einblick in diese Thematik.
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The service sector is of increasing importance to the European and Nordic economies. However, the availability of standards within the service sector is very poor put in regard to the economic importance and potential of this area. Standards are important to society since they bring with them both economic and more general benefits, such as quality, environment, and safety. The economic benefits of standards pass through various channels, all of which enhance the level of competition, innovation, and efficiency within the public and private sectors. The use of standards has steadily increased, however most of them are related to tangible products, whereas only a small fraction is related to the service sector.
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The service sector is of increasing importance to the European and Nordic economies. However, the availability of standards within the service sector is very poor put in regard to the economic importance and potential of this area. Standards are important to society since they bring with them both economic and more general benefits, such as quality, environment, and safety. The economic benefits of standards pass through various channels, all of which enhance the level of competition, innovation, and efficiency within the public and private sectors. The use of standards has steadily increased, however most of them are related to tangible products, whereas only a small fraction is related to the service sector.
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Cet ouvrage retrace la sociogenèse de l'internationalisme éducatif durant le premier 20e siècle à partir de l'une de ses matrices, le Bureau international d'éducation (BIE). Créé à Genève par l'Institut Rousseau, en 1925, pour construire la paix par la science et l'éducation, ce Bureau se conçoit d'abord comme caisse de résonance des mouvements réformistes ; dès 1929, sous la direction de Jean Piaget, le BIE devient la première institution intergouvernementale en éducation puis lie ses destinées à celles de l'Unesco en 1952, dont il constitue un organe précurseur. L'ouvrage s'attache à montrer comment le BIE tente de rallier tous les États de la planète, pour construire une charte des aspirations mondiales de l'instruction publique. Il témoigne des causes promues et négociées, non sans résistances : droit des populations juvéniles - même les plus vulnérables - à une pédagogie adaptée et à une large culture ; justice scolaire, corolaire de la justice sociale ; éducation à la paix et à l'esprit critique ; amélioration des conditions de travail et de formation des enseignants. Tout en élargissant l'empan de ses partenaires et de son audience, le BIE bute sur de substantielles contradictions. Comment asseoir sa légitimité sans renforcer les rivalités avec les organisations investissant elles aussi l'enfance d'une puissance rédemptrice ? Comment appliquer à l'éducation les méthodes de la coopération internationale, alors que l'école demeure la chasse gardée des nations ? Comment courtiser simultanément des gouvernements qui incarnent la démocratie et des États-nations aux régimes autoritaires, sans déroger aux principes de neutralité et pacifisme ? Quel mode opératoire instituer pour préserver les Conférences du BIE des interférences politiques qui s'exacerbent en ces décennies de tous les excès ? Grâce aux riches archives dépouillées, cet ouvrage permet, pour la première fois, d'accéder aux coulisses des négociations menées au sein du BIE et met en lumière les défis auxquels se confrontent, aujourd'hui encore, nombre d'organisations internationales.
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""Cosmopolitanism is commonly associated today with the idea that the forces of globalization could be tempered by new forms of cosmopolitan governance, an idea that was popular among some political theorists in the late 20th century but seems increasingly unrealistic today. Rather than discarding the idea of cosmopolitanism, Nikos Papastergiadis seeks to reinvigorate it by examining the ways in which visual artists have explored themes associated with the cosmos. Artists often claim that all humans possess a fundamental capacity to care, create and connect. Some artists also argue that this creative capacity is linked to a dual connection - companionship with others and with the cosmos. The Ancient Greeks claimed that tuning in to the cosmos was the primal source of inspiration. Kant regarded cosmopolitanism as the goal for humanity, but he turned his attention away from the connection to the cosmos and directed it towards the practical rules for peaceful co-existence. However, these two concerns are not in conflict. Today a new vision of the cosmos is being developed by artists among others, one that brings together the cosmos and the polis. Scholars from the South are decolonizing the mindset which divided the world and split us from our common connections, while others are using art to highlight the existential threats we now face as a species. By developing a distinctive form of aesthetic cosmopolitanism, this book shows that the idea of the cosmos is more important than ever today, and vital for our attempts to rethink our place as one species among others in a universe that extends far beyond our world.""--
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Cet ouvrage retrace la sociogenèse de l'internationalisme éducatif durant le premier 20e siècle à partir de l'une de ses matrices, le Bureau international d'éducation (BIE). Créé à Genève par l'Institut Rousseau, en 1925, pour construire la paix par la science et l'éducation, ce Bureau se conçoit d'abord comme caisse de résonance des mouvements réformistes ; dès 1929, sous la direction de Jean Piaget, le BIE devient la première institution intergouvernementale en éducation puis lie ses destinées à celles de l'Unesco en 1952, dont il constitue un organe précurseur. L'ouvrage s'attache à montrer comment le BIE tente de rallier tous les États de la planète, pour construire une charte des aspirations mondiales de l'instruction publique. Il témoigne des causes promues et négociées, non sans résistances : droit des populations juvéniles - même les plus vulnérables - à une pédagogie adaptée et à une large culture ; justice scolaire, corolaire de la justice sociale ; éducation à la paix et à l'esprit critique ; amélioration des conditions de travail et de formation des enseignants. Tout en élargissant l'empan de ses partenaires et de son audience, le BIE bute sur de substantielles contradictions. Comment asseoir sa légitimité sans renforcer les rivalités avec les organisations investissant elles aussi l'enfance d'une puissance rédemptrice ? Comment appliquer à l'éducation les méthodes de la coopération internationale, alors que l'école demeure la chasse gardée des nations ? Comment courtiser simultanément des gouvernements qui incarnent la démocratie et des États-nations aux régimes autoritaires, sans déroger aux principes de neutralité et pacifisme ? Quel mode opératoire instituer pour préserver les Conférences du BIE des interférences politiques qui s'exacerbent en ces décennies de tous les excès ? Grâce aux riches archives dépouillées, cet ouvrage permet, pour la première fois, d'accéder aux coulisses des négociations menées au sein du BIE et met en lumière les défis auxquels se confrontent, aujourd'hui encore, nombre d'organisations internationales.
