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"Directing unprecedented attention to how the idea of 'excess' has been used by both producers and consumers of visual and material culture, this collection examines the discursive construction of excess in relation to art, material goods and people in various global contexts. The contributors illuminate how excess has been perceived, quantified and constructed, revealing in the process how beliefs about excess have changed over time and how they have remained consistent. The collection as a whole underscores the fact that the concept of excess must always be considered critically, whether in scholarship or in lived experience. Although the idea of excess has often been used to shame and degrade, many of the essays in this collection demonstrate how it has also been used as a strategy for self-fashioning, transgression and empowerment, particularly by women and queer subjects. This volume examines a range of material, including diamonds, ceramics, paintings, dollhouses, caricatures, interior design and theatrical performances. Each case study sheds new light on how excess was used in a specific cultural context, including canonical sites of study such as the Netherlands in the eighteenth century, Victorian Britain and Paris in the 1920s, and under-studied contexts such as Canada and Sweden."--Publisher's website.
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La 4e de couv. indique : "Le mythe grec d’Érysichthon nous parle d’un roi qui s’auto-dévora parce que rien ne pouvait assouvir sa faim – punition divine pour un outrage fait à la nature. Cette anticipation d’une société vouée à une dynamique autodestructrice constitue le point de départ de La Société autophage. Anselm Jappe y poursuit l’enquête commencée dans ses livres précédents, où il montrait que la société moderne est entièrement fondée sur le travail abstrait et l’argent, la marchandise et la valeur. Mais quel type de subjectivité le capitalisme produit-il ? Pour le comprendre, il faut renoncer à l’idée, forgée par la Raison moderne, que le « sujet » est un individu libre et autonome. En réalité, ce dernier est le fruit de l’intériorisation des contraintes créées par le capitalisme, et aujourd’hui le réceptacle d’une combinaison létale entre narcissisme et fétichisme de la marchandise. Le sujet fétichiste-narcissique ne tolère plus aucune frustration et conçoit le monde comme un moyen sans fin voué à l’illimitation et à la démesure. Cette perte de sens et cette négation des limites débouchent sur ce qu’Anselm Jappe appelle la « pulsion de mort du capitalisme » : un déchaînement de violences extrêmes, de tueries de masse et de meurtres « gratuits » qui précipite le monde des hommes vers sa chute."
Capitalism --- Capitalism --- Civilization --- Civilization, Modern --- Excess (Philosophy)
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Le mythe grec d'Érysichthon nous parle d'un roi qui s'autodévora parce que rien ne pouvait assouvir sa faim – punition divine pour un outrage fait à la nature. Cette anticipation d'une société vouée à une dynamique autodestructrice constitue le point de départ de La Société autophage. Anselm Jappe y poursuit l'enquête commencée dans ses livres précédents, où il montrait – en relisant les théories de Karl Marx au prisme de la « critique de la valeur » – que la société moderne est entièrement fondée sur le travail abstrait et l'argent, la marchandise et la valeur. Mais comment les individus vivent-ils la société marchande ? Quel type de subjectivité le capitalisme produit-il ? Pour le comprendre, il faut rouvrir le dialogue avec la tradition psychanalytique, de Freud à Erich Fromm ou Christopher Lasch. Et renoncer à l'idée, forgée par la Raison moderne, que le « sujet » est un individu libre et autonome. En réalité, ce dernier est le fruit de l'intériorisation des contraintes créées par le capitalisme, et aujourd'hui le réceptacle d'une combinaison létale entre narcissisme et fétichisme de la marchandise. Le sujet fétichiste-narcissique ne tolère plus aucune frustration et conçoit le monde comme un moyen sans fin voué à l'illimitation et la démesure. Cette perte de sens et cette négation des limites débouchent sur ce qu'Anselm Jappe appelle la « pulsion de mort du capitalisme » : un déchaînement de violences extrêmes, de tueries de masse et de meurtres « gratuits » qui précipite le monde des hommes vers sa chute. Dans ce contexte, les tenants de l'émancipation sociale doivent urgemment dépasser la simple indignation contre les tares du présent – qui est souvent le masque d'une nostalgie pour des stades antérieurs du capitalisme – et prendre acte d'une véritable « mutation anthropologique » ayant tous les atours d'une dynamique régressive.
Capitalism --- Commodity fetishism. --- Excess (Philosophy) --- Philosophy.
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Excess (Philosophy) --- Spectacular, The. --- Performing arts.
