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Force publique --- Mutinerie --- Kasaï
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Force publique --- Gouverneur --- Congo belge
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Ce court métrage d'André Cauvin traite de l'organisation et du fonctionnement de l'armée coloniale du Congo, appelée "Force publique". A leur arrivée au bureau de l'enrôlement, les futures recrues passaient un examen médical et, si elles étaient considérées comme étant aptes, recevaient leur uniforme. Encouragés à vivre au camp militaire avec leur famille, ils étaient épaulés au quotidien par les femmes qui, indépendamment des tâches ménagères classiques, participaient au défrichage des cultures communes. Apres un passage concernant la vie domestique du camp, le film passe en revue plusieurs aspects davantage liés aux activités militaires de la Force publique et devient un véritable hymne à la patrie: les séances d'exercices, des soldats (transport d'armes à dos de mulets, entraînement de mitrailleurs, canons, soldats cyclistes, troupes du génie avec la fabrication de ponts flottants, pratique intensive de sports variés, gymnastique) deviennent des ballets agencés au rythme des tam-tams sur fond de salut au drapeau tricolore et Brabançonne. Réalisé sous le patronage du Fonds Coloniale de la Propagande Economique et Sociale, dans le cadre de la participation coloniale belge à l'Exposition Internationale de l'Eau (Liège, 1939), il est diffusé par Les Artistes Associés (United Artists)
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Force publique --- Recrutement --- Vie sociale --- Congo belge --- Belgique
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World War, 1914-1918--Campaigns--Africa
World War, 1914-1918 --- Cameroon --- Campaigns --- Africa [East ] --- Force publique (Congo belge) --- German East Africa
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Ce reportage d’actualité a été commandité par le ministère des Colonies (Service de la Documentation et de la Vulgarisation) installé au Havre pendant la Première Guerre mondiale. Il est destiné à montrer l’effort de guerre au Congo pendant la période où la colonie de disposait pas d’images filmées la concernant. Le cinéaste Gourdinne est donc officiellement envoyé en reportage sur le terrain des opérations et parcourt la colonie entre 1917 et 1919, où il réunit les images prouvant que celle-ci est économiquement rentable et axée sur le développement de matières premières et d’activités diversifiées. Il rassembla quelques 12000 mètres de pellicule qui firent, en métropole, l’objet de plus d’un millier de représentations dans le cadre des campagnes de propagande de l’industrie belge. La plupart de ces films sont aujourd’hui perdus. Celui-ci, logiquement attribué à Gourdinne, montre le retour des troupes de la Force publique au Congo belge, alliée à l’armée britannique, après leur victoire dans l’est africain allemand en septembre 1916. Les images sont intercalées par des panneaux qui les commentent. Ainsi, le film commence avec un plan de la rue principale de Tabora, capitale de guerre de l’Est africain. Le second plan montre sa citadelle (Boma), entourée de tentes, puis l’arrivée des troupes, par trains à Kigoma d’où les soldats embarquent à bord du vapeur belge Baron Dhanis. Après des vues sur l’entrée du port à Kigoma, suit la rentrée des troupes belges au Congo belge (aucune image n’illustre ce panneau) puis le rassemblement des troupes à Albertville et leur embarquement par bateau, avec des civils. La compagnie des « pionniers-pontonniers » est alignée et passée en revue. Le bateau s’éloigne, vu de la barge, chargé de civils et de soldats
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Force publique --- Guerre mondiale, 1re, 1914-1918 --- Navigation lacustre --- Congo belge --- Belgique --- Tanzanie --- Tabora --- Kigoma --- Kalemie
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"La Force publique, c'est-à-dire l'armée congolaise, a pris l'engagement, en 194, de défendre le territoire de la colonie. Elle a donc fait appel au concours de la population noire". Le plan visuel que ce propos illustre montre la manière dont un groupe de Congolais en habits traditionnels se transforme en un groupe d'hommes revêtus de l'habit militaire, symbolisant ainsi le passage entre deux mondes et l'accomplissement d'hommes désormais prêts à servir la mère patrie. Ces futures et nouveaux conscrits, accompagnés de leurs familles, partent pour le camp d'entraînement militaire d'Irebu, qui se situe parfois à des centaines de kilomètres de leur lieu d'origine. Ce documentaire sur la formation des soldats de la Force publique est fort intéressant, tant au point de vue des images que des commentaires puisqu'il s'inscrit au cœur de l'esprit de propagande coloniale. Dès leur arrivé au camp, après avoir passé un contrôle médical et s'être vu attribués logements et uniformes dont "ils sont fiers", les candidats suivent une formation générale sensée faire d'eux de bons soldats, encadrés par des officiers qui les reçoivent "assez paternellement". Tandis que les hommes s'entraînent aux techniques militaires et sportives, les femmes cultivent les champs et les enfants se rendent à l'école des missionnaires. Les recrues apprennent également la comptabilité, la dactylographie, la couture des uniformes et la construction de baraquements. Certains sont également initiés aux techniques de radiotélégraphie et téléphonie ainsi qu'à la conduite, l'entretien et la réparation d'engins motorisés (motos, chars, avions). Afin de défendre au mieux la colonie, la Force publique possède également certaines unités spéciales telles que la marine, chargée de surveillance des zones maritimes, la défense anti-aérienne et les fortifications terrestres. Le documentaire, réalisé probablement pendant ou peu après la Seconde Guerre mondiale par l'Office belge de la Documentation et d'Information du gouvernement en exil à Londres, s'achève sur une cérémonie officielle du Jour de la Victoire en l'honneur de la Force publique qui a participé à l'effort de guerre, dans et hors la colonie: "Ensemble, soldats blancs et noirs se sont lancés à l'attaque de nos ennemis". Le nouveau gouverneur général Ryckmans passe en revue les troupes devant une foule nombreuse qui lui rend hommage et exprime sa gratitude
