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Cette étude dresse un portrait de femmes qui ont réussi et du prix de cette réussite. Il est sans concession avec leur vision de la société française qui n'a pas facilité les choses pour elles. À la fois plaidoyer pour une politique de l'intégration qui écoute celles qui ont réussi, sortant de la misère en une seule génération, mais aussi miroir sur la façon dont nous ignorons les efforts parfois démesurés qu'elles ont dû accomplir pour devenir ce que Bernard Stasi appelait des « chances pour la France ».
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Guillaume Villemot nous livre une réflexion née de ses expériences professionnelles, lors desquelles il a pu constater que le mépris et le manque d'intérêt pour les autres sont de plus en plus la norme de la vie en société. Ce mépris est particulièrement incarné par ceux qu'il appelle « les sachants.com », cette partie de la population qui pense qu'internet lui permet de tout savoir et de tout juger. Au fil de son analyse, il nous livre ses idées qui peuvent permettre de passer du vivre ensemble au faire ensemble, mais qui peuvent aussi faire reculer la clanisation de la société comme le concept de la créolisation ou encore le besoin d'apprendre à connaître toute notre histoire sans plus rien en occulter
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Marginality, Social - France --- France - Social conditions - 21st century --- Marginality, Social --- France
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Au regard de l'émergence du mouvement des Gilets jaunes ou des récentes protestations contre le pass sanitaire, la France apparaît idéologiquement polarisée. Une explication serait qu'une «élite» mondialisée se serait définitivement éloignée du «peuple», remettant en cause les principes républicains et démocratiques, et générant ainsi la méfiance des classes populaires. Ce clivage, nous le devrions au néolibéralisme, qui favorise la marchandisation de la société et la financiarisation de l'économie au profit des plus aisés. Un tel diagnostic, souvent repris par les intellectuels et les médias, est-il avéré? Observant l'évolution historique de nombreux indicateurs économiques et sociaux dans les pays occidentaux, ce livre pose un diagnostic nouveau, loin des lieux communs?: le néolibéralisme et la mondialisation ne semblent pas associés statistiquement à la paupérisation des classes moyennes ou à l'augmentation de la pauvreté, des inégalités ou des écarts de revenu entre capitalistes et travailleurs. La polarisation idéologique de notre société doit être recherchée ailleurs, en particulier dans le rôle que joue l'héritage socioculturel en France, qui n'est pas sans conséquences sur la perception d'un plafond de verre séparant «l'élite» du «peuple». Plus qu'une simple déconstruction d'idées reçues, ce livre est un plaidoyer contre le manichéisme et les clivages qu'il alimente.
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Écologie, immigration, économie, laïcité... : sur toutes ces thématiques, le positionnement des Français apparaît de plus en plus complexe et fluctuant. Ce phénomène est renforcé par des mutations structurelles de nos sociétés - déclin de l'institution religieuse, renouvellement générationnel, inégalités territoriales toujours plus marquées notamment - alors que l'espace politique a largement perdu sa structuration autour d'un axe gauche-droite. À partir de nombreuses données issues de différentes enquêtes, les auteurs éclairent ces bouleversements et livrent une cartographie précise de l'opinion publique française ainsi qu'un état du positionnement de nos concitoyens sur tous les grands sujets de société. Antoine Bristielle dirige cet ouvrage qui rassemble les contributions de Chloé Alexandre, Chloé Bérut, William Bouchardon, Antoine Bristielle, Laura Chazel, Amaïa Courty, Anja Durovic, Gilles Finchelstein, Victoria Géraut, Ivan Glita, Frédéric Gonthier, Émilien Houard-Vial, Romain Mespoulet, Jérémie Peltier, Simon Persico, Frédéric Potier, Max-Valentin Robert, Iannis Roder et Achille Warnant
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Au croisement des travaux sur les entourages politiques et sur le genre en politique, cet ouvrage révèle la contribution, aussi essentielle que méconnue, des conjointes d'élus à la carrière élective. Connoté par la presse à scandale et non questionné par la science politique, ce sujet est au mieux réduit à l'étude de la communication politique des élus les plus médiatisés. Bien au-delà, et à l'aide des concepts de la sociologie de la famille et de la sociologie politique, l'analyse des rôles endossés par les conjointes au sein des maisonnées politiques enrichit doublement notre compréhension du "métier" d'élu : elle révèle d'abord certaines conditions pratiques et parfois prosaïques de cette activité sociale ; elle rompt ensuite avec l'image d'un élu coupé de ses attaches privées et sans affects. Nourrie de récents travaux sur le genre en politique, cette approche permet de mettre en lumière l'importance de cette catégorie de femmes impliquées de fait dans la vie politique et pourtant jusque-là particulièrement ignorées. À l'encontre de la théorie politique et de la plupart des travaux de sociologie politique, qui interdisent ou s'interdisent de franchir la frontière qui sépare vie publique et vie privée des élus, c'est donc la nécessaire imbrication et articulation de ces deux sphères au cours de l'ascension élective que cet ouvrage met en évidence.
