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Graphes, Théorie des. --- Graphes de fluence. --- Électronique.
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Earth orbital environments. --- Fluence. --- Erosion. --- Durability. --- Oxygen.
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Angular distribution. --- Fluence. --- Formalism. --- Leakage. --- Monte Carlo method. --- Neutrons.
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Computer programs. --- Light ions. --- Dynamic models. --- Fluence. --- Numerical analysis.
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Pourquoi prévoir un programme d’entrainement à la fluence de lecture dans une classe d’enfants de dix à onze ans ? Pour tenter de comprendre d’une part, pourquoi, suite à l’Évaluation Externe Non Certificative (EENC) en lecture et en production d’écrits en octobre 2022, 49% des élèves de Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) en début de cinquième année primaire sont répertoriés comme faisant preuve d’une lecture lente et pourquoi, d’autre part, les lecteurs rapides obtiennent de bien meilleurs résultats en compréhension que les lecteurs lents lorsqu’on analyse le lien établi par l’EENC entre la fluidité lexicale et la compréhension de textes (Enseignement.be, 2022). Pour tenter ensuite, au vu de tels constats, de répondre à la question de recherche postulant un potentiel effet d’un entrainement à la fluence de lecture sur les progrès en lecture des élèves de cinquième année primaire. C’est là que réside l’objectif de la présente recherche. Une revue de la littérature a révélé la difficulté de définir la fluence de lecture. Elle a ensuite mis en lumière, d’une part, la prise en compte récente de la fluence de lecture comme composante de la lecture et la considération encore plus récente – parfois toujours absente – de la prosodie en tant que dimension de la fluence de lecture. D’autre part, cette analyse a investigué l’historique et les études menées sur le sujet ainsi que les dernières recommandations en termes d’évaluation et d’enseignement de la fluence (Goigoux & Vandecasteele, 2012 ; Hasbrouck, 2021 ; Youg et al., 2022). Le programme de travail de la fluence de lecture de la présente recherche a consisté en huit semaines d’application de la technique de lectures répétées de Samuels (1979), à partir d’extraits du manuel de lecture suivie "Picouic et Tigrelin en Europe" (Brehon & Nemo, 2011), au sein d’une classe de 17 élèves de 5ème année primaire. Parallèlement, 25 sujets d’une classe de la même commune et d’indice socio-économique similaire ont joué le rôle de groupe contrôle (GC). Les deux classes ont vécu les mêmes épreuves pour les pré- et post-tests, le GC ayant poursuivi sa scolarité classique sans la moindre intervention. Les résultats récoltés ont montré une amélioration des performances en lecture dans les deux groupes, amélioration supérieure dans le groupe expérimental (GE) par rapport au GC, mais non significative, sauf dans une dimension de la lecture. En effet, un résultat statistiquement significatif (P = 0,041205) concernant l’évolution du GE par rapport à celle du GC est apparu en prosodie de lecture, dans la dimension du phrasé (= intonation et pauses du lecteur par rapport à la syntaxe d’un texte). Ce résultat est très prometteur vu la période réduite de l’intervention et le stade avancé des sujets dans l’apprentissage de la lecture. Le présent travail s’achève avec un aperçu des limites et des perspectives envisagées.
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Introduction : La fluence (la rapidité/l’aisance de traitement d’une information; Kelley & Rhodes, 2002) est l'un des nombreux indices intervenant dans les décisions mnésiques. Un tel sentiment d'aisance au cours d'une tâche de mémoire sera interprété comme étant lié à une exposition antérieure (Whittlesea et Williams, 2001). Cependant, il a été prouvé qu’il était possible d’apprendre à des sujets contrôles, via une rencontre régulière à une nouvelle association unissant fluence et nouveauté, à disqualifier l’association habituelle fluence-expérience antérieure (Geurten & Willems, 2017). A l’heure actuelle, nos connaissances concernant la façon dont ce désapprentissage a lieu sont insuffisantes. Ici, nous souhaitons investiguer un facteur qui pourrait influencer ce type d’apprentissage implicite de règles métacognitives : l’effet du contexte d’apprentissage. Les buts de cette étude sont donc multiples. Dans un premier temps, confirmer les résultats obtenus par Geurten & al. (2017). Ensuite, évaluer si cet apprentissage est spécifique au contexte d’apprentissage. Enfin, observer si des changements interviennent, au niveau des connaissances explicites d’utilisation de la règle, à la suite d’une procédure d’apprentissage implicite. Méthodologie : 79 participants (de 20 à 45 ans) ont été recrutés. Une tâche de reconnaissance à choix forcé a été proposée. Le testing était séparé en deux parties : l’apprentissage et le test. Lors de l’apprentissage, les participants ont été répartis en deux conditions : classique et inversée. Dans la première, les items à fluence élevée étaient toujours anciens et ceux à fluence faible étaient nouveaux et inversement pour la seconde condition. De plus, pour la moitié des participants, les phases d’apprentissage et de test se réalisaient dans la même pièce et avec le même expérimentateur, et inversement pour la seconde moitié. Enfin, un questionnaire de connaissance de l’heuristique de fluence a été administré avant et après le testing. Hypothèses : Nous espérons voir apparaître un désapprentissage de l’utilisation de la fluence chez les sujets assignés à la condition « inversée ». De plus, nous espérons que cet apprentissage soit spécifique au contexte d’apprentissage. Enfin, nous ne nous attendons normalement pas à observer d’effet sur la connaissance explicite. Résultats : Les résultats obtenus confirment ceux de Geurten & al. (2017). Malheureusement, nous n’avons pu mettre en évidence une spécificité du contexte d’apprentissage. Enfin, certains participants de la condition inversée ont montré un impact de l’apprentissage implicite sur le sentiment d’utilisation de la fluence de façon explicite.