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Guerre mondiale, 2e, 1939-1945 --- Éducation --- Force publique --- Vie sociale --- Soldat --- Histoire militaire --- Congo belge --- Belgique
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Le 17 décembre 1959, le roi Baudouin et le ministre des Colonies De Schrijver se rendent au Congo belge et au Ruanda-Urundi. C'est sur une musique victorieuse suivie de la Brabançonne que le roi des Belges descend de l'avion à l'aéroport de Stanleyville. Cette musique rythmée et triomphante suivra d'ailleurs les images du souverain tout au long du reportage. Ce voyage a pour objectif officiel «l'étude et l'information» et aura pour itinéraire Ujumbura, le Kivu, Bukavu, Élisabethville, Luluabourg, Léopoldville et Coquilhatville. Ce voyage, avant tout politique puisqu'il cadre avec les élections du 20 décembre 1959, lui permet de rencontrer les pouvoirs locaux (Mwami Kigeri V du Rwanda, Mwami Mwambutsa de l'Urundi, plusieurs chefs coutumiers dont le chef Kuba), les partis politiques (Parti National du Progrès, Mouvement National Congolais, Parti du Peuple), leurs leaders, des associations de travailleurs, les corps consulaires, des gradés de la Force publique auxquels il s'adresse en lingala.À chaque étape, il est accueilli par les gouverneurs de province (Katanga, Province Orientale, Kasai et Equateur), puis par le Gouverneur Général H. Cornelis à Léopoldville, où il reçoit les diverses personnalités administratives et de la magistrature, ainsi que le recteur de l'université Lovanium (Mgr Gillon) et les bourgmestres des différentes communes de la cité.En dehors des visites protocolaires, ce reportage témoigne aussi du grand engouement que provoque le voyage royal au Congo. De toute part, une foule nombreuse de Congolais se presse afin d'apercevoir, et saluer le souverain. Etonnamment, ce ne sont que les foules d'Africains qui sont filmées. Cette démarche témoigne manifestement du souhait du cinéaste de montrer que le roi Baudouin est encore visiblement aimé et reconnu comme tel par le peuple congolais. L'image duale d'un roi, à la fois ouvert au futur et respectueux du passé, est également mise en évidence : l'on souligne ainsi son attention vis-à-vis de la population congolaise et ses choix politiques, de même que les hommages divers qu'il rend à la mémoire de son ancêtre Léopold II à travers les monuments honorifiques
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Chef coutumier --- Élections --- Force publique --- Partis --- Royauté --- Voyage --- Belgique --- Congo belge --- Rwanda - Ruanda --- Burundi - Urundi
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Ce film est dédié aux soldats dont « l’héroïsme » a apporté les « bienfaits de la colonisation » et a libéré l’Afrique centrale des « horribles marchands d’esclaves et les ennemis cruels, Arabes, Mahdistes et Batetela » qui avaient réduit les « nègres » en esclavage. Dans la mesure où ce film est produit dans le contexte de propagande coloniale, celui-ci est conduit par un message récurrent : les « magnifiques soldats d’Afrique » n’ont jamais failli à leur mission : la défense intérieure du territoire qui a contribué à rendre ce pays prospère et paisible. Dans cet objectif avoué, les activités militaires y sont présentées en des termes élogieux.L’on assiste ainsi aux exercices et entraînements divers qui forment les soldats. Congolais d’un côté, Belges de l’autre, à devenir les gardiens de la sécurité intérieure et extérieure du pays. Le film passe en revue l’artillerie lourde et légère de la défense fluviale et aérienne, les exercices d’attaques et les traversées de rivières, de reconnaissance blindée. Les différents camps militaires comme le Camp Reisdorff accueille les nouvelles recrues et les forme à devenir des « spécialistes » techniques (chauffeurs, mécaniciens, cordonniers, typographes) et de futurs sergents destinés à commander des équipes, avec une instruction générale « convenable », souligne le commentaire. En sus de cet accompagnement, d’un logement décent et de loisirs, le film souligne que les familles de soldats bénéficient de l’aide de foyers sociaux et d’un personnel médical qui les aide en cas de nécessité. Les femmes peuvent même suivre des leçons de couture qui feront d’elles de « vraies femmes ». Une nouveauté est également mise en avant : la possibilité de faire son service militaire au Congo pour les fils de coloniaux. Ces derniers sont formés à la base de Kamina. Enfin, le film montre les formations effectuées par les paracommandos et les pilotes d’avion, apanage des Belges uniquement, tandis que les Congolais sont formés à l’entretien technique des moteurs d’engins aériens
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Enseignement --- Force publique --- Formation --- Soldat --- Technique --- Vie sociale --- Congo belge --- Belgique --- Léopoldville --- Kamina --- Banana --- Matadi --- Kananga
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