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Introduction :
Le traitement chirurgical des APSI est entaché d’une mortalité lourde, liée à la grande complexité des différentes formes anatomiques.
Objectifs :
Ce travail étudie 29 nouveau-nés traités de 1980 à 1992 et évalue les facteurs influençant les résultats des différentes stratégies thérapeutiques.
Méthode
Il s’agit d’une analyse rétrospective des dossiers cliniques, angiographiques et des protocoles opératoires des patients.
Résultats :
La chirurgie néonatale (<1 mois d’âge) est faite chez 27/29 patients ; 2 enfants n’en bénéficient pas, le premier sur décision des parents et le second pour prématurité. Ce dernier survit grâce à une perfusion de prostaglandines et reçoit à un mois une anastomose aorto-pulmonaire.
Onze des 27 nouveau-nés (41%) décèdent dans les suites opératoires immédiates. La mortalité est ainsi répartie :
- connexion VD-APC isolée 6/10 (60%),
- connexion VD-APC et shunt aorto-pulmonaire 3/9 (33%),
- shunt aorto-pulmonaire isolé 1/7 (14%),
- shunt aorto-pulmonaire suivi d’une excision tricuspide 1/1.
Après la période néonatale, 13/17 (76%) des survivants (en incluant le prématuré opéré tardivement), reçoivent une seconde chirurgie. Trois patients n’ont pas été réopérés, leur état clinique n’ayant pas nécessité une intervention chirurgicale complémentaire. Un enfant est mort d’une infection respiratoire.
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La possibilité de reconstruire une large perte de substance osseuse, d’origine traumatique ou par résection de tumeur, remonte au début du christianisme. La première implantation remonte à la légendaire histoire de COME et DAMIEN. Ils auraient remplacé à la fin du 5e siècle après J-C. une jambe gangrénée par une allogreffe prélevée sur une personne décédée le jour même. Van Meercheren en 1668 rapporte le premier cas de xénogreffe consistant en la reconstruction d’une fracture de crâne par une calotte crânienne de chien. La greffe fut ôtée quelque temps après, pour éviter l’excommunication du patient.
Olliver publia en 1867 le premier traité scientifique où il expose ses travaux cliniques et expérimentaux sur les greffes autologues, homologues et hétérologues, fraîches et conservées. Il étudie également la régénération des so. En 18797, Mac Ewen utilise une allogreffe pour traiter une pseudarthrose de l’humérus. En fait, la première série importante d’allogreffes est rapportée par Lexter en 1908. Elle porte sur des greffes articulaires avec 50 % de bons résultats à 15 ans.
C’est à Carrel en 1912 que revient l’idée de conserver les greffes par le froid à 4°C. Reprenant cette proposition Albee, Heygrove, Bauer et Weil expérimentent les allogreffes réfrigérées. La première utilisation clinique d’allogreffes cryo-conservées revient à INCLAN, chirurgien cubain en 1942. Il réalisé ainsi la première banque d’os. D’autres cas furent rapportés par la suite, mais il faut attendre les progrès de l’ostéosynthèse et l’amélioration des conditions opératoires pour voir apparaître de nouvelles séries importantes.
Ce regain d’intérêt s’explique par les travaux de Herndon et Chase en 1954 et Curtis en 1959, qui ont démontré que l’immunogénicité des greffes peut être réduite par la congélation. Les résultats satisfaisants obtenus à long terme avec les allogreffes congelées ont donné un deuxième élan à l’os conservé.
En 1971, le congrès de « L’orthopaedic oncology unit » de l’Hôpital général Du Massachussetts faisait le point sur les allogreffe, en se basant sur les travaux concernant la biomécanique et l’immunogénicité. Il était décidé que les greffes devaient être congelées. La congélation permettait de préserver les qualités mécaniques suffisantes et la réinsertion des éléments tendino-capsulaires du receveur à la greffe. Dans ces conditions, ces structures collagéniques ne provoquent pas ou peu de réactions antigéniques et sont incorporées aux receveurs.
C’est la conservation du cartilage qui pose la problème le plus difficile. En effet, il y a un antagonisme entre la nécessité de congeler les greffes afin de diminuer leur antigénicité et la préservation des chondrocytes. Smith en 1965 montre que l’addition de DMSO (Diméthylsufoxide) avant la congélation permet de préserver un pourcentage important de chondrocytes vivants. En 1978, les travaux de cryo-biologique de Schachar et Tomford montrent que les altérations des chondrocytes avant la congélation sont secondaires à la formation de cristaux de glace de grande taille détruisant les structures nucléaires et les membranes cytoplasmiques des cellules. Ils mettent au point des techniques utilisant de DMSO à 8 % ou du glycérol à 10 % comme cryo-protecteur. En 1982, Tomford démontre que la congélation sera d’autant moins destructrice que la descente en température entre 0 et -4°c se fera plus lentement. Il montre aussi que la décongélation doit être aussi rapide que possible car elle aussi peut être destructrice pour les chondrocytes
Transplantation, Autologous --- Bone Transplantation --- Follow-Up Studies
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Quatrième de couverture : "La place de l'imagerie dans le suivi post-thérapeutique des cancers est peu documentée, alors qu'il existe une littérature scientifique abondante sur son rôle dans le dépistage, le diagnostic et le bilan initial de la plupart des cancers. L'imagerie joue pourtant un rôle essentiel pour l'évaluation du contrôle local de la maladie, la recherche de récidives ou de métastases à distance, l'évaluation des séquelles éventuelles et le diagnostic différentiel entre séquelle et récidive. Richement illustré et organisé par grande typologie de cancer cerveau, sein, cancers génitaux, etc. cet ouvrage rassemble une équipe de médecins reconnus et de tous horizons radiologues, oncologues radiothérapeutes, médecins nucléaires et montre la place actuelle des examens d'imagerie dans le suivi des patients en phase post-thérapeutique immédiate mais également au fil des mois et des années. La connaissance par chacun des techniques des autres spécialités, de leurs limites, de leur efficacité est indispensable. La gravité des décisions post-thérapeutiques, leur impact sur le patient et son entourage, le coût pour la collectivité montrent la nécessité d'une parfaite appréciation de l'imagerie post-thérapeutique. A l'occasion du 60e anniversaire du Centre Antoine Béclère, la Société Française de Radiologie, la Société Française de Médecine Nucléaire et à la Société Française de Radiothérapie Oncologique se sont unies pour réaliser cet ouvrage commun sur l'imagerie post-thérapeutique en oncologie."
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Epileptics --- Epilepsy. --- Follow-up Studies. --- Rehabilitation
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Rehabilitation --- Follow-Up Studies --- Patient Discharge --- psychology
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CATARACT EXTRACTION --- FOLLOW-UP STUDIES --- IN OLD AGE --- CATARACT EXTRACTION --- FOLLOW-UP STUDIES --- IN OLD AGE
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BRONCHITIS --- SMOKING --- HOSPITALIZATION --- FOLLOW-UP STUDIES --- ADVERSE EFFECTS --- BRONCHITIS --- SMOKING --- HOSPITALIZATION --- FOLLOW-UP STUDIES --- ADVERSE EFFECTS
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