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Cette étude cherche à évaluer dans quelle mesure un programme intensif de lecture à voix haute va permettre à de faibles lecteurs d’améliorer leur fluence en lecture et atteindre un niveau équivalent à celui des bons lecteurs de leur classe ; d’accroitre leurs connaissances lexicales en relation avec les textes entrainés ; et d’être davantage motivés par rapport à la lecture. L’étude a pour cible des enfants de 6e année primaire recrutés dans une école à fort taux de populations issues de l’immigration et/ou de faible statut socioéconomique. Sur base de prétests, nous avons réparti les enfants dans un groupe « expérimental » ou dans un groupe « contrôle ». Les enfants du groupe « expérimental » ont donc suivi le programme de lecture, contrairement au groupe « contrôle » qui n’a pas reçu d’entrainement spécifique. L’entrainement à la fluence de lecture s’est organisé sous forme d’un tutorat pendant lequel les enfants lisaient à voix haute des textes adaptés à leur niveau de lecture sous le regard attentif d’une étudiante universitaire. Nous avons privilégié un programme qui incluait des périodes de lectures répétées, car plusieurs études ont montré que cette méthode permettait aux enfants de progresser dans l’automatisation de la lecture et dans la compréhension de ce qui est lu (Ehri, Nunes, Willows, Schuster, Yaghoubzadeh et Shanahan, 2001 ; Zorman, Lequette, Pouget, Devaux et Savin, 2008 ; ...). Cependant, peu d’études se sont penchées sur l’effet de ces entrainements sur une population scolaire majoritairement issue de l’immigration. Suite au programme, les résultats montrent un effet statistiquement significatif sur la compréhension à la lecture ainsi que sur l’acquisition du vocabulaire spécifique aux textes lus.
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Depuis plusieurs années, en Fédération Wallonie-Bruxelles, les programmes éducatifs mettent un accent prépondérant sur la maîtrise orale d’une langue étrangère. D’ailleurs, les sections mesurant les compétences orales des élèves au CE1D (FWB, 2013-2019) valent pour un tiers de leur score final à cette évaluation. Dans ce cadre, le présent mémoire vise à étudier l’implémentation d’un dispositif de lecture à haute voix réalisée par les élèves visant à développer leurs compétences en langue étrangère, dans ce cas-ci en anglais (compréhension à la lecture et la fluence). Ce dispositif, s’étalant sur une durée de 12 semaines, a pour objectif d’augmenter le temps d’oralité des élèves, en classe ou à distance sous forme d’enregistrements audio, en leur demandant de lire à haute voix, deux fois par semaine, des textes sélectionnés sur base des critères de qualité (Tauveron, 1999). Ce mémoire se fonde sur un design longitudinal (Dachet & Baye, 2020) avec des élèves de 3ème secondaire. L’implémentation du dispositif sera, dès lors, précédée d’un pré-test visant à mesurer les compétences orales et la compréhension à la lecture des élèves et sera suivie d’un post-test visant à mesurer ces mêmes compétences.
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La fluence en lecture se définit comme étant une lecture précise et automatique, tout en adoptant une prosodie appropriée (Wolf et Katzir-Cohen, 2001). Ce n’est que depuis quelques années que ce dernier critère est inclus dans sa description, car auparavant, la fluidité renvoyait uniquement à une lecture rapide et exacte (Giasson-Lachance & Vandecasteele 2012 ; Godde, Bosse, & Bailly, 2021). Plusieurs études commencent à prouver sa contribution dans la maîtrise de la lecture, notamment envers la compréhension écrite (Bourvon, 2020 ; Wauthion, 2020). Le but de notre présente étude est la mise en place d’une nouvelle échelle évaluant la prosodie en lecture auprès d’une population adulte tout venant. En effet, les instruments de mesure, mais également la littérature axée vers cette population semblent limités. Nous voulions également déterminer s’il existe un lien entre la prosodie et la compréhension en lecture auprès d’une population adulte tout venant, et, par la même occasion, explorer l’importance de la prosodie en lecture par rapport à la vitesse de lecture. Nous avons également récolté des données auprès de nos participants quant aux habitudes de lecture, dans le but de contrôler si cette variable pouvait avoir un lien sur la maîtrise de la lecture. Nos analyses révèlent que la prosodie présente un lien significatif avec la compréhension en lecture de texte et de phrases, mais également avec les habitudes de lecture. De plus, la prosodie semble être un explicateur de cette dernière variable. Toutefois, la vitesse de lecture n’est pas corrélée avec la compréhension de texte, ni avec les habitudes de lecture. La plupart des recherches se dirigent vers les enfants et non vers une population adulte. La relation entre la vitesse et la compréhension en lecture est peut-être différente selon le stade de la maîtrise de la lecture. Il convient alors d’axer des recherches futures sur ce sujet pour apporter davantage d’informations. Pour finir, malgré des résultats cohérents obtenus à l’aide de notre échelle évaluant la prosodie en lecture, nous devons les nuancer car l’évaluation a été réalisée par un seul cotateur. Étant une évaluation subjective, elle laisse place à l’appréciation de l’évaluateur, pouvant ainsi biaiser les résultats.
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