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ULiège (2)


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dissertation (2)


Language

French (2)


Year
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2018 (1)

2017 (1)

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Dissertation
Travail de fin d'études: "IMPACT DE DIFFÉRENTES SOURCES DE DONNÉES (IN SITU, SATELLITAIRE) SUR L'ÉLABORATION DES CALENDRIERS D'IRRIGATION A L'AIDE D'AQUACROP DANS LA HAUTE COMOE, AU BURKINA FASO"
Authors: --- --- ---
Year: 2018 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

Au Burkina Faso, le développement de l’agriculture irriguée est confronté au problème d’indisponibilité et de gestion de la ressource eau, lié en partie à l’irrégularité et la mauvaise répartition de la pluviométrie dans son ensemble. Des efforts d’amélioration de cette agriculture irriguée sont faits par le Gouvernement afin de pallier aux déficits alimentaires. Parmi les outils de gestion efficiente d’eau et d’aide à la décision qui ont été développés, on cite AquaCrop de la FAO, qui nécessite pour son fonctionnement, des données climatiques, de cultures et de sols, alors que l’acquisition de ces données est très fastidieuse dans le contexte des pays en développement comme le Burkina Faso. Or, il y a la possibilité d’obtenir la plupart de ces données sur internet. Notre travail de fin d’études (TFE) a pour objectif de voir l’impact des sources de données (in situ, satellitaires) sur les résultats d’élaboration des calendriers d’irrigation avec AquaCrop dans la Haute Comoé, au Burkina Faso. Ainsi, des données in situ ont été collectées d’une part, et celles satellitaires téléchargées d’autre part. La culture du piment a été considérée en deux campagnes, chez 5 producteurs au total. Des simulations, basées sur des scénarii prenant en compte toutes les éventualités d’interférence entre les sources de données in situ et satellitaires ont été faites dans AquaCrop. 
Les résultats de notre étude montrent qu’il n’y a pas de différence d’impact significative entre des données in situ et satellitaires en ce qui concerne les résultats de simulation de la biomasse, du rendement simulés et du flux d’eau dans AquaCrop. Aussi, les calendriers d’irrigation comparatifs élaborés chez chaque producteur, pour chaque source de données (in situ, satellitaire) ne montrent pas de différences remarquables. Ce qui sous-entend que les données satellitaires donnent les mêmes résultats que celles in situ pour notre cas d’étude. Par contre, vue l’importance de la thématique et considérant les insuffisances relevées à notre étude, nous recommandons qu’il y ait d’autres études sur plusieurs sites de conditions climatiques différentes, avec des données plus désagrégés de plusieurs années, pour voir si ces résultats confirmeront les nôtres.


Dissertation
Travail de fin d'études: "ETAT DE LA MISE EN OEUVRE DE LA GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU (GIRE) DANS LE SOUS BASSIN VERSANT DE LA HAUTE-COMOE AU BURKINA FASO"
Authors: --- --- ---
Year: 2017 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

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Abstract

L’eau est une ressource limitée, précieuse et indispensable à la vie. Toutefois, elle est au centre de nombreuses demandes et confits la rendant ainsi fragile aux facteurs externes ainsi qu’à la dégradation des écosystèmes. Une bonne gestion de l’eau qui se veut intégrée et concertée est donc une nécessité surtout à l’échelle du bassin versant. 
Le sous bassin de la Haute Comoé situé au Sud-Ouest du Burkina Faso, comporte un fort potentiel en ressources en eau qui se trouve au cœur d’usages divers (agricole, domestique et industriel). La complexité d’une telle gestion a conduit à l’adoption de l’approche de gestion intégrée des ressources eau dans la zone.
Notre travail avait comme objectif de dresser un état des lieux de la mise en œuvre de la politique GIRE dans le sous bassin. 
Une méthodologie principalement basée sur des entretiens et des observations, a été adoptée pour fournir des informations sur la GIRE, le fonctionnement des systèmes de gestion de l’eau et sur la mise en œuvre de la Contribution Financière en matière d’Eau (CFE) dans la zone d’étude.
Les résultats de l’étude montrent que l’opérationnalisation de la politique GIRE dans le sous bassin s’est faite à travers la mise en place d’institutions et d’organes de gestion de l’eau à différentes échelles (bassin, régionale et locale) et par le renforcement des capacités des administrations publiques intervenant dans le secteur de l’eau. Ainsi, la gestion des ressources en eau se fait au niveau le plus bas possible et connait la quasi-totalité d’adhésion des usagers dénotant d’une certaine performance du système. 
L’étude a aussi révélé la présence d’une tarification de l’eau en application des principes de « préleveur-payeur » qui repose essentiellement sur l’existence de textes juridiques qui établissent les droits et taxes sur l’utilisation de l’eau. Les forces du système de financement, résident sur la réglementation et le niveau d’organisation des acteurs mais le taux de recouvrement de la CFE par conséquent reste bas (24% environ) depuis sa mise en application. 
D’énormes défis restent donc à être relevés dans le sous bassin pour une amélioration de la gestion des ressources en eau.

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