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From the 1970s onward, "exploitation cinema" as a concept has circulated inside and outside of East Asian nations and cultures in terms of aesthetics and marketing. However, crucial questions about how global networks of production and circulation alter the identity of an East Asian film as "mainstream" or as "exploitation" have yet to be addressed in a comprehensive way. Exploiting East Asian Cinemas serves as the first authoritative guide to the various ways in which contemporary cinema from and about East Asia has trafficked across the somewhat-elusive line between mainstream and exploitation. Focusing on networks of circulation, distribution, and reception, this collection treats the exploitation cinemas of East Asia as mobile texts produced, consumed, and in many ways re-appropriated across national (and hemispheric) boundaries. As the processes of globalization have decoupled products from their nations of origin, transnational taste cultures have declared certain works as "art" or "trash," regardless of how those works are received within their native locales. By charting the routes of circulation of notable films from Japan, China, and South Korea, this anthology contributes to transnationally-accepted formulations of what constitutes "East Asian exploitation cinema."
Exploitation films --- Motion pictures --- Films d'exploitation --- History and criticism
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Qu'est-ce que le camp ? "Le Camp, c'est la pose effrénée, l'affectation érigée en système, la dérision par l'outrance, l'exhibitionnisme exacerbé, la primauté du second degré, la sublimation par le grotesque, le kitsch dépassant le domaine esthétique pour pénétrer la sphère comportementale. C'est le reflet de Narcisse dans le miroir de la Méchante Reine de Blanche-Neige". Camp ! volume 1 n'est pas à proprement parler un essai, mais plutôt le récit d'un genre cinématographique, un récit débordant d'humour et d'amour pour le cinéma.Un roman dont les héros s'appellent Joan Crawford, Vincent Price, Norma Desmond, Paul Morrissey, Baby Jane, Andy Milligan, ou encore Doris Wishman, cinéaste à nulle autre pareille, mère d'une oeuvre qui lui valut d'être comparée à Ed Wood ou Jean-Luc Godard. Une curieuse odyssée où l'on croise des hommes en porte-jarretelles, des femmes qui tuent à coups de seins, des poupées ridées, des stars déchues, des espionnes aux corps bioniques.Le filtre Camp agit dès lors comme un révélateur, qui nous permet de relire le cinéma anglo-saxon sous un jour nouveau. Camp ! est un livre-somme, dont la publication s'étalera sur trois volumes. Dans ce premier opus, Pascal Françaix s'intéresse au mélodrame gériatrique (" hagsploitation"), au cinéma d'épouvante (dont les productions de la Hammer) et au cinéma d'exploitation (de Russ Meyer à la drugsploitation). (volume 1) Camp ! volume 2 invite les comiques outranciers Jerry Lewis et Mel Brooks, s'attarde longuement sur les fabuleuses courbes de Jayne Mansfield chez Tashlin, le glamour étrange de Mae West, voit débouler une Raquel Welch dans la peau d'un homme, se faufile dans les danses de Bob Fosse. Cet opus met en lumière la beauté des décors baroques de Joseph Losey et la fureur des oeuvres de Ken Russell. L'amour de Pascal Françaix pour le Camp lui permet de sauver de l'oubli certains nanars d'envergure (Xanadu).Gode-ceinture de rigueur et âme sensible s'abstenir. En somme du rire, des larmes, du sexe et du rythme : le Camp est de retour ! (volume 2) Après avoir revisité le cinéma d'exploitation et la comédie musicale, voilà que Camp ! se conclut par un feu d'artifice. Il nous replonge dans les mélodrames outrés d'Edward Dmytryk, les divas esquintées, débordantes de chair et de fards (Liz Taylor ou Lana Turner) en passant par les soap operas adolescents de Delmer Daves avec Troy Donahue, pâle imitation d'un James Dean. Le métafilm hollywoodien y revisite les destinées de Jean Harlow et consorts jusqu'à l'indispensable Jour du fléau de John Schlesinger.La seconde partie de l'ouvrage se penche sur l'avant-garde et le porno gay et met à l'honneur des auteurs anarchistes, tels Jack Smith, Kenneth Anger, les frères Kuchar, sans oublier John Waters et sa Divine avide d'immondices. Ce dernier volume explore un cinéma qui éclaire d'une manière nouvelle, subversive et contestataire, la sexualité, les normes, Hollywood et ses marges ; le Camp s'avère un outil indispensable pour envisager le monde. (volume 3)
Camp (style) --- Cinéma --- Films d'horreur --- Films d'exploitation --- Comédies loufoques (cinéma) --- Films musicaux. --- Au cinéma. --- Esthétique. --- Pays de langue anglaise --- Camp (style) -- Pays de langue anglaise --- Films d'horreur -- Pays de langue anglaise --- Films d'exploitation -- Pays de langue anglaise --- Cinéma
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Le torture porn désigne depuis les années 2000 un sous-genre du cinéma d'horreur et d'exploitation apparu depuis longtemps déjà. Il s'agit d'histoires où des victimes sont soumises à toutes sortes de brutalités et autres atrocités dont l'issue leur sera généralement fatale. Vilipendé par la critique mais commercialement fructueux (voir la franchise Saw, le succès des Hostel...), le torture porn a relancé le débat sur la prétendue nocivité du cinéma d'horreur. Considéré comme le véhicule des pulsions sadiques et misogynes de ses auteurs et de son public, il demeure trop méprisé pour avoir fait l'objet d'une étude objective et approfondie dans notre pays. Cet ouvrage propose d'explorer les enjeux et les thèmes du sous-genre. Il remet ainsi en cause certains principes du féminisme radical et d'une pensée politiquement correcte qui tendent à l'aseptisation du cinéma horrifique. Le torture porn, héritier d'une tradition subversive du cinéma d'exploitation, y est envisagé comme le vecteur d'une sensibilité postmoderne empreinte de scepticisme envers les valeurs morales, politiques et culturelles en vigueur. Il questionne la validité du modèle patriarcal et redéfinit les enjeux de la féminité en offrant de mémorables portraits de femmes violentes et en dépeignant une masculinité en crise. Lieu de l'instabilité, de l'incertitude et de la déconstruction (des corps comme des concepts), le torture porn se dérobe aux notions établies de bien et de mal, de conservatisme et de progressisme, de haute culture et de sous-culture, pour jongler avec les paradoxes et les diversités. Il restitue au cinéma d'horreur sa force brute de questionnement et ses vertus d'inconfort.
Horror films --- Splatter films --- Exploitation films --- Motion pictures --- Films d'horreur --- Films gore --- Films d'exploitation --- Cinéma --- History and criticism --- Plots, themes, etc. --- Histoire et critique --- Intrigues, thèmes, etc
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