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Que nous arrive-t-il ? La République – "notre royaume de France", précisait Péguy – s’affaiblit. Elle semble prise en étau entre la montée d’une indifférence envers la chose commune et les assauts de minorités violentes ou vindicatives… Les uns murmurent : "Rien à cirer." Les autres menacent ou terrorisent pour imposer leur loi. Anne Rosencher cherche un remède à ce chagrin français, en disséquant trois expressions qui saturent la conversation publique. "Populisme", d’abord : terme à la fois imprécis et insultant, idéal pour disqualifier l’autre alors qu’il contient le beau mot de "peuple". "Progressisme", ensuite, qui prétend que tout ce qui est neuf est mieux dans les façons d’aborder le féminisme et l’antiracisme. "Vivre-ensemble", enfin : expression incantatoire, répétée à l’envi pour dissimuler le déclin de l’universalisme républicain. Mêlant témoignage personnel et carnets d’éditorialiste, Un chagrin français est avant tout une déclaration d’amour à la France, et un appel au courage collectif.
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« J’ai déposé mes courses sur le tapis roulant, la jeune femme a encaissé. J’avais envie de lui dire : moi, je n’encaisse pas. Parce que je ne suis pas à sa place, et surtout parce que je ne supporte pas les normes de cette société qui font d’elle et de ses collègues des sans voix, peu reconnus, peu protégés. Les caissières illustrent ce qui ne tourne pas rond dans une société où l’on ne cesse de nous asséner : ne pense pas, dépense. La caisse enregistre cet argent roi qui nous fait perdre le sens de la vie, et la déshumanisation en marche s’incarne à travers ces « petites mains » que nous confondons avec leur outil de travail. Leur quotidien rapporté à leur salaire illustre une effrayante hiérarchie des valeurs. Et sur le tapis roulant, elles voient passer toute la démesure consumériste d’un monde qui court à sa perte. L’écosystème, pas plus que nos désirs, ne peut supporter une telle gabegie, tandis que de plus en plus de personnes, de familles ne parviennent pas à boucler leurs fins de mois. » Haut lieu du consumérisme débridé et de la frustration, l’hypermarché matérialise la folie capitaliste. C’est l’espace de toutes les promotions, sauf pour les caissières. Dans l’un des plus grands groupes mondiaux de distribution, il a fallu 15 jours de grève pour obtenir 45 centimes d’euros en plus sur les tickets restaurants ! L’hypermarché, c’est aussi là où l’on voudrait nous faire croire que croissance infinie est synonyme de mieux-être sur une planète aux ressources limitées. Il est urgent de rompre le lien entre le plus et le mieux. Et ce n’est pas l’essor de l’e-commerce, avec son profilage numérique dit intelligent, qui freinera le marketing agressif fabriquant la pulsion d’achat, le gâchis, les inégalités… quand il promet plutôt la surveillance généralisée. « Rien ne sera comme avant », a juré Emmanuel Macron pendant la crise sanitaire. Pourtant, depuis des décennies, les gouvernements successifs n’ont cessé d’encourager la loi du profit, la marchandisation de tout et le démantèlement des biens communs. A travers le prisme de l’hypermarché, Clémentine Autain montre ce qui doit changer, maintenant. Au fil d’un récit mêlant l’intime et le politique, elle appelle à une transformation profonde, sociale et écologiste, qui ne résultera pas de l’addition de gestes individuels mais de la conscience et de l’action collectives.
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Youth --- Working class --- Jeunesse --- Travailleurs --- Social conditions --- Employment --- Conditions sociales --- Travail --- Labor market --- History --- Social aspects --- France --- Economic conditions --- Youth - France - Social conditions - 21st century --- Working class - France - History - 21st century --- Youth - Employment - France --- Labor market - Social aspects - France --- France - Social conditions - 21st century --- France - Economic conditions - 21st century
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