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Vivre sans limites, dépasser les limites, marquer des limites, la dernière limite, aller au-delà de ses limites, un âge limite? ! La notion de limites s?inscrit partout dans notre langage et dans la vie quotidienne. Nous imposons des limites à notre mode de vie personnelle en déterminant nous-mêmes les bornes, les accès, les interdits. Le biologique dicte les siennes, alors qu?on se souhaiterait ± sans limite et que les performances physiques et mentales s?altèrent avec l?âge, le handicap ou la maladie. Pour sublimer les bornes de l?impossible et de l?interdit, l?homme sait emprunter les chemins détournés de l?art, de la littérature. De son côté, la psychanalyse, avec le concept de limites, s?interroge sur les troubles borderline, une pathologie des limites du moi, où règne l?idée d?une frontière plus ou moins perméable permettant autant la communication entre divers lieux psychiques que leur séparation. Ailleurs, au sein de la société démocratique, les limites sont imposées par des lois et des règlements qui régissent le rapport à l?autre. Elles se remanient selon les moments de l?histoire et redessinent les territoires des libertés, des devoirs individuels et communs concernant les ± normes et démesures politiques, économiques. Ces frontières signent aussi ce qui est acceptable ou démesuré dans les relations amicales, amoureuses, familiales. Comment réajuster sans cesse ses désirs, ses exigences, ses propres freins selon l?ordre d?un monde qui exige des limites à notre toute-puissance ?
Moderation --- Excess (Philosophy) --- Modération --- Excès (Philosophie)
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Humanity is confronted by and attracted to extremes. Extreme events shape our thinking, feeling, and actions; they echo in our politics, media, literature, and science. We often associate extremes with crises, disasters, and risks to be averted, yet extremes also have the potential to lead us towards new horizons. Featuring essays by leading intellectuals and public figures arising from the 2017 Darwin College Lectures, this volume explores 'extreme' events, from the election of President Trump, the rise of populism, and the Brexit referendum, to the 2008 financial crisis, the Syrian war, and climate change. It also celebrates 'extreme' achievements in the realms of health, exploration, and scientific discovery. A fascinating, engaging, and timely collection of essays by renowned scholars, journalists, and intellectuals, this volume challenges our understanding of what is normal and what is truly extreme, and sheds light on some of the issues facing humanity in the twenty-first century.
Excess (Philosophy) --- Extremists. --- Civilization, Modern. --- Modern civilization --- Modernity --- Civilization --- Renaissance --- Fanatics --- Persons --- Philosophy --- Social aspects. --- History
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"In this book, Thomas J. Connelly draws on a number of key psychoanalytic concepts from the works of Jacques Lacan, Slavoj Žižek, Joan Copjec, Michel Chion, and Todd McGowan to identify and describe a genre of cinema characterized by spatial confinement. Examining classic films such as Alfred Hitchcock's Rope and Stanley Kubrick's The Shining, as well as current films such as Room, Green Room, and 10 Cloverfield Lane, Connelly shows that the source of enjoyment of confined spaces lies in the viewer's relationship to excess. Cinema of Confinement offers rich insights into the appeal of constricted filmic spaces at a time when one can easily traverse spatial boundaries within the virtual reality of cyberspace."
Excess (Philosophy) --- Motion pictures --- Setting and scenery. --- Scenery (Motion pictures) --- Setting (Motion pictures) --- Philosophy --- Art direction
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Feminism and art. --- Women artists. --- Art and craft debate. --- Excess (Philosophy)
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"Figures de l'excès chez Marie Darrieussecq, Virginie Despentes et Marina de Van by Dominique Carlini Versini examines textual and visual images of the excessive body that run through the narratives of contemporary French women artists. From the 1990s onwards, a tendency towards excess has been observed in French fiction. On the one hand, young female writers have portrayed the body in a particularly crude manner. Meanwhile, a new trend has developed in film characterised by explicit or violent images of the body. The monograph's original approach is to compare the strategies of the two mediums to generate an embodied aesthetic experience while demonstrating that this formal experimentation goes hand in hand with a poetic reflection on the (material, cultural and symbolic) boundaries of the body"--
Excess (Philosophy) in literature. --- Human body in literature. --- Motion pictures --- Excess (Philosophy) in motion pictures. --- Human body in motion pictures. --- History --- Darrieussecq, Marie --- Despentes, Virginie, --- Van, Marina de --- Criticism and interpretation. --- Despentes, Virginie --- Van, de, Marina
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Le vingtième siècle aura été le siècle de la démesure. La démesure de la politique avec des guerres mondiales, des déportations et des camps d'extermination, qui a culminé avec deux bombes atomiques larguées sur des populations civiles. La démesure de l'homme, ensuite, puisque ces crimes ont été commis au nom d'idéologies abstraites qui, pour sauver l'humanité, ont sacrifié sans remords les hommes réels. La démesure du monde, enfin, avec une science prométhéenne qui a tenté de percer les secrets de l'univers, une technique déchaînée qui a cherché à asservir la nature et une économie mondialisée dont les échanges ont imposé le prix des choses au détriment de la dignité des hommes. Nietzsche avait clairement établi le diagnostic : "La mesure nous est étrangère, reconnaissons-le; notre démangeaison, c'est justement la démangeaison de l'infini, de l'immense. " Le sens de la démesure semble être une fatalité, aussi n'est-il pas étonnant que, déjà chez les Grecs, dans le mythe, la tragédie, la physique, l'éthique ou la politique, il se situe au coeur de la réflexion. Au travers de la tentation de la raison d'abolir toute limite, de remettre en cause la finitude humaine, la démesure témoigne du tragique de notre condition. Les Grecs, et c'est l'enseignement de ce livre, se sont attachés à la comprendre pour la convertir en cette mesure qui permet de redonner un sens à notre existence.
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