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Cet ouvrage retrace la sociogenèse de l'internationalisme éducatif durant le premier 20e siècle à partir de l'une de ses matrices, le Bureau international d'éducation (BIE). Créé à Genève par l'Institut Rousseau, en 1925, pour construire la paix par la science et l'éducation, ce Bureau se conçoit d'abord comme caisse de résonance des mouvements réformistes ; dès 1929, sous la direction de Jean Piaget, le BIE devient la première institution intergouvernementale en éducation puis lie ses destinées à celles de l'Unesco en 1952, dont il constitue un organe précurseur. L'ouvrage s'attache à montrer comment le BIE tente de rallier tous les États de la planète, pour construire une charte des aspirations mondiales de l'instruction publique. Il témoigne des causes promues et négociées, non sans résistances : droit des populations juvéniles - même les plus vulnérables - à une pédagogie adaptée et à une large culture ; justice scolaire, corolaire de la justice sociale ; éducation à la paix et à l'esprit critique ; amélioration des conditions de travail et de formation des enseignants. Tout en élargissant l'empan de ses partenaires et de son audience, le BIE bute sur de substantielles contradictions. Comment asseoir sa légitimité sans renforcer les rivalités avec les organisations investissant elles aussi l'enfance d'une puissance rédemptrice ? Comment appliquer à l'éducation les méthodes de la coopération internationale, alors que l'école demeure la chasse gardée des nations ? Comment courtiser simultanément des gouvernements qui incarnent la démocratie et des États-nations aux régimes autoritaires, sans déroger aux principes de neutralité et pacifisme ? Quel mode opératoire instituer pour préserver les Conférences du BIE des interférences politiques qui s'exacerbent en ces décennies de tous les excès ? Grâce aux riches archives dépouillées, cet ouvrage permet, pour la première fois, d'accéder aux coulisses des négociations menées au sein du BIE et met en lumière les défis auxquels se confrontent, aujourd'hui encore, nombre d'organisations internationales.
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"The decision of the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) to include the study of tensions affecting international understanding as a major project in its program is a logical consequence of its concern with research and education in the maintenance of peace. Areas of tension between nations that regard themselves as most friendly are commonly evident in the words and actions of both public officials and private citizens. They are the foci of conflict in cold war and open hostility. Understanding of these tensions, fundamental to their relief, is so beclouded by stereotyped thinking, nationalistic feelings, catch phrases, and slogans that the need for objective study of their sources and of procedures for resolving them under the auspices of an international cooperative body such as UNESCO is self-evident. International tensions and the techniques for their relief, however, have received very little direct research attention from social scientists who specialize in problems of social behavior. Traditionally, research in international relations has been mainly the province of historians, students of international law and procedure, and diplomats. More recently, and particularly since the experience of World War II demonstrated the practical utility of scholarly knowledge of foreign areas and peoples, there has been a marked increase in research designed to advance understanding of all parts of the world by area specialists with various disciplinary backgrounds. But as yet sociologists, social psychologists, and social anthropologists--the social scientists most directly concerned with problems of behavior--have done little research on international behavior. The present monograph by Dr. Otto Klineberg is an imaginative and technically skillful ordering and application of scattered and fragmentary products of research on human behavior, so that they may be brought to bear with full force on tensions crucial to peace. Modest in its claims for social science, it points the way to the application of a widening range of knowledge relevant to the reduction of the totality of international tensions. It does not profess definitiveness for existing research techniques, yet it establishes their utility and will stimulate the research needed to give a sounder basis in fact and principle for increasing international understanding and cooperation. Credit is meticulously given to others for their contributions to every section of the work, and it is consequently fitting to say here that Dr. Klineberg has given form and direction to a previously unstructured area of social knowledge"--Foreword. (PsycINFO Database Record (c) 2014 APA, all rights reserved).
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